Les anciens présidents de la République coûtent 10,3 millions d’euros par an

Eric Martin
22 septembre 2016
Latest Update: 22 septembre 2016 0 h 50 min
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Un rapport officiel de la Cour des Comptes dévoilé par Mediapart dévoile le traitement des anciens présidents de la République. Chauffeurs, collaborateurs, personnels de maison, appartements de fonction, gardes du corps, voyages en train ou avion (et en première classe, s’il vous plaît), indemnités de près de 15 000 euros par mois s’ils siègent au Conseil constitutionnel… au total, c’est une charge de 10,3 millions d’euros pour les contribuables français :

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jsg , 22 septembre 2016 @ 5 h 28 min
Ce qu’ils coûtent est une chose qui pourrait se justifier au regard de la fonction.
Oui, mais, ce qui coûte le plus : Les bourdent irresponsables du type du regroupement familial pour des musulmans et pas les autres !
On voit aujourd’hui la ruine de la France impactée par cette décision !
Pension des prisonniers
cout des blessés
impact sur l”éducation”
moral des Français
incidence sur l’emploi par pessimisme de l’avenir à cause de l’islam, -ce que personne ose avouer-
Bref, merci Giscard-Chirac, Dieu vous le rendra, du moins je l’espère.
Prions mes frères…
le lecteur , 22 septembre 2016 @ 11 h 50 min
Autant de pognon pour deux momies plus un tout p’tit hongrois pas si hongrois que ça…Autant de pognon pour trois ennemis de la France, trois traîtres, ça fait très très cher.
Tonio , 22 septembre 2016 @ 18 h 28 min
Désolé de vous modérer, mais je crois bien que l’actuel, et, je pense, ultime président socialiste, a coûté en idioties beaucoup plus que n’ont coûté les derniers présidents.
Hollande a obéré le trésor de la France d’une façon unique dans les annales de la Ve et le pays aura du mal à s’en remettre: peut-être était-ce là son voeu et son plan secrets ?
Jean NOGUES , 23 septembre 2016 @ 1 h 33 min
L général de Gaulle avait droit à 11 retraites quand il a quitté le pouvoir en 1969. Plus naturellement des gardes du cris et tutti quanti.

Les retraites Il les a toutes refusées sauf une : celle de général de Brigade, l’échelon auquel il avait été promu peu avant de partir à Londres le 17 juin 1970 vers 17 heures, emmené dans un avion particulier par le général Spears. Et les gardes du corps, le personnel de maison et tout le Saint-Frusquin, il n’a absolument rien voulu.

Cette attitude, ça au moins, on ne pourra jamais la lui enlever ! dans notre république, il est le seul exemple à ce jour.
appeals , 23 septembre 2016 @ 11 h 28 min
Que doit-on supprimer ?

Là est la question!