Comprendre les ressorts de la « crise dans le Golfe »

Il y a un peu plus d’un mois, le 5 juin dernier, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Bahreïn et l’Égypte rompaient leurs relations diplomatiques avec le Qatar, accusant l’émirat de soutenir des groupes terroristes et d’être lié à l’Iran. Une décision prise moins de 15 jours après le sommet de Riyad, auquel Donald Trump s’était rendu. Ce dernier porte-t-il une responsabilité dans cette crise ? Son secrétaire d’État, Rex Tillerson, peut-il aujourd’hui contribuer à la résoudre ?

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