Le lobby syro iranien, les amis du Bahrein et du Yemen, ainsi que les admirateurs du Hezbollah ont un parti en France……..
Le premier parti islamique officiel en France aura été créé par un ex communiste et un ex humoriste officiel de la gauche melting pot.
Mais quelles sont leurs racines, à part celles des autres peuples que le nôtre ?
Voilà qui devient intéressant …..Soral est un abruti mais vas y Soral !
Pascal , 11 novembre 2014 @ 22 h 38 min
Si ce n’était que cela (lobby pro iranien), il n’y aurait pas de la part de Soral et Dieudonné la déclaration de guerre faite à Chauprade qui préconise une alliance stratégique avec l’Iran et les chiites en général. Il y a donc autre chose.
le 22 à Asnières , 11 novembre 2014 @ 23 h 36 min
Soral : je l’ai vu dans une vidéo (lien sur votre site) avec un T-shirt noir affichant en lettres gothiques blanches “goy”. De plus, il proférait des propos, faisait des gestes par trop orduriers et violents.
Quelque soit le parti, quelle que soit la confession, ou l’appartenance, cette violence est pour moi le “signal du départ” : c’est-à-dire que je tourne les talons.
…Ils sont trop violents pour faire du bien au pays ; ils feront plus de mal que de bien.
Nous avons certes accumulé de la colère, et on nous interdit de l’exprimer; mais cela ne justifiera jamais aucune sorte de violence (attention, pourtant, pas d’apologie de la mollesse ici ; il faut certes rester très ferme et très déterminé : voir l’attitude d’un Père Jerzy Popieluszko en son temps. Il était très sévère, mais pas violent)
Pitié ! Pas de guerre civile !
Nasser , 12 novembre 2014 @ 0 h 23 min
Ils ont des choses intéressantes à dire mais le Soral est un peu agaçant par sa modestie.
Pascal , 12 novembre 2014 @ 0 h 29 min
Il faut se méfier comme de la peste de ceux qui parlent de guerre civile que ce soit pour la souhaiter ou au contraire pour la conjurer. Soral et Dieudonné sont dans le deuxième cas en cherchant à lui opposer la réconciliation.
Mais il ne peut en aucun cas s’agir d’une guerre civile. Pour qu’il y ait guerre civile encore faut-il appartenir à un même peuple ! Nous sommes piégés par la sémantique de l’ennemi, ennemi qui a tout intérêt à faire croire à une guerre civile. Les expressions guerre de libération, d’émancipation d’autodétermination, de décolonisation, de reconquête, conviennent beaucoup mieux. La présence de collabos auprès de nos ennemis ne suffit pas à en faire une guerre civile à part entière.
Si l’on s’abstient d’usiter la sémantique de l’ennemi les fausses solutions tombent d’elles-mêmes. Est-il décent de parler de réconciliation lorsqu’il s’agit de se libérer ?
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