La fin de la notation des élèves français : l’exemple suisse

Une conférence sur l’épineuse question de la notation des élèves se déroule à Paris cette fin de semaine. La ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem a en effet récemment proposé de réviser le système de notation des élèves qu’elle trouve trop classant est assez décourageant. Plusieurs nouveaux systèmes d’évaluation vont donc être étudiés, celui retenu sera mis en œuvre pour la rentrée 2016. Un rapport du conseil supérieur des programmes, remis à la ministre le 2 décembre dernier, suggérait déjà de mettre en place une « évaluation bienveillante » pour les élèves. Des systèmes à base de lettres, de smileys ou encore de codes couleur sont ainsi évoqués en premier lieu. En Suisse, les enfants de moins de 8 ans ont le droit à un système d’appréciation, il existe, par la suite, un système de notes entre 0 et 6. En 2009, le canton de Genève avait voté au sujet des notes. 74,5% des votants s’étaient exprimés en faveur d’un retour au système de note après l’avoir supprimé en 1997.

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25 Comments

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  • Tonio , 15 décembre 2014 @ 7 h 37 min

    L’égalité des chances est une leurre forgé par les socialauds par pur clientélisme, comme tout le reste.
    L’égalité des chances est une sottise qui a fait phosphorer dans le vide ceux qui y trouvaient une moyen inavouable de promouvoir la paresse scolaire à moindre frais: ce que najak s’apprête à remettre à l’honneur.
    L’égalité des chances c’est comme donner un beau matin 1000 € à tout monde: le soir on verra des millionnaires et des endettés à vie..
    Le vrai discours doit être donner toutes ses chances à chacun, à lui des les mettre à profit dans les conditions qu’il voudra, si celles qui lui sont proposées ne lui conviennent pas.

  • Tonio , 15 décembre 2014 @ 7 h 38 min

    L’égalité des chances est une leurre forgé par les socialauds par pur clientélisme, comme tout le reste, appuyés par les pseudo-pédagogues des années 1960….
    L’égalité des chances est une sottise qui a fait phosphorer dans le vide ceux qui y trouvaient une moyen inavouable de promouvoir la paresse scolaire à moindre frais: ce que najak s’apprête à remettre à l’honneur.
    L’égalité des chances c’est comme donner un beau matin 1000 € à tout monde: le soir on verra des millionnaires et des endettés à vie..
    Le vrai discours doit être donner toutes ses chances à chacun, à lui des les mettre à profit dans les conditions qu’il voudra, si celles qui lui sont proposées ne lui conviennent pas.
    Simple comme bonjour…

  • Lassaigne , 15 décembre 2014 @ 7 h 58 min

    la votation a donc tranché, avec septante quatorze virgule cinq pour cent des suffrage en faveur du retour aux notes.

  • escareyre , 15 décembre 2014 @ 8 h 00 min

    Tant que les Français ne seront pas minoritaires dans leur pays, les notes dénonceront les éléments des races inférieures. Cela est stigmatisant pour les immigrés incapables de parler et d’écrire dans la langue de Molière, totalement étrangers aux mathématiques alors que dans leurs pays les seules mathématiques qui soient utiles sont : « un peu et beaucoup ». Donc, pour faire disparaître les Français de souche commençons par faire disparaître les notes, cela me semble logique, rationnel : veut-on détruire ce Pays oui ou non ! Oui ! Alors met-on s’y les moyens !

  • pas dupe , 15 décembre 2014 @ 8 h 29 min

    Ce matin aux infos “…les étrangers qui viennent en France sont plus diplômés que les Français..”
    Alors, pourquoi viennent-ils en France ? Pour accroître les chiffres du chômage ???

  • xanpur , 15 décembre 2014 @ 8 h 50 min

    Les socialo associent le fait d’avoir de mauvaises notes au fait d’être un imbécile incapable.
    Ils montrent là le mépris qu’ils ont pour les personnes qui ne sortent pas de grandes écoles, les travailleurs manuels, les autodidactes.
    Bref le mépris qu’ils ont pour la classe ouvrière en particulier et les travailleurs en général !

  • aixois , 15 décembre 2014 @ 10 h 17 min

    La notation entraine le classement des élèves, du meilleur au moins bon. C’est la base de la sélection. Et la sélection, tout le monde la pratique, qu’il s’agisse du produit que nous voulons nous procurer, ou d’une entreprise à laquelle nous désirons confier un chantier.
    Mais bien sûr, la gauche a toujours détesté cette évidence, l’égalitarisme est le seul concept qu’elle comprend.

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