Carrefour royal, par l’Action française : “Le libéralisme contre les libertés”

Related Articles

17 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • labolisbiotifool , 18 janvier 2015 @ 12 h 32 min

    @ J’écris ton nom : bravo ! et merci ! Vous écrivez en dix lignes l ‘ essence même de ce que je ressent ,
    sans pouvoir le coucher par écrit de manière aussi claire que vous le faites : )

    Avec votre permission je vais l ‘ enrégistrer pour pouvoir le resservir à mes contradicteurs , on est
    jamais trop prudents !

  • Jojolapin , 18 janvier 2015 @ 15 h 07 min

    Moi aussi mais le problème est quel Roi.

    Car nos gentils maurassiens sont toujours ORLEANISTES en dépit des évidences. Au delà de l’erreur dynastique, juridique et historique, il y a une incohérence politique à soutenir une dynastie illégitime, régicide (1793) et doublement usurpatrice (1830 et 1883) et depuis toujours compromise avec la REVOLUTION LIBERALE.

    N’est-ce pas le duc de Broglie qui avait intitulé son livre “L’Orléanisme, la ressource libérale de la France” ?

  • HIBISCUS , 18 janvier 2015 @ 15 h 31 min

    Alex, votre analyse est juste. L’être humain a besoin de se raccrocher
    à quelque chose et c’est pourquoi toutes sortes de religions existent.
    Mais il reste inféodé à ses propres croyances qui lui créent des interdits et qui l’emprisonnent dans sa volonté de s’exprimer et suppriment sa liberté d’expression. Dans ces conditions l’ouverture au monde qui l’entoure devient impossible et bien souvent et encore aujourd’hui plus que jamais des guerres en résultent. L’exemple parfait est cette religion, ou organisation, nommée islam.
    Mes parents m’ont donné une éducation chrétienne mais je suis devenue
    agnostique.et les seuls miracles qui existent sont la volonté, le courage
    et la loyauté.
    ..

  • Azerty , 18 janvier 2015 @ 15 h 38 min

    Pour Maurras, la question Orléans ou Bourbon était secondaire et devait être traitée de façon pragmatique.

  • Alex , 18 janvier 2015 @ 19 h 07 min

    @Marie Genko :

    Il y a du vrai dans ce que vous dites.

    Mais si chacun de nous a besoin de l’apport de sa propre tradition pour affirmer son identité, qui décide ce que doit être ou ce que ne doit pas être la tradition ?

    Qui décide ce qu’on met ou ce qu’on ne met pas dans la tradition ?

    La tradition serait donc le fruit du hasard, forgée au fil du temps dans les conditions de l’histoire (famines, guerres, frontières, races, climats etc.) et il faudrait donc remettre son propre destin entre les mains de ce qu’a forgé le hasard ?

    Je crois qu’il y a une réalité surnaturelle au dessus des traditions, une transcendance supérieure commune à toutes les formes de vie de l’univers, la tradition il faut la connaitre, la vivre même, mais on ne peut pas la vivre librement, si on a pas préalablement fait le choix de s’en affranchir.

    Il faut s’affranchir de tout, pour savoir vraiment ce qui pour nous est étranger à nous.

  • Alex , 18 janvier 2015 @ 19 h 11 min

    @Jojolapain :

    Nous sommes en l’an de grâce 2015…

    Ces références me semblent donc pour la politique actuelle, totalement obsolètes.

    L’effacement des comptes bancaires, l’euro, l’endettement des Etat en période de paix (pour financer les centrales atomiques, l’immigration, l’assistance sociale, les écoles collectivistes etc.), tout cela est le produit de l’Etat, du collectivisme et de la République !

    Le libéralisme n’est pas coupable de cela !

    Si vous souhaitez évoquer la monarchie, évoquez alors une géniocratie (gouvernement par les génies), car une monarchie héréditaire de droit divin, serait encore plus inadaptée que le régime actuel…

    Nous vivons la révolution de la société de la connaissance.

  • Azerty , 19 janvier 2015 @ 23 h 23 min

    “Maurras, Soixante ans après” (Téqui), “Maurras” (L’herne), “Soliloque d’un prisonnier” de (Maurras, L’herne) “L’Action Française” (F. H.uguenin) pour arrêter de déblatérer une bonne foi pour toute sur l’A.F un mouvement qui a compté dans la vie intellectuelle française pendant des décennies dont le chef était admiré par Proust et pour cesser de parler de collectivisme ou de je ne sais quelle autre ineptie quand l’AF condamnait le césarisme administratif et l’état jacobin tentaculaire.
    La liberté abstraite et déclarative de l’Homme que personne n’a jamais vue contre les libertés réelles coutumières et enracinées.

Comments are closed.