La suite de Tomboy… Gerontophilia !

Tobias Teuscher
15 mars 2014
Latest Update: 28 août 2018 10 h 58 min
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Chers amis,

Après Tomboy, la prochaine polémique sur l’identité sexuelle lancée sur le grand écran pour repousser les limites, s’appelle: Gerontophilia.

Synopsis : un garçon minet découvre son intérêt homosexuel pour les messieurs (vraiment) âgés, se fait embaucher dans une maison de retraite et tombe sous le charme de M. Peabody, un patient séducteur de 82 ans.

Leur relation amoureuse inter-générationnelle nous est partagée à travers de scènes à la fois suggestives et “action sexe au lit” avec un vingtenaire et un octogénaire dénudés et passionnés l’un comme l’autre.

Repousser les limites de l’identité sexuelle + promouvoir la solidarité entre les générations = partager les envies sexuelles !

Une contestable contribution cinématographique dans le cadre de l’Anne internationale de la famille (2014) proclamée par les Nations Unies.

Sortie en cinéma français : mercredi 26 mars 2014 prochain.

Bon cinéma, quand même !

32 Comments

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Maurice , 16 mars 2014 @ 8 h 35 min
Depuis quelques années, nous avons les petits enfants des soixante-huitards qui prendre la suite de leurs grands-parents en nous martelant que la perversion sexuelle est ce qui doit être, le contraire n’est pas bien ! Enfilons-nous nous disent-ils, là nous voyons qu’après les petits enfants ils se tournent vers les anciens, à quand la zoophilie ? (les films et écrits sont peut-être déjà faits par ses malades)
Plus aucune retenue ! Plus aucune morale !
Oui – monhugo –, il ne se passe pas de semaine où nous n’avons pas de tels films à la TV comme s’il fallait que ça devienne la norme. Il y a des quartiers où ses personnes vivent entre elles, bientôt, ce sera des quartiers pour NOUS, non pervers ! Peut-être qu’un signe de reconnaissance nous sera demandé d’avoir sur nos vêtements ? !
Saz , 16 mars 2014 @ 9 h 01 min
La fin de la civilisation s’approche. Il y a trop de décadence et dérapages dans la société imposés par… qui?
azraël de Gallia , 16 mars 2014 @ 9 h 24 min
Ceux qui oeuvrent pour nous dégénérer, normalisent petit à petit de forniquer bientôt avec des enfants et des bêtes, ne se marient qu’entres eux ! EUX SE PROTEGENT ! Ils nous traitent comme du bétail AVEC NOTRE FRIC… ILS NOUS VEULENT DU MAL.
eiram , 16 mars 2014 @ 11 h 39 min
Le prosélytisme est l’apanage de toutes les déviances perverses sexuelles, sectaires ou autres…. C’est même à cela qu’on les reconnaît.
xtemps , 16 mars 2014 @ 11 h 51 min
Bientôt il va se prendre pour un petit éléphant rose.
lhemeu , 16 mars 2014 @ 13 h 32 min
Tout peut exister à condition que l’autre soit content ………Mais de là à faire de ces choses répugnantes , la norme … alors çà , non .
Un peu de pudeur sied aux comportements déviants .Et j’insiste : à condition que l’autre soit content .
Quand je lis , ou quand j’entends , les amateurs de jeunes enfants dire qu’il n’y a que tendresse et accord mutuel , quand j’entends les clients de bordels animaux prétendre que ceux-ci sont ravis , je pense avec regrets au pilori de l’ancien temps , ou au fouet en place publique . Sans doute ne suis-je pas civilisée .
monhugo , 16 mars 2014 @ 15 h 55 min
Bientôt une “relecture” de “L’Ecole des femmes” ? En “Ecole des Genres” ?
Avec “Agnès”, un tendron “transgenre”, que Arnolphe, son tuteur, barbon libidineux (Bergé parfait, si dispo, pour le rôle), veut “épouser”. Pourquoi pas ?
Les “metteurs en scène” de théâtre actuels sont quasiment tous saisis par l’envie de faire jouer Molière en “version contemporaine”, avec les costumes et décors ad hoc. Soi-disant parce que l’auteur est “intemporel”. Oui, mais de là à le violer comme à plaisir…. Ces mises en scène sont déjà relativistes – tous les contextes se valent. Alors faire un pas supplémentaire comme suggéré (ironiquement) plus haut…
Il existe bien déjà une version de “L’Avare” pour bricoleurs – rayon robinetterie :
http://www.theatre-cornouaille.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=427&Itemid=59
La compagnie s’appelle “Tabola Rassa” – sic. Et le boboland est enthousiaste.