Même les LGBT censurent l’affiche «L’inconnu du lac» !

Ils n’assument pas complètement. Les quelques militants LGBT qui se sont rassemblés mercredi devant la mairie de Saint-Cloud pour dénoncer la décision du maire UMP de faire retirer des panneaux de la ville les quatre affiches pornographiques – on y voit au second plan un homme faire une fellation à un autre homme – du film porno-gay L’inconnu du lac prenaient bien soin de ne pas montrer la scène en question aux journalistes qui couvraient leur manifestation.

Pour rappel, voici l’affiche du film :

Les militants LGBT, eux, préfèrent s’afficher seulement avec la scène de premier plan, qui montre deux hommes s’embrasser sur la bouche, ainsi que le montrent ces captures d’écran tirées du film réalisé mercredi par Line Press :

À chaque fois, la scène de fellation est coupée !

Il ne faudrait quand même pas passer pour des pervers favorables à ce type de scènes dans l’espace public…

Si même les militants homosexuels se mettent à censurer l’affiche L’inconnu du lac !

Lire aussi :
> Saint-Cloud : les extrémistes LGBT remettent ça / Rdv devant la mairie dimanche dès 13h30

Related Articles

68 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • monhugo , 17 juin 2013 @ 0 h 31 min

    « L’homme et la femme s’unissent pour perpétuer leur espèce, pour s’aider par des secours mutuels à porter le poids de leur vie et partager leur commune destinée ». Ainsi Portalis définissait-il le mariage, dans son Discours préliminaire. Je n’ai pas à demander l’assistance d’un prof’ de droit, puisque j’ai moi-même enseigné le droit civil de la famille. La rédaction originelle du Cc visait nommément le mari et la femme, mais en parlant d’un mari “protecteur” et d’une femme “obéissante”. La puissance maritale disparaissant en droit positif, cette façon explicite, mais datée, de préciser les choses disparut. Cela est-il clair ? Et quand je dis que le droit civil ne parlait jusque-là ni sexualité, ni sentiments, mais famille, j’ai évidemment raison. Et j’ai donc encore raison quand j’écarte d’un revers de main votre jargonnage sur la “discrimination”, sauf si vous remarquez que c’est la nature qui “discrimine”, en ne prévoyant de procréation humaine que sexuée. Si on ne peut pas fonder de famille parce qu’on ne veut copuler qu’en miroir, le mariage n’est pas indiqué. Une des raisons principales de cette dénaturation uniquement idéologique du mariage est que les invertis deviennent ce faisant recommandables socialement – on baptise leurs paires des “couples”, et le tour est joué. La parité est la règle en mariage, car seule capable de rendre légitime l’institution (l’officier d’état-civil pouvait vérifier qu’il avait affaire à un homme et une femme, vérification objective – comment pourrait-il vérifier ce qui devrait se passer dans l’alcôve des “époux”, assurément subjectif et indiscret ?). Sans caractère sexué, le mariage est une coquille vide, “squattée” par des bernards l’hermite relativistes, en quête aussi (2ème raison de cette faveur récente des invertis) de justice commutative (je paye pour la marmaille des autres, je veux me rembourser pour partie en me présentant en personne mariée – avantages non négligeables, comme pension de réversion et droits successoraux minorés).

  • monhugo , 17 juin 2013 @ 0 h 38 min

    La fosse “sceptique” est admirable ! J’avais failli la rater – vraiment dommage, assurément. Apprenez à écrire en français. Confondre “septique” (la fosse) et sceptique (comme Diogène), c’est d’un drôle ! Irrésistible. Quant aux lieux d’aisance, pour ma part, je m’en tiens éloignée avec soin, sauf en situation – d’hygiène. Au rebours de beaucoup. Les pratiques sodomites (qui ne se limitent d’ailleurs pas aux seuls invertis – mais sont le mode de copulation pour eux, il est vrai, quand de sexe masculin) regardent ceux qui s’y adonnent – rien à voir avec le mariage et le droit civil.

  • Calcifer , 17 juin 2013 @ 1 h 35 min

    Portalis n’était pas le seul rédacteur d’un Code qui devait faire l’objet d’un consensus contrôlé par un certain Napoléon. L’avis de l’un ne vaut pas avis de tous. En outre à l’époque on envisage pas d’union entre deux hommes. Il faut remettre les choses et donc les citations dans leurs contextes sinon vous serez légitiment accusée d’instrumentalisation grotesque. Par ailleurs le reste de la phrase est une caricature de la définition que j’ai donné auparavant à savoir celle de la communauté de vie : c’est la maturation d’une conception évolutive du mariage.
    Je suis attristé de savoir que vous avez enseigné le droit de la famille… Avec une conception aussi restreinte et élitiste c’est vraiment dommageable pour les étudiants. Des approximations, des amalgames et des axiomes ne constituent pas un bon enseignement. Ceci explique pourquoi vous recevez des leçons d’un étudiant en droit… en deuxième année… Alors non dans votre discours rien n’est clair tout est fallacieux. Car non la première rédaction des articles du Code civil sur le mariage ne précisait pas le sexe des époux, j’ai moi même eu la chance de le constater… Désolé.

    Et quand vous dites que le code civil ne tenait pas compte de la sexualité en pensant au mariage vous vous plantez royalement. D’abord parce que l’inceste fait un rapport direct à la sexualité, ensuite parce que l’homosexualité est une orientation et enfin parce que le fait de mettre des citoyens sur un pied d’égalité annule donc cette condition d’orientation particulière. Vous ne pensiez tout de même pas écarter d’un revers de main ce qui relève du bon sens pur. Le mariage ne parle pas explicitement de sentiments mais dans la mesure où le mariage blanc est prohibé, il y a des conditions implicites qui semblent vous échapper. La famille n’est pas un modèle que l’on manipule au gré des morales pernicieuses. Alors donc c’est simple : vous avez raison quand vous parlez de discrimination naturelle mais vous devriez donc comprendre que le but de la société est précisément de passer outre ces discriminations. Toutes ces contraintes que l’on retrouve dans l’état de nature et qui justifient la construction sociétale. Votre raisonnement va donc à l’encontre des bases des institutions juridiques. Vous considérez toujours que les couples stériles ne devraient pas se marier (votre peine à trouver un argument cohérent vous oblige à user d’images malheureuses qui ne répondent pas à vos propres objectifs…). Il est tout aussi inapproprié de parler de dénaturation du mariage. Celui –ci étant caractérisé par son adaptabilité (cf le consentement). Mais il est loin le temps de la cum manu… Par ailleurs les « invertis » comme vous dites n’ont pas attendu cette loi pour ne pas être considéré comme socialement recommandable. Seuls quelques milieux miteux les rejettent encore. La parité est la seule à légitimer l’institution du mariage dans un monde où l’on considère que les enfants d’homosexuels ne méritent pas de protection… Dans une société dégénérée qui ne veut pas reconnaître la réalité. Mais quand j’ai la raison et la loi de mon côté je me permets de vous questionner sur votre un éventuel syllogisme qui vous pousse à soutenir que le mariage non sexué est une coquille vide ? Où est donc le raisonnement, sur quoi repose-t-i ? Où est cette démonstration que je réclame depuis plusieurs messages. Le mariage n’est pas une récompense pour participation à la vie sociale. Les règles du jeu sont différentes et on n’obtient pas des droits comme des points que l’on gagnerait en respectant des devoirs. Et effectivement la justice commutative est la plus appropriée pour régir ce genre de règles sociétales.
    Vous devez complexer d’enseigner un droit que vous ne comprenez pas et qui va à l’encontre de vos valeurs. J’ai pitié je dois bien le dire.

  • Calcifer , 17 juin 2013 @ 1 h 36 min

    « Apprenez à écrire en français. »

    De la part d’une pseudo prof de droit qui reçoit des leçons de simples élèves c’est amusant non ?

    « D’où viennent les enfants de « l’homoparentalité » ? »

    D’un peu partout. Y compris en faible quantité de la PMA et de la GPA. De nombreuses familles décomposées car reposant sur un mensonge imposé par des complexes et des non dits qui ne tiennent que peu de temps. La légalisation des deux n’a rien d’évident, vous supputez sur la position d’une cour européenne qui n’a jamais vraiment montré sa témérité en la matière. Le droit européen n’est pas votre matière non plus… décidément. En attendant la loi Taubira ne consacre ni l’une ni l’autre et la circulaire que vous dénoncez se contentait d’appliquer la loi et d’étendre son application à un plus grand nombre de circonstances alors détendez vous. Et M. Hollande n’a jamais promis que le pacs était l’institutionnalisation ultime des couples homos je regrette. Le PS de 99 n’est plus du tout celui de 2013.
    Et oui je me gausse…devant votre déroute intellectuelle et morale… J’ai du mal à m’arrêter.

    Je n’ai pas de certitudes militantes. Je ne milite que pour l’expression du bon sens. C’est ainsi que je vous ai donné une petite leçon d’histoire du droit pénal qui visiblement ne vous plait pas beaucoup mais je peux comprendre c’est humiliant pour quelqu’un de votre condition qui n’a que la recherche des fautes d’orthographe comme réserve de crédibilité. Je comprends le plaisir que vous avez à me le faire remarquer… mais vous n’imaginez pas à quel point ça me fait rire de constater que vous n’avez que ça. Vous devez aussi comprendre que je ne souhaite pas faire autant d’efforts avec des esprits tourmentés et atteignant péniblement la taille d’un pois chiche que dans une copie de droit des obligations. Vous voyez, je comprends votre haine à mon encontre et si je n’ai jamais rencontré de vrais arguments solides contre le mariage homo, je ne peux pas vous reprocher d’avoir essayé. Mais dans la mesure où j’ai déjà discuté des huitres plus futées que vous, je ne pouvais que vous briser, vous et votre propagande dégénérée.

  • Pite , 17 juin 2013 @ 11 h 35 min

    Surtout qu’ils doivent être habitué à ce genre d’odeur !!

Comments are closed.