A Grasse, des jardiniers font de la résistance

Thierry et Audrey Bortoloni refusent de vendre leurs fleurs de parfum à l’industrie de la parfumerie. A Grasse, c’est une situation singulière. Pour rester indépendant, le couple se lance dans la production de confiture à base de fleurs. Un petit bastion de résistance au milieu d’une armée de producteurs de parfum :

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4 Comments

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  • Tite , 14 mai 2015 @ 14 h 43 min

    Quelle honte !
    Ces gens sont d’odieux racistes… ils ne veulent pas que leurs roses soient “mélangées” à d’autres fleurs !
    Qu’attendent Valls & Cazeneuve pour leur envoyer le GIGN ?

    Et en plus ils ne veulent pas devenir riches, ni trahir leurs ancêtres !
    Ils sont idiots où quoi ?!!

    Ah! mon Dieu ! Si seulement il y en avait plus comme ceux-là…

  • Goupille , 14 mai 2015 @ 18 h 21 min

    Bravo : on ne vend pas, à aucun prix, aux promoteurs canailles.

  • Charles , 14 mai 2015 @ 18 h 56 min

    La résistance doit s’exprimer de 1000 manières.

    https://www.youtube.com/watch?v=GPzvcBFHnI0

  • Zèbre Zélé , 16 mai 2015 @ 12 h 32 min

    On mélange tout dans cet article : le refus de vendre leurs fleurs aux producteurs de parfum, et le refus de vendre le terrain à des promoteurs qui le bétonneraient.

    Autant on comprend le désir de conserver cette belle propriété intacte, autant les raisons du refus de vendre les fleurs sont nébuleuses et auraient mérité plus d’explications, au lieu de laisser entendre que les producteurs de parfum sont des prédateurs aussi nuisibles que les promoteurs immobiliers.

    Travail bâclé (ou “orienté” ?). Ca c’est du journalisme, coco !

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