L’Oréal devra-t-il fermer la moitié de ses usines françaises si Marine Le Pen est élue en 2017 ?

67 Comments

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  ISTINA , 14 octobre 2013 @ 22 h 47 min

  Le « vrai » protectionnisme s’applique y compris entre pays identiques économiquement.Ce n’est pas le cas du programme de Mme le Pen par ailleurs catastrophique.
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  N’attribuez pas les Catastrophes de l’U.M.P.+.P.S.+Associés à la Dame le PEN.
  Ayez l’extrême obligeance de la laisser gouverner avant de lui coller sur le Dos,
  tous les péchés d’Israel.
  C’est ainsi que s’exprimait Feu ma Maman , selon ce qu’elle en pensait ?

  Lorsque une quasi Majorité attribue quasi unanimement à une personne, tous les Péchés d’Israel;
  cela devient suspect car ça l’est effectivement !!!!!!!

  Güte Shalom
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  PG , 16 octobre 2013 @ 16 h 59 min

  Le programme du FN sur le plan de la concurrence reprend l’idée d’un économiste libéral, Prix Nobel, Maurice ALLAIS, qui disait que les échanges n’ont de sens qu’entre pays comparables, et non une protection entre pays comparables, ce qui est différent.
  Il préconisait des taxes modulées, et la TVA non récupérables pour les importateurs de produits extérieurs à l’Europe, , à qualité égale produite en Europe, est un filtre, et non une barrière totale. On raconte n’importe quoi dès qu’il s’agit du FN : actuellement semblant monter dans les sondages, on crée le buzz du programme catastrophe, sans en exposer les raisons, ni d’ailleurs présenter honnêtement ce programme..
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  L.B.: fille de France et fière de l'être! , 19 mars 2014 @ 9 h 31 min

  Mon c…! C’est la concurrence qui fait que nous exportons notre volaille là où nous achetons nos produits exotiques (quelle utilité pour les besoins matérielles ont ces produits, d’ailleurs?), c’est celle-là même qui fait monter le cours du blé sur nos produits alimentaires et ceux qui en dépendent alors que les récoltes en France étaient plutôt très bonnes mais qu’en Europe de l’Ouest jusqu’au Croissant fertile elles chutent du fait du retour de la rouille. Le prix du blé en France doit-il être conditionné à celui du blé partout dans le monde? Si c’est le cas, la France se retrouve dans une sorte de moyenne inter-nation-ale, mais est-ce souhaitable pour les consommateurs français? Et, surtout, pourquoi ne pas avoir un prix du blé à destination des usages nationaux et, en cas d’excédent, un autre plus libéral pour l’export? Ce serait tout à fait faisable (cela se faisait sous l’Ancien Régime d’une certaine façon!), n’en déplaise à votre libéralisme réactionnaire!
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  L.B.: fille de France et fière de l'être! , 19 mars 2014 @ 9 h 39 min

  Non, car nous sommes en train de subir les conséquences de ce que vous demandez, depuis déjà un peu plus d’un siècle. Les premiers ouvriers immigrés étaient des italiens amenés du Piémont (pauvre et un peu affamé) directement par des patrons ravis de refuser une augmentation demandées jusqu’à la grève par leurs ouvriers manufacturiers français. Cela s’est fini dans le sang, les ouvriers français comprenant que les italiens étaient l’outil de leur baisse de salaire pour les patrons, et ne pouvant se permettre de passer une journée de plus sans travailler car à l’époque ils touchaient à peine de quoi vivre et une journée sans salaire signifiait une journée sans manger.
  Est-ce là votre aspiration profonde pour la France? Que vous êtes patriote, votre bon coeur vous perdra sans doute.

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