Atomes crochus

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  • Goupille , 11 décembre 2012 @ 11 h 14 min

    Bonjour, Monsieur Miège…
    Je salue votre audace : vous êtes ici sur un site de nucléocrates nucléolâtres déterminés…
    Et pourtant…

    Imaginons un monde dans lequel l’Iran, ou autres du même genre, dispose de la force nucléaire.
    En a-t-il seulement besoin, quand un attentat “classique” avec dissémination d’un peu de plutonium, obtenu complaisamment sous couverture de “nucléaire civil”, suffirait pour contaminer et/ou empoisonner un nombre massif de victimes ?

    Et puis, Fukushima, branlante, et balayée au prochain tsunami. Pour ne parler que de celle-là.

    Et puis tous ces déchets contaminés enfouis à la sauvette au temps béni du je-m’en-foutisme positiviste technolo-scientiste des trente glorieuses, et que l’on retrouve maintenant sous les écoles maternelles…

    L’avenir est irradieux, comme disaient mes potes antinucléaires de 73… Quand il était encore temps de réfléchir à un autre monde pour nos enfants.

  • Eric Martin , 11 décembre 2012 @ 11 h 22 min

    “Vous êtes ici sur un site de nucléocrates nucléolâtres déterminés…”

    La preuve que non, sinon ce dessin ne serait pas paru. Pour la énième fois, qu’un anti-nucléaire nous envoie une tribune de qualité et inédite et nous la publierons avec plaisir. Tiens, il n’y a plus personne, d’un seul coup… Goupille ? Tintin ? Ohé !?

  • Goupille , 11 décembre 2012 @ 22 h 46 min

    C’était de l’humour, en commentaire à un dessin d’humour…
    Nous savons bien que ce forum est pluriel, et c’est ce qui fait son charme, précisément.

    Merci de l’invitation… Nous y songerons.

    Peu de temps et d’énergie à consacrer à un vieux combat perdu en rase campagne le 31 juillet 1977 face aux bouchers de l’Etat-EDF-CGT-Giscard-Framatome-Empain Schneider (aucun rapport avec Giscard, évidemment…).
    Vous concéderez peut-être que le brillantissime Super Phoenix a fait pschitt, et qu’il a creusé un énorme trou dans les finances publiques, à défaut d’un énorme trou de Lyon à Genève.
    Et que le brillantissime EPR suit gaillardement la piste de son prédécesseur.
    Mais la politique énergétique du poisson dans la nasse oblige.

    D’autres priorités, d’autres problèmes de survie collective ont surgi, qui auraient semblé inconcevables à l’époque. Preuve que l’histoire ne cessera pas de nous sortir des horreurs de son sac à malices.

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