Dans certaines régions d’Asie, près d’un quart des hommes seraient des violeurs !

Une étude publiée mardi dans Lancet Global Health, réalisée par les Nations unies sur 10 000 hommes du Bangladesh, de Chine, du Cambodge, d’Indonésie, du Sri Lanka et de Papouasie-Nouvelle-Guinée, montre que 24% d’entre eux admet avoir déjà violé une femme. Un peu moins de la moitié disent l’avoir fait plus d’une fois. Neuf viols sur dix ont lieu dans le cadre du mariage, un sur dix en dehors. 75% des hommes ayant déjà violé une femme l’ont fait parce qu’ils considéraient qu’ils avaient des droits sexuels sur elle (et qu’ils peuvent se passer de son consentement), 60% parce qu’ils s’ennuyaient ou pour le plaisir, 40% pour la punir. L’abus d’alcool est aussi invoqué. Seulement la moitié des violeurs se sentent coupable après l’acte. L’enquête révèle aussi que les hommes qui ont subi des violences pendant l’enfance sont plus susceptibles de devenir des violeurs. À noter que selon le pays, le pourcentage d’hommes violeurs varie beaucoup : de 10% de la gent masculine dans les zones urbaines du Bangladesh à 60% sur l’île de Bougainville en Papouasie-Nouvelle-Guinée. La moitié d’entre eux était des adolescents quand ils sont passés à l’acte et 12% avaient même moins de 15 ans.

Voilà qui est rassurant, en ces temps d’immigration massive !

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37 Comments

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  • V_Parlier , 10 septembre 2013 @ 17 h 48 min

    Mais il faut voir de quelle Asie on parle ici.

  • Psyché , 10 septembre 2013 @ 18 h 00 min

    Il y a aussi l’esclavage moderne présent en France, au Moyen-Orient, en Afrique et ailleurs dans le monde.
    On en parle que très rarement dans les médias car ce n’est pas la meilleure occasion pour nous culpabiliser.
    On préfère largement nous parler de la la période coloniale alors que l’esclavage existe encore de nos jours en tant que pratique essentiellement africaine et orientale.
    Ceci dit, pour défendre la cause des africains, s’ils forment les plus grands bataillons d’esclavagistes, ils sont également les victimes les plus exposées à l’esclavage moderne en France :

    “Leurs employeurs appartiennent à toutes les catégories socio professionnelles. On retrouve des victimes dans les grands ensembles et dans les beaux quartiers. Les diplomates et les nababs n’ont pas le monopole de ces pratiques. Il arrive trop souvent que la pauvreté exploite la misère. En 2010, 68% des employeurs étaient d’origine africaine ( parmi lesquels 51% venaient d’Afrique de l’Ouest et 32% d’Afrique du Nord), 13% d’Europe, 9% du Moyen Orient et du Proche Orient, 4% d’Asie . ”

    http://www.esclavagemoderne.org/0010-qui-sont-les-victimes-et-les-exploiteurs–/13-page.htm

    Très peu de gaulois donc parmi les exploiteurs, désolé Mme.Taubira !

  • Yaki , 10 septembre 2013 @ 20 h 10 min

    Vous avez des données statistiques sur Trappes ?

  • Yaki , 10 septembre 2013 @ 20 h 21 min

    C’est quoi le lien entre les viols en Asie, principalement du Sud est et l’immigration en France, sachant que cette immigration vient majoritairement d’Afrique et d’Europe?

  • monhugo , 10 septembre 2013 @ 20 h 48 min

    Déjà demandé, à 17 h 25 !

  • géodith , 10 septembre 2013 @ 21 h 09 min

    “Tous les garçons et les garçons de mon âge
    se promènent dans la rue deux par deux
    tous les garçons et les garçons de mon âge
    savent bien ce que c´est d´être heureux
    et les yeux dans les yeux et la main dans la main
    …”
    Si vous êtes allés en inde, c’est un phénomène interpellant pour nous, car ces garçons jeunes en besoin de contact physique se promènent “2 par 2” en se tenant par la main !
    Interloquée, les prenant tous pour des homosexuels bizzzzarres puisqu’ils nous reluquaient, j’ai eu l’explication : pas de rencontre ni de contact avant le mariage !!!!
    Quand les vésicules séminales sont trop pleines ….(Humour très noir)

  • Psyché , 10 septembre 2013 @ 21 h 19 min

    Yaki, le lien c’est simplement le fait de dire que certains prêtent aisément le dos à la critique (les asiatiques qui ne sont pas rancuniers et ne réagissent pas émotionnellement, eux …), et les arabo-africains (hyper réactifs émotionnellement et hyper-protégés par nos médias), défendus par des cohortes d’associations “anti-racistes” que je qualifierai d’absolutistes.

    Imaginez vous le même article en remplacant l’Asie par l’Afrique ?

    Il y aurait immédiatement de vives réactions de la part de ces associations soit-disant “anti-racistes” financées avec notre pognon.

    C’est ce “deux-poids, deux mesure” qu’il s’agit de dénoncer et surtout quand il s’agit de défendre des asiatiques dont on salit l’image gratuitement.

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