À Wissous (Essonne), on veut rester Français et on n’aime pas les journalistes “gauchos”

Dans cette commune de l’Essonne, des élus et des proches du maire assument des positions de droite décomplexée, comme le montre le reportage (critique) diffusé jeudi sur France 4 dans “L’Autre JT” :

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16 Comments

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  • Troy , 11 mars 2016 @ 10 h 12 min

    Vous remarquez que chez les gauchos, la Novlangue est toujours de mise. Un individu qui ne pense pas comme eux “dérape”. Ce sont des racistes forcément.
    En plus, lorsque des gens se “lâchent”, comme dans ce reportage, pour eux c’est du pain béni. Moi j’aurais demandé à ce pseudo journaleux gaucho anti-raciste s’il va voir les racailles des Cités, les rappeurs, les délinquants, et s’il leur demande pourquoi ils disent :
    – on va niquer la France, on va niquer la police,
    – on va violer vos femmes, on enc… la France,
    – on va tuer les babtous, etc.
    Est-ce-que tous ces gens ont aussi “dérapé” ? Est-ce-qu’ils sont racistes ?
    Bref, toujours 2 poids 2 mesures avec les gauchos.

  • Trahi , 11 mars 2016 @ 10 h 28 min

    Il est grand temps de ne plus dire: ils veulent rester Francais ou nous voulons rester Francais. Mais bien au contraire, il faut dire: ILS SONT FRANCAIS et NOUS SOMMES FRANCAIS.
    Nous n’avons aucune raison de nous justifier pour prouver à des guignolles que nous sommes FRANCAIS, mais pas eux.
    Ces gauchos sont des semeurs de merde, sans PATRIE, reniant leurs origines, salissant le pays et méprisant la FRANCE.

  • Marino , 11 mars 2016 @ 11 h 35 min

    Ils comptent les jours, vivant dans l’appréhension de leur expulsion très prochaine. « Ils vont casser le camp avant le 28 février (dimanche) », s’alarme Ileana Cretu. Un véritable drame pour elle, Marin, son mari, et ses deux enfants de 7 et 11 ans qui vivent dans un camp à Champlan depuis deux ans.

    Le 26 décembre 2014, le couple perdait leur autre enfant, un bébé nommé Maria Francesca, née au mois d’octobre 2014. Allait s’ensuivre une importante polémique, la mairie de Champlan refusant d’inhumer le nourrisson dans le cimetière communal.

    C’est finalement le maire de la ville voisine de Wissous, Richard Trinquier (LR) qui avait alors accepté d’accueillir Maria Francesca dans le cimetière de sa ville.

    « Je ne veux pas partir car ma fille est enterrée à Wissous, dit-elle, les yeux pleins de larmes. Ça serait trop dur. » Le couple met aussi en avant le fait que leurs deux enfants sont scolarisés à Champlan et qu’ils n’ont pas de solution de repli. « Nous ne pouvons pas aller en Roumanie. Nous n’avons pas de maison là-bas. Et il faut que nos deux enfants puissent continuer à être scolarisés, qu’on leur donne une chance de ne pas souffrir comme nous, implore Marin. Tout ce que nous demandons, c’est un petit terrain, juste pour nous quatre, pas loin du cimetière de Wissous. C’est tout. »

    Eve Desjardins, de l’association Citoyens solidaires écologistes de Wissous : « Cette famille subit une double peine. Il y a un manque de compassion parce qu’ils sont Roms »

    La militante a rencontré le maire afin d’intercéder en faveur de cette famille. « Il m’a répondu qu’il ne peut pas expulser des gens et accorder une faveur à d’autres. Mais pourquoi cet amalgame entre tous les Roms et cette famille qui a subi des coups du sort, qui a des problèmes de santé et qui demande juste à pouvoir rester près du cimetière, où est enterrée leur enfant ? Je suis très étonné de sa réaction. »

    * Extrait le Parisien 21 Févr. 2016,

    CQFD !

  • Chevalier-de-Moncaire , 11 mars 2016 @ 19 h 15 min

    Pour les gauchos défendre son pays et son identé culturelle, chez soit , face à une invasion immigratoire sans controle c’est être raciste. S’ils sont si bons enfants ces immigrants du Magrebh pourquoli ils ne les hébergent pas dans leurs maisons a eux.

  • Robert , 11 mars 2016 @ 22 h 46 min

    Ils affirment un peu légèrement que Wissous ne comprend que peu d’habitants musulmans et maghrébins. Ils “oublient” que tout autour de Wissous, vous avez des villes ou la population islamo maghrébine est très importante et que la racaille voyage.
    Quand à la “militante associative” elle est probablement une gauchiste qui vient vous hurler sous le nez en continu ses insinuations et accusations. Elle devrait le remercier de ne pas lui avoir mis une claque de catcheur.
    Ils sont menteurs et lâches quand à la réalité qu’ils nient. Pour habiter cette région depuis 50 ans, la réalité des menaces ne correspond en rien à celle que dénoncent ces gauchistes.

  • champar , 12 mars 2016 @ 1 h 36 min

    Il ne faut pas tomber dans le piège de répondre aux media de propagande, il font des montages à partir d’extraits sortis du contexte.
    Les braves gens pensent expliquer leur point de vue alors qu’ils ne servent qu’à constituer un dossier à partir de morceaux “choisis”.

    Il faut laisser les manipulateurs de l’information brasser dans le vide en les boycottant car sinon cela leur permet d’avoir des photos et des enregistrements des personnes qu’ils veulent salir et donne l’impression d’un reportage à ce qui n’est qu’un dossier à charge dans le style stalinien.

  • frannot , 12 mars 2016 @ 7 h 53 min

    Entièrement d’accord avec votre 2d $.
    Les gauchos se croient tout permis; ils viennent provoquer les gens (en l’occurrence l’entraîneur ) et ensuite quand ils l’ont mis hors de lui, ils viennent jouer les vierges effarouchées – technique bien connue.

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