Impression de malaise face à l’islamo-gauchisme dans l’Éducation nationale

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  • zouzou , 26 octobre 2020 @ 11 h 15 min

    Et ce sont les mêmes qui ont impitoyablement oeuvré à la déchristiannisation (ou plus précisément dé-catholicisation) du pays…Virer la croix pour hisser le croissant. Chapeau bas, les artistes! Mais attention, les lapinous : vous ne serez jamais assez soumis à vos nouveaux maîtres, jamais assez courbés. Préparez-vous à creuser vos propres tombes, en payant le couteau, la pelle, la pioche et la chaux.

  • Nicolas ZAHAR , 26 octobre 2020 @ 17 h 29 min

    La France est née d’un baptême en Noël 496, celui de son premier Roi; fille aînée de l’Eglise, nouvelle Israël, la France est par essence, CATHOLIQUE, par destinée sa seule raison est de poursuivre la diffusion de la Bonne Nouvelle; le jour où la France aura perdu son âme, étouffée par la République, elle mourra; et avec elle la civilisation catholico-française (Universelle), pour le plus grand drame de toute l’Humanité !

    Nous ne savons pas ce que signifie “République” (=la chose publique; est-ce un lampadaire au pied duquel trône une déjection canine ?) ou laïcité; chacun y allant de sa définition perso, mal bricolée et hasardeuse. En revanche les Français savent, depuis le fond de leur âme, de leurs tripes, ce qu’est la vraie Religion CATHOLIQUE et ce qu’est le ROYAUME de FRANCE. Pour ma part la République c’est l’anti-France et la laïcité c’est l’anti-catholicisme. Les faits sont plus têtus que les fantasmes.

    Le 29 janvier 1881, suite à l’interdiction de la pièce « Thermidor » de Victorien Sardou, jugée « antirépublicaine », Georges Clemenceau Clemenceau répondant à Joseph Reinach :
    « J’approuve tout de la Révolution : j’approuve les massacres de septembre où, pour s’éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts. J’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la fois l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée. J’approuve les horreurs de Lyon, où l’on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements de vieillards de quatre-vingt-dix ans et de jeunes filles à peine nubiles.
    Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche.
    Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l’État, un dramaturge illustre vienne, après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat ».

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