Dégradation d’une cloche de Notre-Dame : les Femen au-dessus de la justice française, ceux qui se défendent face à elles condamnées

Non-justice. Neuf membres du groupuscule “sextrémiste” Femen, poursuivies pour la dégradation d’une cloche de Notre-Dame de Paris, ont été relaxées mercredi 10 septembre par le tribunal correctionnel de Paris.

Injustice. Trois surveillants, poursuivis pour violences (!), ont, eux, été condamnés à des amendes avec sursis.

Le parquet avait requis une amende de 1 500 euros contre chacune des neuf jeunes femmes et contre les trois membres du service d’ordre des amendes contraventionnelles de 250, 300 et 500 euros avec sursis. Le tribunal a estimé qu’il n’y avait pas suffisamment d’éléments pour imputer les dégradations sur la cloche aux Femen.

La justice refuse de faire son travail. Ce faisant, elle prend le risque que quelqu’un de plus volontaire et, sans jeu de mot, de meilleure foi, le fasse à sa place et sans laxisme. A la manière des services russes en juillet 2013 sur Viktor Sviatski, l’idéologue du mouvement, la veille d’un voyage de Vladimir Poutine en Ukraine ?

Quelque chose nous dit que Viktor Sviatski n’avait alors plus envie d’envie d’envoyer ses sextrémistes scier des croix ou souiller des églises…

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22 Comments

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  • Térésa , 12 septembre 2014 @ 0 h 47 min

    Et oui Frannot vous êtes réaliste il y en a si peu, voilà l’homme providentiel qu’il nous faudrait, j’adore Poutine et le défends bec et ongles lorsque mes connards amis(e) qui naturellement écoutent nos faux-culs journaleux vu que ce con de hollande est le toutou de obama, qu’il faut déstabiliser Vladimir c’est avec la Russie que l’on devrait faire alliance : le peuple et la religion et barrage au terrorisme

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