Le miracle portugais, avec un chômage passé de 17 à 8% !

C’est grâce à une gestion très efficace de la crise que le Portugal a retrouvé la forme en matière d’économie, explique François Lenglet ce mardi matin sur RTL :

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3 Comments

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  • Charles , 19 septembre 2017 @ 15 h 55 min

    Encore de l’intox par les forces de l’empire.
    Le graphique ci joint donne les “variations de variations”
    du PIB sur 20 ans jusque 2016. Ce qui est stupide.
    De plus le POIB est une mesure grossière de l’activité économique et de l’emploi.
    Il faudrait présenter les différents niveaux successifs du PIB (autour de 200 milliards €)
    pour analyser l’effet yoyo d’une année sur l’autre.
    La réalité est simplement que depuis 2008, l’activité du Portugal s’est fracassée.
    La seule solution a donc été la fuite des jeunes vers l’étranger et qui ,de facto,
    ne sont plus reconnus comme chômeurs , puisque ils ont fui leur pays.
    On ajoutera un saupoudrage de mesures artificielles , comme la défiscalisation
    en Impôts sur le revenu pour tous les résidents étrangers qui passent plus de 6 mois au Portugal. Solution miracle pour les moyennes retraites françaises qui ne payent plus d’impôts nulle part, ni en Fronce, ni au Portugal….
    Ceci avec la bénédiction de Brouxelles.
    En cas de PB médical, retour en fronce….

    https://data.worldbank.org/indicator/NY.GDP.MKTP.KD.ZG?locations=PT

  • Maurice , 20 septembre 2017 @ 7 h 59 min

    Ne souhaitons pas de tels miracles pour les ouvriers français !

  • borphi , 20 septembre 2017 @ 16 h 26 min

    Sacré Lenglet !!!

    Tout l’art de tordre l’information économique et sociale !!

    En fait mr Lenglet oublie de nous dire que les Portugais ont une tradition d’émigration de la main-d’oeuvre sans équivalent dans le monde.

    Il y a plus de Portugais dans la diaspora qu’au Portugal et en cas de crise financière et d’emploi , ils savent comme personne émigrer pour aller travailler à l’étranger. Ils ont déjà de la famille sur place pour leur permettre de trouver du travail.

    Sans compter qu’ils ont une réputation de bosseurs et qu’ils sont de suite embauchés sur recommandation.

    C’est tout à leur honneur, mais cela ne correspond en rien à une politique de redressement économique pérenne selon les normes de Bruxelles.

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