Les Français sont nuls en maths et en lecture

Les Français ne remercient pas leur Éducation nationale… L’OCDE publie pour la première fois une vaste étude sur le niveau de compétences des adultes dans 24 pays, sur leurs capacités à exploiter de l’information écrite et chiffrée. Les Français se retrouvent en bas du classement, les Japonais sont les premiers de la classe.

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66 Comments

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  • monhugo , 9 octobre 2013 @ 16 h 31 min

    Les “fondamentaux” = lire, compter et écrire.
    Quant à savoir écrire…. Sans faire des fautes à tous les mots – sans parler du style, évidemment….

  • Républicain non aliéné , 9 octobre 2013 @ 16 h 40 min

    Ah, je savais que vous apparaîtriez sur cet article !

  • xrayzoulou , 9 octobre 2013 @ 17 h 34 min

    Où j’ai été stupéfaite c’est quand j’ai fait (on y était détachés à tour de rôle) le secrétariat du Centre d’Instruction Militaire ou les états qui étaient fait ensuite, de voir le nombre d’illettrés ou de gens sachant juste lire écrire et compter (SLEC), du niveau scolaire élémentaire. Tant dans la région parisienne qu’en Midi-Pyrénées, l’armée s’occupait, avec l’aide d’instructeurs, leur apprenaient ce que l’éducation nationale ne leur avait pas appris. C’est peut-être à cause de cela que M. Chirac a supprimé le Service Militaire ? (qui sait ?). Maintenant qu’on a supprimé le Service Militaire, on ne peut plus faire de statistiques : parce ce que ce n’est pas en quelques heures qu’on peut leur faire apprendre ce qu’ils apprenaient en 1 an. A mon avis la suppression du Service militaire et la plus belle connerie qu’a fait Chirac……

  • Bonsens , 9 octobre 2013 @ 18 h 07 min

    On a supprimé le certificat d’études et voulu amener 80 % d’élèves au bac et voici le résultat.
    J’ai moi-même été victime des fameuses maths modernes et à 46 ans j’en paye encore le prix.
    Vacataire de l’enseignement, j’assure actuellement des cours de français en sixième et en cinquième. Sur une dictée de quinze lignes ( dont la longueur a fait frémir et râler les élèves ), j’ai relevé une quantité accablantes de fautes : des infinitifs et des participes passés à la place d’imparfaits ( j’accentue pourtant exprès la prononciation ) et cette dictée a également démontré l’ignorance des élèves quant au vocabulaire utilisé. Des termes comme, houle ou exaucer leur sont inconnus.
    Le petit test de conjugaison a finit par me faire hurler de rire pour ne pas pleurer : verbe aimer au passé simple donne par exemple : j’aimase, ils aimament…
    Et je travaille dans un bon établissement, paraît-il.

  • L-M , 9 octobre 2013 @ 18 h 32 min

    Pour manipuler les masses, il faut les abêtir, les rendre aux instincts primaires afin de leur enlever tout sens de la réflexion. C’est ce que nous pouvons constater avec un appauvrissement notable de notre langue, un déclin des apprentissages et un total lacher prise de parents qui ont oublié que leurs enfants ont besoin d’eux pour apprendre et grandir. Quand une société entretient des millions de gens à ne rien faire, en les maintenant dans leur analphabétisme, juste pour avoir des voix dans les urnes…..ce n’est rien d’autre qu’une nouvelle forme d’esclavagisme de l’homme sur l’homme. De nouveaux jeux du cirque, quelques alloc, et on ne valorise plus le savoir ! Pourtant, il n’y a pas si longtemps, tous les enfants de France, dans les villes et les campagnes savaient lire et écrire. Ils respectaient leurs professeurs et leurs enseignements. Ils savaient compter sans ordinateur et peuvent encore vous réciter des poésies que leur mémoire n’a pas oubliée. Reprenons le goût de l’effort et du travail et nous aurons peut être la clé pour demain.

  • Tarantik Yves , 9 octobre 2013 @ 18 h 49 min

    Il faut et il suffit de doubler, voire tripler, le nombre “d’enseignants” et d’ajouter quelques milliards d’euros par an pour nourrir le mammouth et vous verrez tout va s’arranger… foi de Peillon impayable !

  • monhugo , 9 octobre 2013 @ 19 h 03 min

    On apprend à écrire en lisant, et relisant. De bons auteurs.
    Par ailleurs, ne pas oublier de SE relire…. “Quantité accablante” (et non pas : “accablanteS”).

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