« Une femme nommée Marie » : pari gagné pour Robert Hossein !

25 000 personnes, dont beaucoup de malades installés aux premiers rangs, ont assisté lundi soir à l’unique représentation d’« Une femme nommée Marie », le dernier spectacle de Robert Hossein qui relate le récit des Évangiles fait par la Vierge Marie, nichée dans une copie de la Grotte de Massabielle, à Bernadette Soubirous. A l’orage qui avait, deux heures auparavant, donné des sueurs froides au réalisateur et au producteur, a succédé “une pluie de grâce” selon un hospitalier cité par La Dépêche du Midi.

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  • Louis Lagarde , 19 août 2011 @ 13 h 47 min

    Pourquoi existons nous ?
    La Création est le vêtement de la Sagesse, se cachant ainsi derrière son œuvre. Dieu ne peut être contemplé, c’est la Création qui permet cette connaissance.
    Dieu a fait l’homme pour le Ciel, pour le rendre participant du bonheur du Ciel, pour Se montrer à lui dans le Ciel, pour être sa récompense dans le Ciel. Dieu a fait l’homme pour qu’il possède la vie impérissable, pour qu’il partage avec Lui et goûte la souveraine et éternelle douceur de Sa bonté.
    L’homme aspire au bonheur, et ce désir de bonheur est vif et cuisant en lui ; il le cherche partout, et l’expérience de toutes les générations qui l’ont précédé n’est pas suffisante pour le convaincre qu’il ne peut trouver sur terre le bonheur pour lequel il a été créé . C’est en vain que les hommes le cherchent sur terre, parce que l’homme a été créé pour un bonheur qu’aucune chose terrestre ne peut donner, parce que c’est d’un bonheur du Ciel, c’est d’un bonheur éternel qu’il ressent le désir ardent.
    L’orgueil est la luxure de l’intelligence, et c’est le péché le plus grand, car c’est le péché même de Lucifer. Dieu pardonne tant de choses, et sa Lumière resplendit avec amour pour éclairer les ignorances et dissiperles doutes. Mais Il ne pardonne pas à l’orgueil qui se moque de Lui, en se disant plus grand que Lui.
    Que vous apprend l’argent ? La précipitation, l’avarice, le goût du luxe, l’égoïsme, l’amour du profit et du plaisir. Est-il pour vous source de consolations, de joie ? Oui, s’il vous permet de nourrir celui qui a faim, s’il habite la main qui s’ouvre pour donner. Mais si votre main se ferme dangeureusement sur lui, alors il durcira votre cœur et vous ne vivrez que pour en amasser davantage chaque jour, il vous emprisonnera dans une geôle aux murs épais.

  • Jean Contat , 19 août 2011 @ 13 h 52 min

    La science
    La science n’est autre chose que la connaissance de ce que Dieu a fait. La seule science nécessaire, c’est la science de Dieu, la science de sa volonté, la science de ses commandements, la science de la voie qui mène vers Lui, la science des moyens qui vous attachent à Lui. La seule véritable science est la science du salut.
    #
    Tout ce qui est au monde passera. La science qui ne passera pas, c’est la science de Dieu, car Dieu est éternel et, une fois uni à lui, vous le posséderez à jamais. Cherchez à acquérir cette science, cherchez à l’augmenter, à la perfectionner. Cette science ne passera pas, elle demeurera toujours en vous, et quand votre âme sera dépouillée de votre corps et qu’elle comprendra mieux par cette séparation et de quelle manière elle doit tout juger, vous vous estimerez heureux d’avoir eu la seule science vértable, parce qu’elle vous a fait connaître Dieu et vous a uni à Lui. Oui, vous vous estimerez heureux de n’avoir même eu que cette science, et vous plaindrez ces hommes qui ont constamment occupé leur esprit de sciences naturelles ou physiques, et qui jamais par la création n’ont su remonter au Créateur.

  • Bernard Trévier , 19 août 2011 @ 13 h 57 min

    Marie Curie

    “Ce sont des créatures humainement parfaites. En elles, tout a atteint la perfection, excepté leur esprit qui a régressé toujours plus, jusqu’à devenir un embryon d’esprit. Elles ont un génie parfait, un sérieux parfait. Leur vertu est une flamme qui ne réchauffe pas. C’est un feu froid. Il n’a pas de valeur pour moi. Je préfère une spiritualité imparfaite à une humanité parfaite.
    Une si grande splendeur de perfection humaine est comme la luminosité de cent, de mille lampes. Elles produisent de la lumière; c’est indéniable. Mais c’est une lumière artificielle, laquelle, advenant une panne du moindre mécanisme, meurt aussitôt, et il n’en reste rien. Tandis que l’esprit, même imparfait, est toujours un petit soleil vivant de sa propre lumière, jaillie de la Grâce qui réside en lui. Je parle de l’esprit vivant, c’est-à-dire qui vit en moi, vivifié par la Grâce.
    Le fait de posséder une intelligence supérieure, qui leur a permis de pénétrer les mystères de la nature, aurait dû aussi les amener à voir la puissance de Dieu et son existence, dont l’être est inscrit dans toutes les choses créées. Mais rien de cela ne s’est produit. Ce sont des êtres pleins de science, mais à qui il manque le fil qui conduit à la connaissance exacte de ce qui est. Inventeurs de nouveau, mais négateurs de l’éternel; découvreurs de forces secrètes, mais indifférents à la force des forces, Dieu. Ils ne le cherchent pas, mais au contraire, le nient délibérément. Tout au moins, ils le négligent.
    C’est pour cela que la science humaine, indéniablement avancée, ne porte pas de bons fruits, mais des fruits empoisonnés. Il manque dans le coeur et dans l’esprit des scientifiques le feu de l’amour qui fait respecter et aimer Dieu, qui fait respecter et aimer le prochain.
    Dans le cas particulier qui nous intéresse, cette femme ne fit aucun tort à son prochain; au contraire, elle lui fit du bien. C’est déjà beaucoup. Mais réfléchis un peu à l’importance de l’impulsion qu’elle aurait donnée à son école, à ses disciples et aux disciples des disciples si, à la fascination de son moi, elle avait uni une religiosité profonde.
    Tu peux croire, ma chère âme, qu’à l’heure du jugement, de petites créatures illettrées paraîtront plus grandes que les luminaires de la science. Les premières, allumées par l’amour, seront des étoiles vivantes dans mon ciel. Même si je ne les condamnerai pas pas à cause du bien qu’elles ont fait sur le plan humain, les autres seront des corps nébuleux dans mon Paradis. Ils seront sauvés par ma miséricorde sans aucun mérite de leur part, sauvés davantage par les prières de ceux à qui ils ont fait du bien que par eux-mêmes.
    Maintenant, dis-moi : préfères-tu être une petite nullité dans le domaine du savoir et m’appartenir toute à moi dans cette vie et dans l’autre, ou aurais-tu aimé être un astre ici-bas et opaque nébuleuse là-haut ? Je connais déjà ta réponse et je te dis donc : Tu as répondu sagement, va en paix.”

  • La Voix , 21 août 2011 @ 11 h 01 min

    Les événements
    Ma permission est en toutes choses. Ma volonté permet tout ce qui arrive, et rien n’arrive sans elle.
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    C’est par amour de l’humanité, des âmes que j’ai créées, que j’interviens dans l’histoire en suscitant des instruments fidèles et zélés. L’exemple le plus connu est bien sûr Jeanne d’Arc, mais il y en eut d’autres, plus anonymes parfois.
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    On croit pouvoir agir sans Moi ! Les faits sont là cependant pour démontrer l’absurdité d’une telle pensée. Comment pouvez-vous agir sans Moi si j’ai en main, Moi seul, les clefs de l’univers ? Les grands génies, c’est Moi qui les suscite ; de même les grands fléaux : Cyrus, Attila, les Romains, ils ne sont que mes instruments. « Je suis » et Je regarde les siècles ; les causes secondes Me demandent la permission avant d’agir, avant de se déchaîner, avant de terrasser.
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    Pour quelle fin j’ai suscité Napoléon ? Il était le ministre de Ma colère, pour punir l’iniquité des impies et humilier les superbes. Un impie détruit d’autres impies.
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    Ne comprenez-vous pas que J’entre dans le destin des peuples ? Ou bien croyez-vous que c’est à l’aveuglette qu’arrivent défaites et victoires, sans un œil régulateur qui veille de là-haut, sans une main invisible et supérieure qui freine ou dévie vos manœuvres ?
    Votre planète a-t-elle été lancée au hasard dans l’univers, n’a-t-elle pas été formée par Moi pour qu’y habitent mes fils ? Me désintéresserai-je des nations, Moi qui guide le destin des peuples ? Moi qui me suis fait Homme-Dieu pour vous ? Ne suis-Je pas libre de faire pencher la balance du côté où Je veux ?
    … Que savez-vous du motif de l’abaissement ou de l’exaltation de certaines nations ? Là encore, il y a un secret de Ma Providence : c’est afin que l’une serve à l’autre à se perfectionner et lui soit un éperon pour monter, comme il en est pour les âmes.
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    C’est Moi-même qui envoie les tribulations du monde, pour apprendre à l’âme que sa fin n’est pas en cette vie, que les choses terrestres sont imparfaites et périssables, que c’est Moi seul qui suis sa fin et qu’elle doit me désirer et me choisir comme tel.
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    Oui, tu vois ! La croix est là, sur le monde . Mais écoute bien cela , il y a deux sortes de croix :
    Celle que Je confie à ceux qui m’aiment. Il souffrent avec Moi pour continuer la Rédemption. Leur croix est souvent très lourde, mais pourtant légère, car c’est une croix d’amour.
    Et puis, il y a l’autre, celle que Je donne à mes enfants qui sont loin de Moi. Elle est aussi très lourde pour eux. Mais Je la donne pour qu’ils se souviennent de Moi et me reviennent.
    Voilà le secret des croix. Chacun porte la sienne et lui donne le sens qu’il d ésire, selon l’inclination de son cœur.
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  • La Voix , 23 août 2011 @ 13 h 34 min

    La liberté humaine
    On ne peut abolir le péché et le mal sur terre, sans abolir en même temps la liberté de l’homme. Cela répugne à Mes attributs comme aux intérêts de ma créature.
    L’homme, maître de soi-même, doit être tenté et éprouvé pendant un temps. Ce n’est qu’à cette condition que Je me tiens honoré de son cœur et de ses actions. Je l’ai fait maître de choisir et de se déterminer librement en tout.
    Ce n’est pas Moi qui ai semé l’ivraie ; mais il entre dans Mon plan de tirer parti de ce qu’a fait Mon ennemi sans mon consentement. Le mieux est de tout souffrir jusqu’au temps de la moisson. Si tout était clair dans la religion, s’il n’y avait point de mystères, où serait le mérite de la foi ?
    Donc il n’est pas difficile de comprendre, jusqu’à un certain point, pourquoi les méchants prospèrent si souvent dans le monde, et pourquoi les justes sont si souvent opprimés. Autrement on pourrait conclure qu’il n’y a point d’autre vie après la mort. Dieu serait censé s’être acquitté envers tous dès la vie d’ici-bas, et chacun, déjà, y aurait reçu ce qui lui revient.
    Voilà la raison pourquoi Dieu permet que le juste souffre et que le méchant triomphe pour un temps.
    Il n’est point d’homme, si juste et si saint qu’il soit, qui n’ait encore, ou qui n’ai eut bien des défauts. De même, il n’est point d’homme si méchant qui n’ait encore du bon à certains égards. Or Dieu, qui est juste et bon envers tous, ne peut laisser sans punition les infidélités et les imperfections des justes ; de même, Il ne peut priver les méchants de la récompense des vertus morales qu’ils ont pratiquées. Que fait-il donc ? Il récompense les méchants pendant cette vie, afin de ne rien leur devoir à la mort ; Il punit les justes pendant leur vie afin qu’ils s’acquittent par la pénitence, de sorte qu’à leur mort Il n’ait plus aucune expiation à leur demander.
    Ainsi, ces prétendus désordres, contre lesquels les esprits forts ont tant argumenté, prouvent l’ordre le plus parfait. Ils établissent la nécessité d’une autre vie, ausssi bien que de l’immortalité de l’âme, et de l’existence de la Justice divine.
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    Sachez qu’on sera toujours libre d’embrasser ou de rejeter Ma religion sainte. On ne la prêche point à main armée. C’est par la persuasion et non par la force que la vérité entre dans les cœurs. Elle respecte le libre-arbitre ; mais, à ceux qui veulent se tourner vers elle, Je ne refuserai jamais le moyen de la trouver.
    Ceux qui s’opiniâtreront à lui tourner le dos, Je les laisserai courir à l’erreur. Je veux qu’on agisse sans contrainte. Je veux à Mon service des enfants et non des esclaves. Je veux être servi librement et non par une contrainte servile qui Me déshonorerait.
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