Présidentielle américaine : “Les peuples reprennent leur liberté” selon Florian Philippot

Eric Martin
10 novembre 2016
Latest Update: 10 novembre 2016 9 h 11 min
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Le vice-président du Front national s’est réjoui sur RTL de la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine : “C’est une mauvaise année pour l’oligarchie mondiale.”

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Athanase , 10 novembre 2016 @ 14 h 55 min
Trump a été plebiscité car il n’a pas eu peur de la diabolisation ce qui est loin d’être le cas pour MLP/Philippot
Alors Mr Philippot, sachez que vous êtes à des années lumières de Donald Trump
chabanu , 11 novembre 2016 @ 8 h 31 min
Comme les états-unis ont 20 ans d’avance sur nous, ce sera pour 2037… patience !
hermeneias , 11 novembre 2016 @ 9 h 45 min
TRUMP a le grand avantage , sur Philipot , de ne pas être un petit énarque hors du réel social-nationaliste .
Mr Philipot n’est pas idiot , loin de là . Je propose qu’il aille bosser dans les entreprises , l’agriculture , la santé , la marine marchande , chauffeur routier ….pendant 10 à 20 ans et on en reparle !
Lui et Marine font un peu léger
JSG , 11 novembre 2016 @ 21 h 42 min
Il a raison, depuis le référendum non à l’Europe organisé par Chirac et contourné par le système; les gens (la vox populi) n’ont plus envie de respecter ceux qui les bafouent. Ça amènera peut-être plus de modestie à tous ces journalistes qui s’imaginent représenter la pensée suprême et se sont plantés d’une manière magistrale. Tous ces gros machins qui nous pondent des lois remparts à leurs petites affaires. A cette justice alambiquée ou les textes se contredisent, faisant la fortune des plaideurs au détriment des victimes que l’on fait semblant de plaindre. À tous les initiés qui au travers d’une loge, se sentent tellement au dessus du commun, qu’ils s’arrogent le droit de diriger sans les autres.
Oui, le peuple acceptera le sacrifice de ses erreurs, mais il n’assumera plus celles de ceux qui les méprisent.
Alors, les baveux qui nous empestent de leur “populisme” comme insulte suprême, qu’ils aillent se faire foutre, car le populisme, c’est la voix du peuple et non la leur qui empeste.