En direct du suicide des Républicains

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  • Trucker , 16 mai 2017 @ 2 h 45 min

    Marine Le Pen…..ayant eu une petite fulgurance… ( à défaut d’avoir été capable d’une grande prestance)…. à l’annonce de la nomination du 1er ministre a dénommé la formation gouvernementale à venir LREM.

    Les Renégats En Marche….décidément on n’en sort pas !

  • Charles , 16 mai 2017 @ 7 h 41 min

    Sur le salon beige, résumé d’une découverte récente dans des archives allemandes.
    Le lien entre 1717 (1ere loge) et 1917 (ND de Fatima) puis 1918.
    la chute des monarchies chrétiennes d’Europe en 1918 ( Russie-Autriche-Allemagne)
    Puis Italie-Espagne-Portugal-Grece-Roumanie-Bulgarie-Yougoslavie.
    Toutes les monarchies sauf les protestantes du nord, dirigées par le RU.
    L’ensemble programmé par les Loges du GO en France et aux EUA.

    La guerre de 14/18 entre Christo-catholiques permettant de les auto détruire
    suivie de l’empire soviétique pour en finir avec le catholicisme orthodoxe en Russie.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/05/une-lettre-de-1918-%C3%A9voque-un-complot-de-la-franc-ma%C3%A7onnerie-en-vue-de-d%C3%A9truire-les-monarchies-et-leg.html

  • François2 , 16 mai 2017 @ 11 h 37 min

    Rappelons d’après Charles Péguy : « On ne dira jamais assez ce que la peur de ne pas paraitre suffisamment à gauche aura fait commettre de lâchetés à nos Français ».
    Et Georges Bernanos : « Je n’en veux pas à la gauche, c’est l’anti-France. Elle accomplit son œuvre. J’en veux à la droite, libérale, veule, modérée, incapable, qui ne sait que lui remettre constamment le pouvoir. »

  • Xair , 16 mai 2017 @ 22 h 13 min

    Plutôt que de nous arrêter aux sornettes de ce communiqué de presse (Mais que fait Béchu dans cette galère, où l’on rame en marche arrière ?), rappelons une évidence qui, si elle risque de lasser certains, met en perspective l’avenir et appelle à rester vigilants :

    Fillon n’aurait pas dû se rendre aux convocations judiciaires qui lui ont été faites pendant la campagne. Il lui suffisait de justifier publiquement son refus, en déclarant qu’il n’avait rien à se reprocher d’illégal ni d’immoral, en conformité avec son engagement initial d’être un candidat honnête et respectueux des lois ; en vertu de quoi, ses pseudo-ennuis judiciaires du moment ne pouvaient que relever manifestement d’une manipulation moralement et légalement condamnable, et ce, d’autant plus qu’elle contrevenait à l’usage (et même quasiment à la loi, comme l’a bien montré Roland Hureaux – voir son blog) régissant la période électorale d’une élection présidentielle. En agissant de la sorte, il aurait été parfaitement entendu et compris de son électorat naturel et sans doute d’un électorat plus large encore. Son refus ainsi justifié lui aurait très probablement permis d’être au second tour, peut-être même en lieu et place de Macron, qu’une bourgeoisie très influencée par les médias, nourrie de politiquement correct et habituée aux jugements superficiels, a sottement rallié. Tout laisse penser que, au lieu de cela, il s’est fait en lui-même le raisonnement erroné, faussement légaliste, suivant : « Si je refuse de me soumettre à la justice, et si je suis élu, je serai gravement en porte-à-faux avec l’institution judiciaire, que je serai pourtant censé représenter, en tant que Président du Conseil Suprême de la Magistrature. Ce sera pour moi un très mauvais départ, que je risque même de ne pas pouvoir vraiment surmonter par la suite. Je dois donc plutôt parier sur la résolution de cette affaire, avant l’élection ». Il s’est trompé. Absolument trompé. Même si elle avait été résolue judiciairement à son avantage, avant le premier tour, il serait néanmoins resté celui qui a été mis en examen et qui avait pourtant déclaré auparavant qu’une personne mise en examen ne pouvait être candidate à l’élection présidentielle, ce qui ne pouvait que pousser certains électeurs à lui refuser leur vote, au point de mettre en péril sa présence au second tour. Au contraire, en refusant d’obtempérer aux convocations judiciaires et en le justifiant d’une manière on ne peut plus cohérente, il se faisait élire, ce qui lui permettait, au cas où il n’aurait pas été absolument irréprochable (nul n’est parfait), d’accéder à l’immunité, immunité qui lui permettait de faire passer aux oubliettes – grandes ouvertes par un électorat ayant compris la manipulation dont il avait été victime – les quelques manquements, sans doute minimes, voire discutables, dont il était coupable.

  • Xair , 17 mai 2017 @ 13 h 32 min

    En coupant ma phrase en deux, j’en ai changé le sens. La phrase originelle, un peu longue mais juste, est la suivante :

    Il lui suffisait de justifier publiquement son refus, en déclarant qu’il n’avait rien à se reprocher d’illégal ni d’immoral, en conformité avec son engagement initial d’être un candidat honnête et respectueux des lois, ses pseudo-ennuis judiciaires du moment ne pouvant que relever manifestement d’une manipulation moralement et légalement condamnable, et ce, d’autant plus qu’elle contrevenait à l’usage (et même quasiment à la loi, comme l’a bien montré Roland Hureaux – voir son blog) régissant la période électorale d’une élection présidentielle.

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