Nicolas Doze : Le monopole des pharmacies sent le sapin

Les médicaments sont enfin en vente en ligne. À quand la fin du monopole des pharmacie et l’ouverture à la concurrence ? Quelques éléments de réponse avec Nicolas Doze, ce vendredi 12 juillet sur BFM TV.

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11 Comments

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  • PARITEPEREMEREdepuis2000 , 14 juillet 2013 @ 2 h 32 min

    Le doctorat en pharmacie est un magnifique diplôme scientifique de niveau intrinsèquement supérieur au doctorat en médecine.
    Or c’est un crève-coeur de voir des gens si chèrement formés régresser ensuite dans une pratique comparable à 99% à celle d’un boutiquier du coin.
    Ceci dit sans nul mépris, “il n’y a pas de sot métier”, toutefois le financement sur vos impôts d’une formation à bac + 8 devrait être raisonnablement proportionnée au service objectivement rendu à l’Intérêt Général.
    Vous qui probablement fustigez l’énarchie comme instrument de confiscation des expressions populaires, admettez que à présent le corps pharmaceutique n’a plus guère de fonction opérationnelle directe sur la population.
    Toutefois si vous préférez vivre en fantasme à l’époque de M. Homais le notable normand du roman de Flaubert (pauvre M. Bovary officier de santé !), conservez pieusement votre nostalgie sans consommation d’anti-dépresseurs …

  • Craven , 15 juillet 2013 @ 19 h 55 min

    Je puis vous assurer que je n’ai jamais pris d’anti-dépresseurs… Et que j’ai souvent fait exécuter des préparations magistrales par mon pharmacien : exercice hors de portée du boutiquier lambda. Permettez-moi de vous faire remarquer que mon intervention soulignait surtout la désertification des centres de nos villes et villages et le piège à couillons qu’est une bien éphémère baisse des prix. Ce à quoi vous ne répliquez en rien.

  • MAXDUCK , 19 septembre 2013 @ 21 h 42 min

    Mais pourquoi pour les “consommateurs”?
    Les gens qui viennent acheter des médicaments ne sont-ils pas des patients?
    Autrement dit ne viennent-ils pas acheter un bien nécessaire, et non pas un bien futile? Autrement dit encore, il y aurait des “consommateurs” de médicaments?
    Effectivement que ces gens envient les Etats Unis et la mise à disposition des médicaments en grande surface s’expliquerait…
    Mais autant je peux comprendre la volonté de consommer plus de shampooing, et de yaourts (quoi que), autant, je ne vois pas cet interet pour des médicaments.
    Je pense qu’il vaut mieux en consommer peu (quitte ne vous en déplaise à les payer -et encore faudrait-il le prouver- un peu plus cher, que de les acheter 20 centimes de moins sans réellement les utiliser à bon escient…

    A vous lire, M. de l’autosatifecit qui note son propre commentaire à 5/5

  • maman64 , 19 septembre 2013 @ 23 h 16 min

    Je suis totalement contre la vente des médicaments hors des pharmacie. Je suis tellement contente d’avoir des conseils par mon petit pharmacien qui prend du temps pour moi et mes enfants. Qui est toujours ouvert, qui fait des gardes pour assurer une continuité des soins. Je ne pense pas que dans les super marchés les vendeurs prendront le temps de nous écouter et surtout je n’ai pas du tout confiance en ces tests de grossesse qu’ils risquent de mettre dans nos rayons. Ils ne savent même pas d’où vient la viande dans les plats préparé qu’ils vendent donc pensez-vous qu’il sauront d’où viennent les tests de grossesse qu’ils vendront dans leurs rayon??? Et avant de penser à vendre des tests de grossesse dans les super marchés pourquoi ne pas dire aux super marchés de baisser le prix des préservatifs qui ont un prix équivalent ou même des fois supérieurs aux pharmacies. Au moins ça limitera peut être la nécessité d’acheter des tests de grossesse pour ces femmes qui n’ont pas assez d’argent pour s’acheter des tests de grossesses à des prix “trop élevé”!!!!

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