Thierry Marchal-Beck, président du MJS entre 2011 et 2013, accusé d’agressions sexuelles

par au moins huit jeunes femmes. Les témoignages sont accablants et montrent que ce mouvement d’extrême-gauche était un véritable baisodrome, une vraie bande de malades sexuels où tout le monde couchait avec tout le monde. Les victimes ne voient manifestement pas le lien entre les idées qu’elles défend(ai)ent et les actes de leur ex-patron…

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  • Tonio , 15 novembre 2017 @ 13 h 46 min

    Où l’on retrouve la gauche très pure, et très dure.. avec les autres s’entend.

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