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47 Comments

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  Tonio , 16 septembre 2013 @ 16 h 57 min

  Et qui peut bien certifier à quel moment commence ou finit l’attaque ? Quand on est pas encore mort ou seulement après la mort ou juste avant qu’on ne soit mort, mais pas tant que le température du corps reste au-dessus de la température ambiante ? ça c’est bon pour le médecin légiste, pas pour le bijoutier qu’on vient massacrer pour de la verroterie ou de boucles d’oreilles; où sont les témoins, les preuves, les éléments objectifs d’une véritable attaque? La Cour prononcera! Et vive Taubéria et Vallsdjinski ! pour eux l’état de droit c’est beaucoup trop compliqué et alors on prend les virages à la corde…
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  charles-de , 17 septembre 2013 @ 11 h 14 min

  Merci de me préciser le nouveau numéro de cet article ! Moi, j’ai lu la version du Dalloz de 1985, en vigueur à l’époque de cette audience (1988).
  Vous ajoutez des précisions sur les décisions concernant les conséquences du divorce qui, elles, ne sont pas suspendues, merci encore du cours !
  Toujours est-il que quand j’ai dit que le divorce n’existait pas parce qu’il traînait à la Cour de Cassation, et que l’autre m’a répondu : “Le recours en Cassation n’est pas suspensif.” Qui avait raison ?
  Grâce à l’imbécillité de mon épouse, qui a refusé toute conciliation (et qui se comparait par écrit à Gabrielle Russier, vous voyez le genre) et aussi à toutes sortes de dysfonctionnements de la “Justice” (entre autres faux, usage de faux, faux témoignages etc), la procédure commencée fin 1980 a duré jusqu’à l’inscription de l’arrêt sur les actes début 1989.
  Jusque-là, NOUS éTIONS TOUJOURS MARIéS !
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  Diex Aïe ! , 17 septembre 2013 @ 17 h 03 min

  Alors qu’Esteban et Samuel croupissent en prison depuis plus de trois mois suite à l’affaire Méric, il n’a pas fallu deux jours pour que Stéphan Turk, bijoutier étranger (juif ou libanais selon les sources) soit remis en liberté, malgré la présence de troublants éléments dans cette affaire. Le bijoutier aurait tué le braqueur – issu lui de la communauté gitane corse (!) – non durant le braquage, mais après l’avoir suivi dans la rue et l’avoir abattu dans le dos.

  Il a été libéré malgré une mise en examen pour homicide volontaire, alors que la légitime défense est exclue, des conditions exactement inverses pour Esteban et Samuel qui eux, ont agi en état de légitime défense et ne sont mis en examen que pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
  http://www.contre-info.com/liberation-du-bijoutier-de-nice-deux-poids-deux-mesures
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  Diex Aïe ! , 17 septembre 2013 @ 17 h 06 min

  hélas : http://www.contre-info.com/liberation-du-bijoutier-de-nice-deux-poids-deux-mesures
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  charles-de , 18 septembre 2013 @ 22 h 13 min

  Ca PROUVE bien que “l’impartialité” de la Justice n’est qu’un MYTHE de plus !

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