Concernant la traite des noirs Dieudonné ne peut pas être un observateur lucide et neutre.
Il ne se place pas dans les us et coutumes des siècles passés,ni dans l’ambiance des mœurs tribales de ces temps-là , dans ces contrées africaines, en particulier.
Lui demandé de juger en toute indépendance d’esprit serait puéril.
C’est pourtant simple de se rendre en Mauritanie ( par exemple) encore actuellement, pour étudier le phénomène de l’esclavage et des dérives de l’autorité absolue d’une caste d’individus sur une autre supposée inférieure ou désignée comme telle !
Que dira-t-on de nous dans quelques siècles pour notre attitude de prédateurs sur tout ce qui vit, sur cette terre, en dehors de l’hommo sapiens triomphant ?
Rogemi , 22 février 2015 @ 8 h 32 min
Il ne faudrait pas oublier que ce sont les guerres, les razzias interafricaines, intertribables qui ont permis aux européens de
se fournir en esclaves.
Ils ancraient leurs bateaux au larges des côtes d’afrique de l’ouest et
attendaient quelques fois plusieurs mois jusqu’à ce qu’un roi ou un
chef de tribu leurs aménent des prisonniers saisis lors d’un raid ou une razzia effectué sur une tribu voisine.
L’afrique était le continent de la violence endémique et les tribus
guerrières malmenaient les tribus pacifiques.
Alors les noirs subsahariens devraient s’en prendre aussi à leur
soi-disant frères de race sans lesquels la traite n’aurait jamais eu
lieu.
montecristo , 22 février 2015 @ 10 h 22 min
Ne pas oublier de dire également que … si les capitaines des négriers étaient européens … beaucoup d’armateurs étaient juifs !
Ne pas oublier aussi les 100 millions de morts du Communisme !
lejuste , 22 février 2015 @ 12 h 06 min
Faites aboutir votre propos. Qui sont vos ennemis auxquels vous faites allusion ? Ne vous dites pas franc, plus que “dame” Taubira et plus que “missieu” Dieudonné.
Goupille , 22 février 2015 @ 18 h 08 min
Et le génocide vendéen, par les inspirateurs de la Merluche.
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