Obama juge que s’opposer à la propagande LGBT est immoral

Lors de son récent passage dans The Tonight Show présenté par Jay Leno, Barack Obama a jugé que la Russie et d’autres pays “violent la moralité de base” en interdisant la propagande homosexuelle. L’inversion des standars (selon l’oligarchie) : l’homosexualité est morale, la propagande et les revendications plus encore, l'”homophobie” une perversion et les les “homophobes” des malades à sanctionner et à rééduquer…

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112 Comments

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  • monhugo , 16 août 2013 @ 4 h 42 min

    Profitant de mes habituelles insomnies, je viens de creuser un peu la question, en visionnant en particulier la vidéo (en fait conversation téléphonique, avec le seul interviewer à l’image) Dr Manning/Larry Sinclair, confirmant qu’Obama était bien consommateur de drogues, au moins quand il était étudiant, et indiquant pourquoi il est si enclin à soutenir le lobby gay. Le Dr Manning dit avoir une autre source très fiable (mais confidentielle), en dehors de Sinclair, l’ancien amant d’Obama, qu’il a en ligne. Obama serait donc “bi”, et non pas seulement “gay friendly”. Rien sur une épouse de simple convenance en revanche, ou “bi” de son côté.
    Il faut noter que les “rumeurs” sur un Obama homo (ou au moins “bi”) sont relayées par des sites homos. D’autres vidéos font état (actus télévisées) d’un secret de polichinelle dans la “communauté” homo de Chicago, où le futur président fréquentait bars et saunas pour “gays”.
    J’avoue humblement ne jamais avoir entendu ce genre d’infos (qui se recoupent, et sont diverses) avant…. Qui expliquent tellement bien l’attitude d’Obama – si directement concerné. Premier Noir (puisqu’il ne revendique que sa négritude, et non son métissage), et aussi premier “gay” à la tête des E-U !

  • monhugo , 16 août 2013 @ 4 h 52 min

    Avais à ce propos raté l’info de “Jean Luc”, plus haut. Merci à tous les 2. Permet de mettre en perspective le destin inattendu de ce sénateur inconnu, propulsé au 1er rang.

  • monhugo , 16 août 2013 @ 5 h 20 min

    Rahm Emanuel (père pédiatre, ancien sioniste actif – membre de l’Irgun, volontiers terroriste en Palestine sous mandat britannique) est apparemment un juif orthodoxe (marié à une “goy” convertie), père de famille (3 enfants). Il aura 54 ans en novembre prochain. Le nom “Emanuel” a été substitué à “Auerbach” par le père de Rahm, vers 1936. Conseiller politique pendant 5 ans sous Clinton, passant par le privé (chez Freddie Mac, organisme qui s’est tristement illustré plus tard, pendant la crise des sub-primes), on retrouve Rahm Emanuel au début des années 2000 dans la vie publique (“congress man”). Il a été un temps chef de cabinet de la Maison-Blanche (1er mandat Obama) et est maire de Chicago depuis mai 2011. Belle carrière pour celui couramment présenté comme le “golden boy” du parti démocrate. Ce serait en fait lui qui aurait “fait” Obama ? Mentor secret, et même un peu plus, côté privé ? Passionnant.

  • monhugo , 16 août 2013 @ 5 h 30 min

    La Russie gêne. Voir la campagne actuelle appelant au boycott des Jeux de Sotchi en 2014, parce que la Douma a adopté une loi combattant la propagande homosexuelle, dont le prosélytisme militant vise à endoctriner la jeunesse. La France est bien sûr “préoccupée” par cette loi “discriminatoire”. La “France” (en fait le pouvoir en place prétendant parler pour les Français) confond tout et “homophobise” tout. Protéger les mineurs (la loi russe ne fait rien d’autre) ne veut pas dire que les adultes homos soient à poursuivre, s’ils réservent leurs moeurs à la sphère privée, avec des partenaires d’âge convenable.

  • monhugo , 16 août 2013 @ 5 h 36 min

    Sur l’épouse officielle, il y a en tout cas sur le net moyen de commander des T-shirts affirmant : “Lesbians love Michelle”. Gageons que si l’on se promène en France avec ce genre de vêtement, on ne risque rien – au rebours des T-shirts éminemment subversifs de la MPT.
    Does Michelle love Lesbians ?….

  • Eurydice , 16 août 2013 @ 6 h 47 min

    Quel hypocrite! En Russie, on n’exécute pas les homosexuels pour le simple fait “d’en” être. Obama, qui est comme “cul et chemise”, c’est le cas de le dire, avec les dictatures musulmanes les plus répressives en matière d’homosexualité, avec l’aval, non seulement du Coran en tant que livre premier, mais aussi des Hadiths, qui en sont la substantifique moelle, car ils racontent, de l’intérieur , la vie, les pensées, les faits et gestes de Mohamed, par la voix de ses compagnons de tous les jours, se garde bien de les critiquer. Les Frères Musulmans et autres jihadistes parmi les plus extrêmes mangent à sa table. Comme l’ineffable mitrailleur de fatwas, alias Sheikh Qaradawi, qui , pas plus tard que la semaine dernière, a rappelé dans des messages vidéos que (je cite) “In Islam, the punishment of homosexuality is the death penalty.”
    Barack Obama , champion du grand écart, est un homosexuel. Quand il était sénateur, sa fréquentation assidue des saunas et autres rendez-vous homosexuels de Chicago, comme le Halsted’s Bar (3441 N.Halsted Street), le Kit Kat Lounge avec son “Supper Club et son “Sidetrack”) était un secret de Polichinelle.
    Quand il annonça son intention de se présenter comme candidat à la présidentielle, les plus incrédules furent les homosexuels. Ils se dirent que jamais, avec ce que l’on savait de lui, et de ses camarades de virées comme Rahm Emmanuel, l’Amérique bien pensante n’allait le laisser parvenir à ce but. Quelqu’un qui, pendant vingt-cinq ans ne laissait jamais passer un mercredi sans aller à la pêche aux vieux messieurs blancs ( ils lui rappelaient sans doute son grand-père Stan Dunham) !Dans un de ces clubs, il y avait même une suite baptisée “sénatoriale” et qui lui était réservée. Quand il cessa d’y aller pour cause d’ambition et de campagne électorale en 2004, on la rebaptisa “présidentielle”. Comme qui dirait “Au cas où…” Les dossiers de surveillance de cette NSA qui, plus tard, allait lui valoir le scandale des révélations de Edward Snowden confirment lesdites fréquentations.
    Il y a un autre club pour homosexuels, le “East Bank Club” de Chicago dont plusieurs membres interviewés confirment que Obama était l’un d’eux.
    A l’université, Obama était considéré par la communauté homosexuelle comme l’un des leurs. On le disait même en concubinage avec un jeune pakistanais…Il y a des photos qui les montrent en couple sur un divan.
    Barack Obama devrait se laver la bouche avant de prononcer le mot morale, lui dont toute l’histoire est marquée par la tromperie, le mensonge et la dissimulation.
    Cliquez “Frank Marshall Davis, Obama’s real father” et vous saurez tout de suite que Barack Obama dit “père” ne l’est pas. Cet étudiant kenyan adulte, catapulté à Hawaïi, en même temps que quarante de ses compatriotes, par une de ces actions humanitaires dont le partit “dit” démocrate avait le secret , pour y suivre un cycle d’études de trois ans en sciences économiques, avec obligation de retour et interdiction de travailler, ne fut que le dindon d’une farce organisée par Frank Marshall Davis, avec la complicité de son ami Stan Dunham, père de Ann, la maman de Obama.
    D’abord, Frank Marshall Davis: noir, pornographe et pédophile notoire, échangiste ,communiste, hyper-surveillé par le FBI, en exil semi-volontaire à Honolulu où il collabore sporadiquement à un petit journal gauchisant. Il connaît Stan Dunham, le mari éternel chômeur et alcoolique de la grand-mère de Obama qui, elle est sous-directrice de banque. Ils se fréquentent et vont souvent ensemble dans les postibules les plus mal famés de la ville. Il a déjà rencontré Ann quand elle avait treize ans et raconte, sous des clés facilement déchiffrables, dans un horrible faux roman mais véritable récit autobiographique, avoir eu une relation sexuelle avec elle. Il la reverra quand elle aura dix-huit ans et là aussi, dira, sans le dire (car il est marié avec une femme blanche et a deux enfants) tout en le disant, qu’il a eu des rapports avec elle. Pas besoin d’être une spécialiste des recoupements du calendrier pour conclure que l’enfant qui allait naître quelques mois plus tard était le sien
    Mais si la fille, blanche, d’une banquière tout aussi blanche, à Hawaïi devait avoir un enfant d’un noir, ce qui était déjà scandaleux, il ne fallait pas que ce fût celui-là, catalogué comme subversif et dont tout le monde connaissait les travers, les petits trafics de cocaïne, etc…C’est là qu’entre en scène le kenyan, aux résultats universitaires peu satisfaisants, en fin de permis de séjour et déjà en conflit avec l’administration pour avoir exercé un emploi de magasinier, tout en touchant une bourse. En outre, il avait essayé de faire venir clandestinement une copine kenyane basée à Londres, en la présentant comme sa sœur. On lui présente Ann. Il n’a pas le choix. On organise une cérémonie de mariage dont personne n’a jamais vu une photo (Président Obama dixit). Encore moins y eut-il de signature devant quelque officier de mairie, ni juge, ou une quelconque fête. L’enfant naît. Là aussi, la fausse grand-mère kenyane dit ” Il est né au Kenya”, pendant que d’autres disent “Né à Hawaïi.” L’histoire du faux certificat de naissance n’en finit pas et n’en finira jamais d’empoisonner la vie de Monsieur le Président.
    Le kenyan en reconnaît l’enfant et peut rester quelques mois de plus. Il n’a a jamais vécu un seul jour avec Ann. En outre, des nouvelles arrivent du Kenya pour révéler qu’il y a déjà deux épouses. Il s’enfuit, non sans se faire accompagner par une autre femme blanche prénommée Ruth et dont il fera sa troisième épouse. On le retrouvera mort à l’aube, hyper-alcoolisé, dans sa voiture accidentée , au bord d’une route. Elimination? Il ne servait plus, mais risquait un jour de tout déballer. En tout cas, il paraît qu’il ne buvait plus depuis longtemps. Bien sûr, juste avant sa mort, il y eut une rencontre organisée et très photographiée, au Kenya, de ce soi-disant père avec son soi-disant fils, qu’il n’avait vu qu’une seule fois.
    Ann rencontre un indonésien, Soetero, l’épouse (comme elle n’avait jamais épousé le soi-disant Barack-père, il n’y eut pas de divorce. CQFD!) Le petit Barack a deux ans. Ils partent tous vivre au pays de Soetero, qui adoptera l’enfant et le rebaptisera “Barry Soetero, musulman” et l’élèvera comme les deux enfants qu’il aura avec Ann.
    Revenue à Hawaïi après son divorce d’avec Soetero, Ann laisse Barack, qui a six ans, avec ses parents et rentre sur le continent.
    En tout cas, Barack Obama s’y connaît en matière d’élimination de témoins gênants. Cliquez sur le site
    http:/7www.fellowshipsofminds.worldpress.com/2010/0725
    Vous y trouverez le chagrin infini de Victoria Young, 76 ans, officier de police à a retraite , dont le fils Donald Young, choriste à la vraie-fausse église de Jeremiah Wright (pasteur homosexuel, mentor de Obama, “ex-black muslim” chassé de chez Louis Farrakhan pour cette raison) , et qui au sein de cette église dite de la Trinité, entretint pendant 25 ans des relations très proches avec Barack Obama. Victoria Young dénonce: “My son was slain to protect secrets of pal who became president.” Une balle dans la tête, le lendemain du jour où il avait menacé de “tout” raconter.
    Puis, il y eut un certain Larry Bland, exécuté le 17 novembre 2007, à Chicago. Il sera suivi par Alex Okrent, 29 ans, “copain” de Obama et qui participa même très activement à sa seconde campagne. Il fut tué en juillet 2012. A chacun, une balle dans la tête, “Chicago Style” , pour avoir parlé de l’homosexualité de Barack Obama qui n’est ni le président des noirs, ni celui des latinos, mais celui des homosexuels, et qui se fut camouflé dans le DLC, alias “Down Low Club”, alias “Mollo, les basses” exclusivement réservé aux homosexuels et politiciens noirs, mariés par convenance ( pour lui ce fut Michelle que, deux jours auparavant il traitait, lui le métis, de trop noire et trop fessue!) et décidés à tromper le monde.
    Anecdote croustillante: à la NSA , dont Obama-président adoptera plus tard les méthodes, on crut longtemps que le sigle DLC voulait dire Democratic Leadership Council. Vous avez dit “couverture”?

  • Dōseikekkon , 21 août 2013 @ 20 h 22 min

    Ha ha ha !
    J’ai cru mourir de rire…
    Merci pour ce bon moment.

    (Monsieur Propre : « Avant que d’atteindre un age avance, etant ne avec une beaute naturelle hors du commun (…) »)

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