AGENDA | Révoltes, jusqu’où iront-elles ?

Contrepoints.org, organise deux tables rondes samedi 21 septembre, de 9h à 12h, sur le thème : « Révoltes, jusqu’où iront-elles ? » Elle rassemblera les principaux représentants des mouvements qui se sont créés ces derniers mois et qui ont en commun l’aspiration à davantage de liberté individuelle ainsi que de nombreuses personnalités :

– Dominique Reynié, Professeur des Universités à Sc. Po Paris et DG de la Fondapol
– Serge Schweitzer, professeur des Universités à Aix-Marseille Université
– Laurent C, indépendant qui livrera son témoignage sur les moyens de quitter la sécurité sociale
– Philippe Herlin, chargé de cours au CNAM et chercheur en finance
– Claude Reichman, Président-fondateur du MLPS
– Aurélien Sallé, Vice-président de l’union des auto-entrepreneurs, coordinateur de la défense AE
– Jennifer Landry, du collectif “Les médecins ne sont pas des pigeons”
– Gaspard Koenig, du Parti Libéral Démocrate
– Pascal Avot, consultant en publicité/marketing
– Youcef Maouchi, Doctorant/ATER à Aix-Marseille Université
– Nicolas Doucerain, chef d’entreprise et auteur de “Ma petite entreprise a connu la crise”
– Arnaud Boucheron, créateur du think tank libéral “L”, à Sciences Po Paris
– Jean-Marc Piet, syndicaliste CFTC

L’objectif sera, dans un premier temps, de comprendre comment les mouvements de révolte se sont formés et développés, pour ensuite analyser quelle place (médiatique et politique) ces mouvements pourraient occuper dans les mois à venir.

>>> Lieu des tables rondes et inscription <<<

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28 Comments

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  • 0 / 10
  • JacoTO , 11 septembre 2013 @ 22 h 49 min

    Prière de rester poli

  • Pierre ghi , 11 septembre 2013 @ 22 h 53 min

    Je pense qu’il faut rapprocher le concept de liberté individuelle à la notion de libre arbitre. C’est à dire la liberté de ne pas s’affilier à un système qui ne nous convient pas. C’est de travailler à sa mesure et non pour payer les autres. C’est d’échapper à l’éducation nationale et ne pas payer pour ce monstre qui détruit la jeunesse si l’on scolarise son enfant en dehors, c’est la liberté d’entreprendre réelle sans restrictions, le retour par impôts et taxes doit être providentiel (gagnant / gagnant) et non pas se revendiquer avant d’avoir consolidé sa création, son assise etc. C’est le vrai libre échange basé sur le rapport entre l’offre et la demande qui est positif et la libre concurrence qui est un piège au service des cartels et autres cooptation. En principe le cadre, le contenant qu’est l’ Etat doit être le régulateur, le garant des limites acceptables pour perpétuer le bien commun. Mais n’oublions pas que nous sommes en mode inversé depuis au moins Cent ans, et ça ne vient pas pour faciliter la compréhension…

  • Dōseikekkon , 12 septembre 2013 @ 6 h 56 min

    sully : « ligne rouge (…) entre
    universalisme et l’identitarisme , et
    aussi entre l’anarchie sociétale et
    l’ordre moral »

    Vous êtes très binaire comme garçon.
    Cela dit, vous avez bien remarqué l’incohérence logique de… certains.

  • François Desvignes , 12 septembre 2013 @ 7 h 14 min

    Ceux qui commentent la révolution ne sont pas ceux qui la font.

    Ceux qui commentent la révolution sont ceux qui voudraient la mieux comprendre pour mieux l’empêcher.

    A moins que n’ayant décidément rien compris au mouvement révolutionnaire jusqu’à le qualifier de simples révoltes, ils se bercent d’euphémismes pour mieux cacher leur ignorance et leur lacheté : depuis le viol du traité de Lisbonne nous ne baignons pas dans la jacquerie, nous progressons dans la révolution.

    Notre mouvement, seul authentiquement révolutionnaire, ne demande pas “plus de libertés” .

    Seuls ceux qui souhaitent le contrecarrer les réclament, voulant au XXI siècle appliquer les recettes qui ont fait la gloire républicaine de nos pères il y a deux siècles.

    Mais deux siècles se sont écoulés ; aujourd’hui, les siècles de l’athéisme et du matérialisme triomphants avec son catéchisme libertaire sont révolus.

    Le mouvement révolutionnaire auquel nous assistons veut le contraire de ce que nos pères ont instauré .

    Nos pères disaient : la terre se suffit à elle-même et l’homme à lui même.
    Nous disons que la terre est sous le ciel, et que l’homme n’est rien sans son Dieu.

    Ils disaient ; ce qui n’est pas scientifiquement démontré n’existe pas, et seul ce qui se voit est.
    Nous disons que ce qui ne se voit pas préexiste à ce qui se voit, et que la réalité invisible précède et suplante la matière.

    il disaient, comme conséquence de ce qui précède, que l’Homme est un Dieu à lui-même, Dieu lui-même.Et si donc Dieu existe, à l’égal de Dieu et contre Lui.
    Nous disons, comme conséquence de ce qui précède, que l’Homme est fait à l’image de Dieu, et puisque nous existons, Dieu également, et l’Homme également à la ressemblance de son Dieu, avec Lui.

    Il est donc clair que nous ne sommes pas nés pour discutailler sur des arguties sémantiques entre “révoltes” et “révolution” mais que nous sommes nés pour nous combattre.

    Et que nous, “les Hommes faits à l’image de Dieu avec notre Dieu”, nous avons d’ores et déjà vaincu ceux qui ne se réunissent que pour nous combattre.

    Parce que nous sommes avec Lui, fiers de Lui
    Alors qu’ils sont contre Lui.

    Nous par Amour
    Eux par jalousie.

    Depuis la pomme.

  • fendu du chichoule , 12 septembre 2013 @ 7 h 56 min

    Défendre la liberté individuelle! commencer par la liberté d’expression et accepter la critique. Finalement dans votre commentaire je retrouve les memes procéder que lors de débats orchestrés par la pensée unique:
    Vous êtes un imbécile, vous ne comprenez rien, sortez je ne débat pas avec les imbéciles…….
    En faite vous débatez qu’avec ceux qui sont d’accord avec vous?

  • hermeneias , 12 septembre 2013 @ 9 h 14 min

    Jaco to

    Je n’ai pas compris votre argument !

    Ah c’est qu’il n’y en a pas ? Bon , bien , d’accord…

  • Pierre ghi , 12 septembre 2013 @ 9 h 45 min

    J’approuve complètement votre texte, il n’empêche qu’il m’est difficile de comprendre la haine de Dieu de certains, car enfin c’est à croire qu’ils le connaissent parfaitement ce Dieu des autres et qu’ils ont eu à en pâtir personnellement et devant mon impuissance à pacifier ces gens, je tombe dans une déroute perplexe et me sens faible…

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