La cage aux phobes

De ces deux derniers jours de mobilisation des mouvements homosexuels, des associations, partis, syndicats et personnalités de gauche, Nouvelles de France a retenu une photo, une phrase choc, un slogan, une banderole et un aveu.

1) Tout d’abord, cette photo qui rappelle la réaction de la fausse mère face au bon roi Salomon :

2) Cette phrase choc de Pierre Bergé, président du Sidaction et propriétaire de Têtu, présent à la manifestation parisienne du 16 décembre, qui a le mérité d’annoncer la couleur :

Nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA ou l’adoption. Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence? C’est faire un distinguo qui est choquant.

3) Ce slogan entendu le 15 décembre à Marseille, qui confirme le problème du rapport à la réalité rencontré par certains :

Les bébés se font dans l’amour, pas par le sexe.

4) Cette banderole brandie samedi à Metz, qui résume bien le niveau des arguments LGBT :

5) Enfin, cet aveu d’un petit garçon embarqué bien malgré lui dans cette galère :

Un groupe de familles homoparentales est venu avec ses enfants. Victor, 7 ans, une pancarte à la main, fait la moue. « Moi, je voulais pas venir. » Ses deux mères ne referont pas d’autres enfants, regrettant d’« avoir été obligées d’aller en Belgique pour faire ça ». Et Victor, il en voudrait des frères et sœurs? « Moi, je préférerais en avoir un vrai. »

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39 Comments

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  • Athanase Ducayla , 17 décembre 2012 @ 20 h 48 min

    Je veux bien louer la tête de Pierre Bergé pour lui mettre des baffes.

  • Robert , 17 décembre 2012 @ 21 h 25 min

    À part vos phantasmes sur nous et votre bile que vous déversez largement, vous avez des arguments?

  • Robert , 17 décembre 2012 @ 21 h 32 min

    Les gourous, ils sont dans l’idéologie du constructivisme, du gender. Foucault, Butler, De Beauvoir, etc..
    Nous n’avons qu’un seul maître Jésus et qu’un seul guide, vivre la vérité dans la charité. Ceux qui se comportent en dehors de ce cadre, même dans nos rangs n’agissent pas en catholiques ni en hommes de vérité.
    Nous n’avons pas fermé les yeux, l’Eglise est la seule institution qui a autant parlé et agi pour dénoncer les scandales pédophiles.
    Demandez ce qu’ils ont fait à l’éducation nationale et aux autres religions, à la franc-maçonnerie qui a couvert tant de crimes pédophiles, au PCF avec l’affaire Dugué, un pédophile récidiviste qui signait des apologies de la sodomisation des petits enfants dans Libération, aux Verts avec Cohn-Bendit.
    Les faiblesses de l’Eglise sont celles de toute institution composée d’hommes et de femmes, mais elle a eu le courage de regarder la réalité dans ses rangs en face. Aucune autre institution ne l’a encore faite à ce jour.

  • Lach-Comte , 17 décembre 2012 @ 23 h 59 min

    quoi, ça va ?! parce qu’en plus, vous croyez qu’on va se taire ! mais, moi en tout cas, je ne suis pas du genre à tendre la joue droite quand on m’a giflé la gauche ! alors allez-y, lâchez vous, mais on sera deux et il vaudrait mieux que affûtiez vos arguments et fassiez autre chose que de la provocation.

  • Kogamo Saturnin , 18 décembre 2012 @ 0 h 49 min

    Outre que le mot « choix » ne me paraît pas des plus judicieux, vous avez raison, les faits divers relatent souvent ce genre de violences.

    Par exemple ici :
    http://www.lameuse.be/349738/article/regions/luxembourg/2012-03-16/francisca-violee-par-son-pere-il-voulait-me-corriger-parce-que-je-suis-lesbienne

    ou là :
    http://www.tetu.com/actualites/international/afrique-du-sud-une-jeune-lesbienne-assassinee-pres-du-cap-22518

  • Fred , 18 décembre 2012 @ 8 h 31 min
  • Pascal , 18 décembre 2012 @ 8 h 53 min

    Je ne lis sur ce site que des commentaires sur le complot, les lobbies, “leurs sales tronches”, des raccourcis avec l’islam ou la polygamie, la déchéance de la société, des annonces d’apocalypse… Tu ne crois pas qu’un moment donné on peut passer à des choses sérieuses. Mon commentaire n’était pas fin mais n’avait pas moins de légitimité que ceux des fous furieux.

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