AGENDA | Connaître Jeanne d’Arc

L’année 2012 fête le six centième anniversaire de la naissance de la plus illustre des Françaises. Malgré les siècles écoulés, Jeanne reste très présente dans notre univers quotidien. Aucun personnage de notre histoire ne totalise autant de statues, autant de rues, autant d’institutions, qui lui sont consacrées.

Pourtant, il est un paradoxe qu’il convient d’éclaircir. Alors que la vie de la Pucelle d’Orléans est surtout connue par le procès en hérésie qu’elle a dû affronter, ce procès est la partie la moins connue de la vie de Jeanne.

Alain Bournazel, spécialiste de Jeanne et auteur de Jeanne d’Arc, la vérité sur un faux procès (éditions Artena), révélera, lors d’une conférence donnée le jeudi 20 décembre à 18h à la mairie du VIIIe arrondissement de Paris (3 rue de Lisbonne), tous les éléments de cette tragédie majeure de la guerre de Cent Ans. Un procès de l’Inquisition sert de prétexte à un vrai procès politique conduit en sous main par les Anglais qui veulent absolument faire disparaître par le feu la Pucelle qui les a vaincus par les armes…

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47 Comments

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  • albert2 , 26 décembre 2012 @ 23 h 01 min

    La sagesse populaire, comme vous nous le rappelez si bien, cher ranguin, est une inépuisable source d’émerveillements; quant à me sentri seul, comment le pourrais-je, en si bonne compagnie de tous les commentateurs de ce site. Au passage, et m’inspirant de vous, cher ranguin, je rétorquerai à Yves que, pour le moment, je préfère le vin d’ici à l’eau de là… (F. Blanche, pour montrer que j’ai un tout petit peu de culture).

  • albert2 , 26 décembre 2012 @ 23 h 05 min

    Excusez-moi, Yves, je n’avais pas été sensible à la finesse de votre humour… Il est vrai que j’ai parfois de la peine à comprendre, l’âge sans doute… Excusez-moi encore.

  • YVES , 27 décembre 2012 @ 10 h 55 min

    Je vois que vous êtes comique à vos heures et c’est bien.
    Vous savez le vin de l’au delà est encore meilleur que l’eau de l’au delà.
    Mais je pense que vous refusez d’y tremper vos lèvres. Et c’est dommage pour vous, car vous y trouveriez un délice enivrant infini.Et éternel.

  • albert2 , 27 décembre 2012 @ 23 h 13 min

    Bien cher Yves, le vin en lequel je refuserai de tremper mes lèvres n’a pas encore été pressé : certains que j’ai goûtés m’ont procuré des ivresses bien plus douces que les promesses de n’importe quel paradis (j’avoue partager en ce domaine les préférences d’Omar Kahyam ou de Rabelais) et je gage que les partager avec vous nous aurait donné quelques avant-goûts de l’éternité à vous dépiter à jamais de l’eau, Santé.

  • YVES , 29 décembre 2012 @ 1 h 11 min

    C’est certes votre point de vue.D’un rationnel que j’avais deviné.
    Mais le délice ne se trouve pas dans la promesse, mais dans le Paradis.La promesse n’est que sentir le vin, le Paradis: l’avoir pleinement en bouche.
    Mais puisque vous dites que vous ne refuserez de tremper vos lèvres dans aucun vin, celui dont je vous parle est pressé depuis longtemps, depuis toujours. Vous y tremperez donc vos lèvres.Mais ne tardez pas!

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