La République tue, et sans forme de procès !

La peine de mort à l’issue d’une condamnation judiciaire a peut-être pas disparu mais pas la peine de mort extra-judiciaire, ainsi que le révèle cet entretien avecVincent Nouzille réalisé par Médiapart :

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20 Comments

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  • pinkette234 , 16 février 2015 @ 3 h 49 min

    Médiapart ;Je suis plus que méfiante…jamais je ne m’abonnerais!

  • appeals , 16 février 2015 @ 9 h 35 min

    Il faut aussi flinguer ceux qui sont en France, mais la guenon va s’y opposer étant elle-même une activiste…

    Elle craindrait pour ses miches !!!

  • André Pouchet , 16 février 2015 @ 9 h 43 min

    Je ne mets pas en doute la qualité de l’enquête menée par M. Nouzille et la véracité des informations ainsi recueillies. Tout cela parait parfaitement plausible.

    Je m’interroge cependant sur l’intérêt de divulguer toutes ces choses qui auraient dû normalement demeurer secrètes. Pourquoi a-t-on fait au journaliste des confidences et pourquoi l’a-t-on en quelque sorte, non seulement autorisé, mais encouragé à donner à tout cela la publicité qu’il leur donne ? A qui tout cela doit-il profiter ? Qu’est-ce que le pouvoir actuel en attend comme effets ?

    Chacun ici sait bien que Média-part n’est pas un organisme dont les objectifs prioritaires seraient d’informer le public d’une façon neutre et désintéressée, mais une officine qui, sur le terrain de l’information, en feignant de délivrer une information objective et de qualité, poursuit les buts politiques qui sont les siens.

    Je me souviens qu’au moment de l’affaire du sabotage du Rainbow Warrior, un échange téléphonique entre Edwy Plenel et un journaliste dont le nom ne me revient pas pour le moment (échange intercepté par les écoutes illégales de Mitterrand et ultérieurement rendu public), révélait que la préoccupation principale de ces braves gens était : “comment continuer à alimenter le scandale avec des révélations savamment distillées jour après jour tout en évitant d’éclabousser le 1er ministre de l’époque, Laurent Fabius”, un homme à qui, pour des raisons qui m’ont jusqu’ici échappé, ils entendaient épargner le discrédit jeté sur l’ensemble du gouvernement.

    Bien sûr, alors, Média-part n’existait pas encore mais c’était déjà l’infâme Plenel qui était à la manœuvre, avec déjà les mêmes hypocrites prétentions à une “déontologie journalistique” irréprochable !

  • Voyageur , 16 février 2015 @ 12 h 06 min

    Il y a aussi une autre manière d’appliquer la peine de mort, c’est celle qui consiste à tuer les terroristes quels qu’ils soient plutôt que de chercher à les arrêter puis les juger. Outre que cela ne coûte que le prix de quelques balles, cela fait l’économie d’un procès très coûteux, cela permet aussi au gouvernement de ne pas se retrouver en position d’accusé lors du procès si par un mauvais hasard il apparaissait au cours des débats qu’il a fait preuve de laxisme, voire de négligence, et de voir ainsi étaler au grand jour son incurie. Même si personne ne versera une larme pour la mort des terroristes, on peut se poser la question de la légitimité des assassinats de cibles désignées par le pouvoir en place. Car, qui dit que telle ou telle personne doit être tuée ? Un petit comité appartenant au services de renseignements qui établit une liste qu’il soumet au président ? Ou la requête vient-elle du président lui-même comme semble le dire l’auteur de ce livre ? Ou les deux de manière concomitante ? Dans le premier cas on peut raisonnablement penser que nous avons affaire à des individus intègres et non-partisans. Mais dans le deuxième cas cela pose la question de la décision politique du président.

  • LIU , 16 février 2015 @ 12 h 18 min

    Dans ce cas , qu’attendent-ils pour lancer une opération “homo” sur Aboubakar Shekau , le chef de Boko Haram , car “ils” doivent bien savoir où il se trouve ?

  • ESSYLU , 16 février 2015 @ 16 h 33 min

    Depuis 1945 la France subit le terrorisme culturel marxiste voulu par Staline soutient de de gaulle

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