Pourquoi Marlouna “oublie” de dire que les Européennes de souche ne sont pas concernées par l’excision? (Vidéo)

Un plan interministériel de lutte contre l’excision a été lancé pour la première fois ce vendredi 21 juin, en France. « En France comme partout dans le monde, les mutilations sexuelles féminines sont des atteintes inadmissibles à l’intégrité et aux droits fondamentaux des femmes et des petites filles qui en sont victimes », a dénoncé la secrétaire d’État, Marlène Schiappa, dans un dossier de presse.

Ce que Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargé du droit des femmes ne dit toutefois pas, c’est que les Européennes de souche ne sont pas concernés par l’excision.

On évoque 60 000 femmes excisées vivant en France selon un rapport de l’Institut national d’études démographiques daté de 2009, actualisé en 2015 par l’ONU. Une pratique tribale, punie par la loi, 10 ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende, mais qui se pratique encore – et qui pourrait se pratiquer de plus en plus en raison notamment de l’immigration africaine, qui amène tout un lot de coutumes fondamentalement incompatibles avec ce qui constitue le socle civilisationnel des Européens.

L’Afrique n’est pas le seul continent sur lequel l’excision est une « tradition ». En Amérique du Sud, certains peuples la pratiquent également. Du côté des religions, musulmans comme chrétiens la pratiquent d’ailleurs.

Cette grande mobilisation nationale voulue par la secrétaire d’État – qui ne parle pourtant pas à la majorité blanche de notre pays – révèle par ailleurs des chiffres involontairement surprenants. Ainsi 30 % des adolescentes françaises auraient des parents issus d’un pays à risque concernant l’excision, c’est-à-dire pour faire simple, 30 % des adolescentes françaises ont des parents issus de l’immigration extra-européenne. Cachez ces chiffres de l’immigration, ils reviennent au galop par d’autres canaux officiels.

En réalité, derrière cette « lutte contre l’excision » dont la secrétaire d’État voudrait qu’elle concerne aussi la jeune Bigouden de Douarnenez, aux attaches bretonnes centenaires, c’est encore une fois le problème de l’immigration et de ses conséquences qui se pose.

 

 

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