Fabrice Arfi : “Qui partait en vacances sur le yacht de Ziad Takieddine ? C’est Brice Hortefeux !”

Jean-Jacques Bourdin recevait ce vendredi Fabrice Arfi, journaliste de Mediapart à l’origine des révélations sur les soupçons de financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 :

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4 Comments

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  • jodalton , 24 mars 2018 @ 9 h 52 min

    le mur des corrompus

  • Jean NOGUES , 24 mars 2018 @ 10 h 54 min

    Il se prend pour qui ce Fabrice Arfi ? pour un juge d’instruction ?
    Il se croit convaincant, mais ce qu’il dit est vide de preuves. On remonte à Balladur maintenant, ce qui prouve que cet homme prétentieux manque de preuves contemporaines : plus de 27 ans en arrière ! il va fouiller les poubelles d’affaires prescrites.

    La réalité, c’est que ce Médiapart est une officine comme de Gaulle savait les faire rentrer sous terre d’uns seul mot d’un seul ! une filiale improbable des ”gnômes de Zurich ” ? en tout cas,
    une officine dont les buts sont obscurs, donc douteux. A qui fera-t-on croire que cet individu travaille pour le bien public ? mort de rire !

    La réalité est que toute cette affaire est visiblement un coup monté pour détruire le seul parti de Fracne qui représente encore un espoir de se débarrasser du socialisme mitterandien qui nous a déjà fait tant de mal. C’est la suite logique de la destruction de Fillon, destruction dont la malhonnêteté ne plaide certes pas pour la transparence des vrais buts que poursuit ce fabrice Arfi.

    Car cet homme sait très bien que toute l’affaire Filon est un coup monté odieux qui n’a pu fonctionner deux raisons :
    1) par un contrôle de nos médias qui laisse loin derrière ceux de Staline au bon vieux temps des procès de Moscou. Ce contrôle a empêché d’informer sérieusement les français en leur exposant la vérité

    2) et par l’ignorance du public au sujet de ces enveloppes données par Mitterrand aux députés pour acheter leur docilité suite au désastreux plan de rigueur du printemps 1983, qui n’a servi qu’à produire un chômage masse doublé d’une paupérisation générale des français, principalement ceux de la fonction publique. Cette ignorance étant entretenue par le contrôle des médias

    Fabrice Arfi sait parfaitement que plus de 1500 députés présents et passés, depuis le printemps 1983, ont profité sans mauvaise conscience de ces largesses parfaitement légales et pournlesquelels STRICTEMENT AUCUNE CONDITION DE CONTROLE N’ETAIT EXIGEE. Il y’a même desdéputés qui ont empoché ces enveloppes EN TOUTE LEGALITE SANS QU’iLS AIENt EMBAUcHE PERSONNE certains années.

    François Fillon est un des députés qui s’est montré le plus scrupuleux dans l’emploi de ces enveloppes puisqu’au final, ils se transformaient un revenus qui payaient l’impôt, ce qui n’est as le cas pour tôt le monde…et en pls Filan avait arrêter ces emploie de pénélope en 2012, on s’est bien gardé d’insister là-dessus, alors que des députés comme Dupont-Aignan ou Lemaire continuaient de les empocher en 2017 au début de la campagne présidentielle, dans de conditions qui auraient pu tracasser les bénéficiaires si on avait eu besoin de les détruire. D’ailleurs discrètement, on a fait comprendre à ceux-là que s’ils s’amusaient à gêner un peu trop le nouveau pouvoir, on pourrait aisément les filloniser.

    On aurait pus les filloniser bien que comme pour Fillon, ç’aurait été illégal ! pesant trente ans, ce enveloppes miraculeuses ont été empochées sans état d’âme par les députés, qui n’e parlaient jamais aux journalistes qui les interrogeaient sur leurs vrais revenus. Pouvait-onleur en vouloir d’empoche ce que Mitterrand leur avait donné si généreusement au second trimestre de 1983 ?

    Pour défendre Fillon comme tous les auters qu’on aurait pu attaquer de la même manière, il aurait fallu des informations pointues hors de la portée de public sans une instruction civique préalable pas vraiment simple; allez faire ça dans la tempête d’un campagne électorale !
    Ainsi les accusateurs publics de Fillon ont joué sur du velours :vu le contrôle médiatique, qui aurait pu instruire valablement le grand public là-dessus ? personne !

    Il aurait fallu d’abord expliquer end étail ce qu’est le statut de la fonction publique français (statut imposé par Maurice Thorez entre 1946 et 1947. On peut très bien, comme c’est mon cas, être anticommuniste mais cependant reconnaître que ce statuts es fonctionnaires était un modèle de justice et de gestion intelligente des personnels de l’Etat. Il est décrié en ce moment, c’est une honte. Ce statut a été un indéniable progrès social, sa destruction va être une terrible régression sociale qui va ramener notre fonction publique au niveau de l’Allemagne, pays où la corruption sévit autrement qu’en France !

    Ue fois le grand public instruit là-dessus, il aurait fallu lui expliquer le statut donné aux députés par de Gaulle quand il est revenu au pouvoir en 1958 : chacun percevait une indemnité parlementaire égale à la moyenne arithmétique entre le plus haut et le plus bas traitement mensuel des fonctionnaires. Pur tenir compte de frais d’uns épuré, cette indemnité était non imposable. Ce système était juste, il ne faisait des députés ni des richards ni des miséreux.

    Et une fois expliqué cela, il aurait fallu expliquer que le plan de rigueur voulu par Mitterrand en 1983 attaquait de façon brutale le niveau de vie des fonctionnaires : outre le gel des salaires, il y avait eu le eznizmznt sz l

  • Jean NOGUES , 24 mars 2018 @ 11 h 38 min

    (Suite du mssg précédent, interrompu par fausse manoeuvre)

    Il y avait eu le reniement de la parole de l’Etat donnée par Delors, qui avait décidé une augmentation de 8 % du point d’indice des fonctionnaires (face à une inflation officielle à deux chiffres) : cette augmentation avait été annulée alors que tous les syndicats l’avaient signée en confiance de la parole de l’Etat.

    Bref, suite au plan de rigueur, les députés étaient vraiment mis au pain sec de façon jamais vue dans notre Histoire, parce qu’ils étaient considérés comme fonctionnaires et durs traitements, on l’a vu, était indexé sur le point d’indice des fonctionnaires.
    Les députésne manqu§rent pas de s’en oindre amèrement. Mitterrand se trouvait face à un problème insoluble, car les députés étaient directement accrochés au point d’indice.Il ne pouvait pas les augmenter sans augmenter à l’identique tous les fonctionnaires.
    Après avoir logement cogité, Mitterrand trouva une solution ingénieuse bien dans sa manière tordue. Il décréta que l’indemnité des députés état égale à la moyenne non par du traitent le plus haut et le plus bas des fonctionnaires, mais du traitement le plus haut et le plus bas des fonctionnaires AUX ECHELLES LETTRES.
    ( Comme on le voit, pour informer le public de ce quia été fait à Filllon, il aurait encore fallu expliquer ce que sont les échelles lettres des fonctionnaires, créées par Guy Mollet en 1956-57)

    Cette astuce diabolique transformait la baisse totale des traitements des députés qui avoisinait 20 % (le reniement des 8 % plus le gel face à une inflation à deux chiffres) en une augmentation de 27 %, excusez du peu ! donc plus de 47 % de plus que le régime sec auxuql on avait mis tous les autres fonctionnaires lambda.

    Mais l’appétit vient en mangeant : Mitterarbd ne s’n tint pas là. Il avait besoin de chambres dociles pour sa politique de rigueur indispensable pour nous faire entrer dans l’Europe à marches forcées dingues. Donc il fit paraître deux autres décrets, qui instituaient une première enveloppe mensuelle NON IMPOSABLE pour ”attaché parlementaire” (aujourd’hui on dit ”assistant parlementaire”). La liberté du député était totale et aucun contrôle n’était prévu. Le député embauchait qui il voulait et puait pour cet attaché salaire et charges sociales, point c’est tout. C’est le député, seul, librement, qui fixait le salaire et embauchait qui il voulait, sa femme, sa fille, son amie ou son ami, il ne lui était demandé aucun compte. Et la loi disait explicitement que si dans la gestion de cet attaché il restait de l’argent sur l’enveloppe, cet argent était acquis de plein droit au député, non imposable !
    Un dernier arrêté parut vers juin, qui instituait une deuxième enveloppe mensuelle légèrement inférieure à la première,c elle-là pour secrétariat. les conditions étaient les mêmes : aucun contrôle, aucune contrainte. Et es surplus était acquis au député, non imposable.

    Ainsi, à l’été 1983, les députés, de pauvres qu’ils menaçaient e devenir suite au plan de rigueur, étaient devenus de gros richards ne sachant plus quoi faire de l’argent. Leur docilité était ainsi bien assurée, on le comprend !

    C’est si vrai que beaucoup de députés se mirent à refuser des postes de ministres, car accepter ces postes leur rasait perdre beaucoup d’argent !

    ce pactole miraculeux a duré tranquillement lès de trente ans sans que le grand public en ait conscience. Certes, Benoîte Tassinn de la Ligue des contribuables, essaya d’avertir le grand public, en publiantdesplaquettes où tous ces abus étaient dénoncés, avec tous les détails des chiffres (le vrai revenu d’un député était ainsi porté à 115 000 franc/mois). Mais seule une minorité de français furent touchés par cette campagne de la Ligue des Contribuables, c’est ainsi, la complexité de la chose dépassait la capacité de patience du français moyen à s’informer sérieusement de ce qui le concerne.

    Voilà pour quoi ni Fillon, ni Lemaire, n Dupont-Aignan, ni M. Roux, ni des centaines d’autres députés, qui ont profité en toute légalité de ces largesses, ne peuvent absolument pas être poursuivis !à aucun, il ‘narrivera rien ! il faudrait faire des procès rétroactifs à des centaines de député qui se sont rempli el poche en tout légalité grâce François Mitterrand !

    J’ai développé tout cela pour bien faire comprendre toute la duplicité de ce Fabrice Arfi : l sait mieux que personne tout ça, mais ça ne ‘la pas empêché de jouer les Monsieur Propre dans l’affaire Fillon ! sa malhonnêteté est donc évidente. Cette malhonnêteté dans l’affaire Fillon devrait l’empêcher de jouer les Monsieur Propre dans l’affaire Sarkozy; car Dieu sait sur quels non-dits repose toute cette accusation grotesque contre Sarkozy. La vérité est que l’affaire Sarkozy est la suite d’une entreprise de destruction du parti ”les républicains”, destruction qui a commencé par cette de Fillon et qui, vu les déclarations des uns et des autres, se poursuit par l’affairee Sarkozy. Ainsi il est bien escompté que le destruction de Sarkozy touchera, par contamination, les vedettes du parti LR, en particulier Lautent Wauquiez, qui se révèle irréprochable et incorruptible à l’égal de Robespierre mais a souvent fait l’éloge de Sarkozy.

    Il ne reste qu’à espérer que tout ce montage ne trompe plus personne et échoue, ce qui serait largement mérité.

  • le réel , 24 mars 2018 @ 22 h 04 min

    avec qui partent en vacances Fabrice Arfi et Eddy Plenel?
    j’ai eu à faire à Eddy Plenel une seule fois, je ne souhaiterai pour rien au monde le revoir! il était là en tant que journaliste et a refusé de s’assoir au milieu de ceux qu’il considéré comme des extrémistes!
    c’est beau la tolérance!!!!

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