Vive le roi quand même (Vidéo)

Jadis Jean-Marie Le Pen participa à un CD de chants royalistes, vendéens et chouans où il interpréta cette chanson de grande voix, montrant une fois de plus son attachement à la culture française dans sa globalité passant de la monarchie, l’empire et la république. Pensons aussi à la guerre de Vendée dont le Génocide et le mémoricide ne sont toujours pas reconnu. Ce chant est surtout mis de nos jours dans ce qu’on pourrait appelé les Chants de France.

Sur l’air : C’est ce qui me console, datant de 1816 La Chambre discutait un article de loi contre le régicide. On savait que le Roi penchait pour la clémence. Bétisy intervint dans le sens ultra (V. Moniteur universel du 6 janvier 1816.) Chanson extraite de « Recueil de chansons à l’usage des gardes nationales du département de la Loire ». Mais vendéenne. – Montbrison, Cheminal, 1816.

Paroles :

Quand même craignant mes discours

L’intrigue oserait tous les jours

Me crier anathème (bis)

Je répondrais : Haine aux forfaits.

Les poursuivre est d’un bon Français.

Vive le Roi ! quand même. Vive le Roi, vive le Roi Quand même un glaive seul au bras

De Condé je suivrais les pas, L’honneur et d’Angoulême (bis)

Sans feu, sans gîte, et même à jeun, Je dirais encore à chacun Vive le Roi, etc. (bis)

Quand même, en voulant sa grandeur, Du Roi je perdrais la faveur, Ce bien d’un prix extrême; (bis)

Plus royaliste que le Roi Je dirais satisfait de moi Vive le Roi, etc. (bis)

Quand même au sein des jeux, des ris, Bacchus troublerait mes esprits ; Ferme dans mon système, (bis)

En faisant sauter le bouchon, Mon coeur dirait pour ma raison Vive le Roi, etc. (bis)

Quand même pour servir mon Roi Le sort me ferait une loi

De quitter ce que j’aime, (bis)

Soumis aux risques d’un absent

Je répéterais en partant : Vive le Roi, etc. (bis) Quand même, sans rien obtenir, Je resterais à l’avenir

De froid tremblant et blême ; (bis)

Mon coeur n’en serait pas moins chaud ; Je dirais tout bas et tout haut Vive le Roi, etc. (bis)

Quand même il me faudrait périr O mon Roi ! pour mieux affermir Ton brillant diadème ; (bis) En mourant pour le fils d’Henry Je dirais avec Bétisy :

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