En Autriche, l’interdiction de la burka suscite un débat sur les libertés

L’Autriche a interdit depuis le 1er octobre le port du voile islamique intégral et toute dissimulation du visage dans l’espace public mais les autorités ne s’attendaient pas au casse-tête posé par plusieurs cas particuliers, comme les gens qui portent des masques, des costumes publicitaires ou même des cache-nez précoces pour la saison. Un homme déguisé en requin à l’occasion d’une campagne promotionnelle a déjà été condamné à une amende :

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5 Comments

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  • Trucker , 12 octobre 2017 @ 15 h 52 min

    Parce que porter un vêtement publicitaire,un costume de requin à des fins promotionnelles,des cache-nez ou un casque c’est faire acte de prosélytisme politico-religieux ?

  • Wagner , 12 octobre 2017 @ 16 h 55 min

    Il y a malheureusement des personnes peux intelligentes , qui elles ,confondent vêtement publicitaire et burka. Ceci ne m’étonnerai pas si cette remarque vienne d’un musulman.

  • petitjean , 12 octobre 2017 @ 18 h 36 min

    pitoyable argument

    comment confondre, volontairement ?, l’exception et la règle

  • Paule C , 12 octobre 2017 @ 20 h 49 min

    Il faut arrêter se de cacher derrière son petit doigt. C’est le voile islamique sous toutes ses formes qu’il faut interdire partout. Il est le signe ostensible de l’infériorité de la femme, qui est un des principes fondateurs de l’islam,

  • Jean NOGUES , 13 octobre 2017 @ 10 h 48 min

    Ces objections sont des ergotages qui ne peuvent venir que de gauchos qui cherchent la bagarre tout prix.

    Un porteur de masque publicitaire va s’arrêter immédiatement si un policier ou un gendarme le lui demande, s’expliquera sans agressivité et tôt ça se terminera en deux minutes par des excuses.

    Mais une provocatrice porteuse de burka intégral, ça va faire le plus de bruit possible, immédiatement il y aura des tas d’assoces qui vot souder de partout comme les vers après la pluie sur un cadavre, qui vont râler, rameuter tout le gauchisme d’un bout à l’autre de l’univers, les journaux en parleront pendant huit jours, et ainsi de suite.

    La différence est donc évidente, et ces demandes de débat devraient être traitées ave le silence méprisant.

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