“Nuit Debout” : dérapages violents en marge du mouvement

Cela change des Veilleurs. Hier soir, des centaines de manifestants ont décidé de se rendre devant l’appartement de Manuel Valls, en marge du mouvement “Nuit Debout”. Une initiative qui a donné lieu à de nombreux dégâts. Huit personnes ont été placées en garde à vue :

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9 Comments

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  • marchaterre , 11 avril 2016 @ 9 h 46 min

    Pourquoi donc titrez vous votre article”nuit debout”:dérapages violents en marge du mouvement ? ils en font probablement partie intégrante,étant donné les déclarations des “pseudos responsables”de ce matin méme.

  • jpr , 11 avril 2016 @ 9 h 52 min

    Ce qui change aussi avec ce qu’a connu le mouvement pacifique des Veilleurs :
    – jamais les médias “officiels” (c’est-à-dire achetés par les banques) n’ont pipé mot du mouvement des Veilleurs ; pour Nuit debout, c’est publicité non stop ;
    – jamais aucune violence provenant du mouvement des Veilleurs ; par contre, les contre-manifestants s’en sont ici ou là donné à cœur joie, parfois avec la bénédiction des forces de l’ordre, absentes ou impassibles ;
    – pour Nuit debout, les “forces de l’ordre” (miliciens zélés du pouvoir illégitime) n’ont procédé qu’à quelques interpellations suite à des violences nombreuses ; policiers, crs et gendarmes étaient bien plus actifs et violents contre les Veilleurs pacifiques trainés en garde à vue.
    On peut multiplier les exemples.
    Les Veilleurs était un mouvement à mâter car subversif.
    Nuit debout va dans le sens du système ; aussi, il n’est pas inquiété. Il serait bien de connaître son financement (par Soros ou équivalent ?).

  • Trahi , 11 avril 2016 @ 10 h 02 min

    Enfin de l’action!!!!!!!!!!!!!!!!Les socials Hop, contre les socials Hop. Manque plus que quelques terroristes islamiques.

  • Trucker , 11 avril 2016 @ 12 h 37 min

    @jpr…il n’est pas nécessaire d’aller jusqu’à rechercher des financements extérieurs…..on peut concevoir qu’il y a encore une petite place pour un peu de spontanéité mais il est certain comme vous le dites que ce mouvement ne constitue pas une menace sérieuse pour le gouvernement.

    On peut considérer qu’il n’est, circonstance le permettant, que la matrice de ce que pourrait devenir un mouvement de contestation massif à une politique gouvernementale qui pourrait se mettre en place à la faveur d’une élection présidentielle par exemple, qui amènerait au pouvoir une proposition politique radicalement opposée à la politique menée jusqu’à lors.

    En bref nuit debout, pourrait être une école, un processus de formation à la contestation,chose que la gauche avait semble-t-il perdue l’habitude de faire.

    La vrais question est la suivante : cette offre politique alternative qui se verrait contestée si elle arrivait au pouvoir…..qu’elle sont ses stratégies et capacités de mobilisation de masse de ses propres partisans pour les former et les préparer à la soutenir si cela devait être nécessaire…c’est à dire de ne pas se retrouver seule à devoir gérer la problématique contestataire, pour ne pas être condamné à verser dans l’autoritaire…ce pourquoi elle serait bien évidemment condamnée par les “autorités morales” tant nationales qu’internationales….avec le risque à terme, que l’exaspération de la population, majorité silencieuse,devant les violences et dégradations répétées ne devienne telle que celle-ci en arrive à souhaiter la “restauration au pouvoir” de ceux qui en avait été chassé par l’élection.

    Une transposition en quelque sorte des mécanisme de la révolution Bolchévique de 1917, avec toutefois comme conclusion que les nouveaux élus soient évincés du pouvoirs par les anciens battus.

  • Marino , 11 avril 2016 @ 18 h 03 min

    * Invité de France Info, le Premier secrétaire du PS estime que «tant que c’était bon enfant, on pouvait tolérer, mais depuis quelques jours la violence s’est invitée». «Dénoncer n’est pas interdire, explique-t-il encore. Il faut tolérer Nuit Debout mais l’encadrer, il faut que les forces de l’ordre soient là». Et Jean-Christophe Cambadélis précise : «Il faut des CRS debout .»

    * Aurélie Filippetti Sur RTL, la députée PS proche des frondeurs minimise l’évacuation du matin rappelant que « tous les matins, on demandait à ces militants de partir ». Elle appelle à la poursuite du mouvement «Il faut que ça puisse se passer dans le calme, mais que ça puisse se passer » insiste-t-elle, jugeant que toutes les discussions qui y sont organisées font « partie du débat démocratique ».

  • AURORE ANGELIQUE , 12 avril 2016 @ 8 h 07 min

    NON CE N’EST PAS EN MARGE CELA FAIT PARTIE DU MOUVEMENT COMME ON L’A VU DANS L’ARTICLE PRECEDENT

  • Jean NOGUES , 12 avril 2016 @ 11 h 14 min

    Ces désordres dans la rue me donnent la nausée, parce qu’invariablement ils se terminent par des déprédations et excès de toute sorte. Je n’e peux plus, la gauche la gauche la gauche c’est toujours toujours et toujours la guerre, à l’intérieur et à l’extérieur. Je me sens mû pour n’impore qui qui rétablira l’ordre da,ns le pays, fût)ce au prix de délicatesses envers les drotdlommm ; les violences urbaines avec dégradations et souvent agressions physiques contre des personnes sont insupportables, il faut casser les casseurs une bonne fois pour toutes, je me fous qu’il aientde mauvaises conditions de détention, mais alors je m’en fous à un point ! qu’ils ferment leur gueule à jamais, qu’ils nous laissent vivre en paix ! quand pourra-t-on avoir la paix dans notre pays, penser à autre chose qu’à cette saleté de politique de gauche, toujours en quête d’un bouc émissaire pour tous ces névrosés qui nous emmerdent copieusement avec leur raisonnements à la noix, qu’ils aillent boxer pour de bon ils verront un peu comment ça nous aime, la nature ! bande d’abrutis débiles, de fainéants à vie, disparaissez où vous voudrez mais disparaissez !

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