Des militants gays extrémistes ont prévu de manifester mercredi à 19h15 devant l’hôtel de ville de Saint-Cloud

pour protester contre le retrait décidé par la ville d’affiches montrant deux hommes s’embrasser sur la bouche qui faisaient la promotion d’un film intitulé L’inconnu du lac qui, selon Le Monde, “aborde frontalement l’amour physique gay”.

Refuser la pornographie homosexuelle est un droit. Nouvelles de France appelle ses lecteurs à :

1) demander à leur mairie le retrait de ces affiches – il y en a 350 en France.

2) se rendre devant l’hôtel de ville de Saint-Cloud dès 19h, pour soutenir Éric Berdoati, le maire UMP de Saint-Cloud, qui a pris cette décision nécessaire.

La liberté d’expression, oui. La pornographie dans la sphère publique sur des panneaux concédés par des villes, non.

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35 Comments

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  • Eric Martin , 12 juin 2013 @ 14 h 07 min

    Vous parlez pour vous, merci de ne pas parler pour autrui.

  • Républicain non aliéné , 12 juin 2013 @ 14 h 44 min

    “Tout de même, la représentation d’une fellation ne choque plus depuis longtemps tant qu’elle est entre hétéros”

    Pauvre malade. Hop, camisole d’urgence et au trou.

  • Hervé , 12 juin 2013 @ 14 h 56 min

    Pourquoi ne vous insurgez vous pas contre les rubriques “sexo” de la plupart de la presse féminine, dont les articles sont bien plus fournis en détails, avec des couvertures parfois très explicites ? Ah mais oui ce ne sont pas des homos …

    N’oubliez pas que les pratiques sexuelles pratiquées par les homos sont avant tout pratiquées aussi par les hétéros, qui évitent bien de relever que ce serait “contre nature” (en réalité cette expression est débile) à partir du moment où elles ont lieu dans un cadre hétéro sexuel.

    Enfin, bravo pour votre argumentation détaillée et intelligible, ainsi que votre tolérance et faculté de réflexion. J’espère que vous n’avez pas d’enfant ou que vous ne comptez pas en avoir

  • Républicain non aliéné , 12 juin 2013 @ 14 h 56 min

    Quand bien même ne serait-ce pas un porno (or c’en est un), une affiche où l’on voit deux femmes ou deux hommes s’embrasser n’a rien à faire sur la voie publique où des enfants peuvent circuler et tomber dessus ce qui en justifie pleinement le retrait.

    L’intimité s’arrête là où la vie publique commence, et les affiches de films entrent dans cette sphère.

    Même si le gouvernement est en pleine propagande gay (entre le festival de Cannes et les campagnes dans les écoles ils essayent tout) je n’accepterais jamais que mes enfants soient exposés à ce genre de publicité. Et ce n’est pas une clique de moins que rien de lobbyistes qui se substituera à l’éducation des miens.

  • Républicain non aliéné , 12 juin 2013 @ 15 h 10 min

    Parce que la presse féminine n’est pas affichée sur la voie publique et que son public ne manifeste pas devant les mairies pour étaler les pages “sexo” sous le nez de tous ?

    Espérez en vain sinon, les gens normaux prolifèrent et il parait même qu’ils sont majoritaires. De plus, mon argumentation est limpide : dans “pauvre malade” il y a pauvre (intellectuellement, il faut l’être pour ne pas comprendre ce qu’il y a de choquant dans une telle affiche) et malade (qui s’ignore visiblement).

    Mais à quelle réaction vous attendiez-vous donc après votre première déclaration ? Aux Pensées de Pascal ? Vous vous adressez à des hétérosexuel(le)s et vous leur dites tout de go “boarf une fellation c’est rien du tout !” si vous vouliez un point de vue d’homos ou de bis il fallait le préciser. Et même là encore vous risqueriez de récolter quelque quenelles chez ceux qui éduquent des enfants et savent ce que signifie le mot “éducation”.

  • Hervé , 12 juin 2013 @ 15 h 28 min

    J’ai simplement fait observer qu’à mon sens il n’y a pas de quoi fouetter un chat. OK dans le contexte actuel on aurait pu éviter une telle affiche. Mais au final, l’image incriminée ne représente que vaguement une fellation” dont rien ne dit qu’elle est entre homo.

    Et ce qui m’énerve c’est que c’est une pratique courante chez les hétéros, qui deviendrait choquante dès lors qu’elle est pratiquée entre homo. J’ai pris l’exemple de la presse féminine, qui est autant affichée dans les kiosques sans complexes.

    Enfin, je suis le premier à vouloir une éducation saine de mes enfants, en luttant notamment contre la théorie du genre. Mais aussi en leur donnant une faculté de compréhension et de tolérance. On peut lutter contre le mariage gay, contre la théorie du genre, mais considérer qu’une affiche de film dessiné représentant (suggérant?) discrètement un acte sexuel courant (ne venez pas me dire que ce n’est pas pratiqué par les hétéros!!!) ne mérite pas tant de débats.

  • Républicain non aliéné , 12 juin 2013 @ 15 h 50 min

    Courant ou pas, pas d’acte sexuel ostensible sur une affiche de film sur la voie publique, ce n’est pas de la pudibonderie mais de la salubrité publique.

    Tout le monde se fout de savoir si des homos se font des fellations ou autres pratiques moins hygiéniques dans l’intimité. Là où ça pose problème c’est quand on étale ceci sur la voie publique là où le petit Tom ou la petite Yasmina peuvent la voir. Car si l’on peut filtrer les contenus internet, les programmes TV, ce genre de diffusion par affiches est beaucoup plus pernicieux et volatile, il faut donc le contrôler.

    Ce serait une fellation hétérosexuelle que ça ne changerait pas grand chose à la polémique, Marcel et Bébert qui s’embrassent en moins.

    Et forcément le fait que ce soit deux homos qui s’embrassent ne fait qu’ajouter à la répugnance des personnes qui peuvent tomber dessus, majoritairement je le rappelle, hétérosexuelles. Ce seul fait suffirait d’ailleurs, l’homosexualité dans la sphère privée mais dans les programmes scolaires et dans les affiches de film sans façon.

    Aujourd’hui il faut tout filtrer pour parfaire l’éducation de ses enfants, c’est malheureux mais c’est ce que l’on récolte pour avoir permis à ces minorités de s’imposer pour un temps, sous le feu des projecteurs.

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