Azoulay ou Hollande: qui a mis le feu à Notre-Dame? (Vidéo)

Excepté, Marianne, Mediapart et l’Incorrect, les médias sont muets sur la question. C’est pourtant vraiment LE sujet du moment. Concernant ce tragique incendie, il y a peut-être un coupable direct qui a allumé “la forêt”  mais il y a aussi beaucoup de coupables, bien planqués, des coupables de très graves négligences accumulées.

Remercions vivement Paolo Vannucci qui nous a mis sur la piste de deux pyromanes potentiels…

Audrey Azoulay était alors ministre de la Culture quand, à la demande du CNRSS,  en 2016, sortit un rapport sur les immenses risques d’incendie encourus par Notre-Dame de Paris, rapport réalisé par crainte de menaces islamistes quant à la cathédrale… Paolo Vannucci, son auteur, précisant que: “Nous avions également organisé une réunion au ministère de l’Education nationale et il y avait des représentants de plusieurs ministères. Par conséquent, le gouvernement était tout à fait au courant.» et curieusement, ce rapport fut enterré…

La ministre de l’Education nationale était alors Najat Vallaud-Belkacem, de sinistre mémoire… le Premier ministre s’appelait Bernard Cazeneuve.

A l’évidence, monseigneur Vingt-Trois n’en avait pas eu connaissance, pas davantage que l’architecte en chef de la cathédrale, lesquels se seraient affolés et auraient agi.

La première responsable était la ministre de la Culture qui se devait de protéger aussi l’ensemble des monuments et des églises mais le patrimonial en péril et les cathos poussiéreux, c’était pas trop son truc. Azoulay préférait le cinoche, elle arrivait du CNC, voulait surtout protéger les producteurs et le pognon qui va avec…

Après la double  victoire en justice de l’association catholique Promouvoir pour faire interdire au moins de 18 ans  les films “Love“et “La Vie d’Adèle“, elle avait fait terriblement “assouplir”  les critères permettant aux mineurs de voir des films bien pourris, que notre morale réprouve mais point la sienne…

Elle avait fait censurer le documentaire  Salafistes car il ne disait pas assez de bien des islamistes.

Après, ambition oblige, Audrey s’est mise a “aimer” le patrimoine du monde entier puisqu’elle visait l’UNESCO et ses privilèges.

Le JDD vient de publier une interview racontant qu’elle “accompagnait lundi soir Emmanuel Macron, pour constater l’ampleur des dégâts à Notre-Dame, avant d’être reçue à l’Elysée vendredi. La directrice générale de l’Unesco, Audrey Azoulay, s’est dite aux “côtés de la France” pour rebâtir la cathédrale parisienne inscrite au patrimoine mondial de l’humanité depuis 1991.”

L’on ne peut croire qu’elle se soit comportée comme ces pyromanes qui viennent assister au spectacle de leur “oeuvre”.

Qui a fait enterrer ce rapport?

Si ce n’est elle, c’est son supérieur hiérarchique.

Ne s’intéressant qu’aux inaugurations de mosquées et autres gueuletons d’après ruptures de jeûne, Cazeneuve n’avait même pas dû le lire.

Il n’en reste qu’un.

François Hollande serait-il le pyromane en chef de Notre-Dame de Paris?

 

 

Sybilline Bavastro

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Voici ce que relate Le temps.ch: “Le quotidien économique italien Il Sole 24 Orel’a détaillé dans un long article paru dès le 16 avril, soit au lendemain de l’incendie qui a mis à bas le toit de Notre-Dame de Paris: l’hypothèse d’un feu susceptible de dévaster la fameuse «forêt» de poutres, la charpente séculaire de la cathédrale, avait été très sérieusement évoquée en 2016 dans un rapport de l’universitaire Paolo Vannucci, spécialiste des questions d’ingénierie mécanique à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.

Plus étonnant encore: ce rapport, dont l’auteur est un spécialiste de la structure des monuments historiques et de leur capacité à résister aux chocs sismiques ou thermiques, avait été commandité par le CNRS, le Centre national français de la recherche scientifique. Lequel n’a ni mentionné ce document, ni le nom de ce chercheur dans sa liste d’experts adressée aux journalistes le mardi 16 avril en fin d’après-midi, soit à peu près 24 heures après le sinistre. Il Sole 24 Ore cite en particulier un extrait du rapport selon lequel «la concentration de poussière, stratifiée au cours des siècles, peut avoir un effet explosif. Effet pouvant être activé par un court-circuit ou simplement par les fils électriques des systèmes d’alarme de l’échafaudage utilisé pour les travaux de rénovation»…

Un rapport classé «confidentiel-défense»

L’existence de ce rapport datant de 2016, demandé dans le contexte des attentats terroristes de novembre 2015 en France pour évaluer les risques encourus par Notre-Dame et d’autres monuments emblématiques, était connue des journalistes italiens basés à Paris. Ce qui explique leurs critiques sévères, dès le lendemain de la catastrophe, sur la défaillance des procédures de sécurité dans la cathédrale. L’hebdomadaire français Marianne a finalement été le seul média hexagonal à publier ce jeudi 18 avril un entretien avec Paolo Vannucci, qui n’a pas répondu à cette heure aux sollicitations du Temps. L’intéressé affirme au magazine que le risque d’incendie était particulièrement élevé, et que son rapport préconisait des mesures qui n’ont jamais été prises. Il révèle également que ce document aurait été classé «confidentiel-défense» par le gouvernement du premier ministre Manuel Valls, sans doute pour éviter sa divulgation et le risque de donner des idées à de potentiels terroristes.

«Nous avions dit en effet qu’en cas d’attaque, le risque d’un embrasement de la toiture existait et qu’il fallait absolument la protéger et installer un système d’extinction, explique Paolo Vannucci à Marianne. En vérité, il n’y avait pratiquement aucun système anti-incendie, notamment dans les combles, où il n’y avait aucun système électrique pour éviter les risques de court-circuit et d’étincelles. J’imagine qu’on avait installé quelque chose de provisoire dans le cadre des travaux de réfection, mais je n’en suis pas sûr. Au niveau de la charpente, lorsque nous avons fait notre recherche, il n’y avait aucune protection. Seulement un point d’eau dans la petite cour située entre les deux tours, donc à l’extérieur de la charpente. Nous avions donc alerté le CNRS sur les risques d’incendie. Nous avions aussi dit que même la foudre aurait pu déclencher un feu et qu’il fallait donc installer tout un système de prévention.» La réponse des autorités françaises a jusque-là été justement de dire qu’aucun dispositif électrique n’avait été installé dans les combles, précisément pour éviter les risques de court-circuit. L’existence de ce rapport n’a pour l’heure pas été divulguée officiellement. […]”

 

Photos du début de l’incendie.

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