Grenoble : le siège du Parti socialiste visé par des tirs d’arme à feu

Le siège du Parti socialiste a été dans la nuit de dimanche à lundi touché par des tirs d’armes à feu. La police a relevé douze impacts de balles, et retrouvé des douilles devant la permanence socialiste. Pour le moment, l’attaque n’a pas été revendiquée, mais le lien avec les contestations contre la loi Travail n’est pas exclu par les élus locaux. Le coût total des réparations s’élèvera à plusieurs dizaines de milliers d’euros. Selon le Parti socialiste, trente permanences ont été vandalisées à travers la France en un mois :

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15 Comments

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  • Pupuce , 24 mai 2016 @ 8 h 14 min

    Ils vont bien finir par accuser l’extrême droite!!

  • Marino , 24 mai 2016 @ 8 h 20 min

    Le dernier incident survenu dans la nuit de dimanche à lundi, des tirs d’armes à feu à Grenoble contre la devanture du siège de la Fédération du PS de l’Isère, a suscité toutefois une émotion particulière. […]

    Dans son décompte des locaux ayant fait l’objet d’actes de vandalisme ces dernières semaines dans le cadre de la mobilisation contre la loi travail, le PS énumère différents actes tels que des dégradations de permanences de députés socialistes, ou encore des saccages et tags, des vitres brisées, des serrures cassées, des locaux emmurés…

    « Les dégradations de permanences d’élus et de formations politiques constatées ces dernières semaines sont, par essence, incompatibles avec l’exercice du pluralisme et la diversité des opinions garanties dans l’État de droit », a poursuivi Bernard Cazeneuve dans un communiqué, au sujet de l’affaire de Grenoble.

    « Depuis des semaines, nous dénonçons ces actes de violence qui s’aggravent de jour en jour. Depuis des semaines, nous appelons l’ensemble de la classe politique et des responsables syndicaux à réagir (…) », a commenté le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis. « Des suites judiciaires seront évidemment données à cette affaire », a-t-il dit à propos des incidents survenus à Grenoble. […]

    Des députés signataires du projet de motion de censure « de gauche » ont aussi été ciblés, à l’instar d’Alexis Bachelay, élu des Hauts-de-Seine, qui s’est plaint récemment sur Twitter d’avoir vu la vitrine de sa permanence « lâchement souillée ».

  • Pierre , 24 mai 2016 @ 8 h 48 min

    Ils ont tué personne …Hélas !

  • Fred , 24 mai 2016 @ 9 h 56 min

    C’est l’extrême droiteeeeeeeeeeeeeeeeee… La bête immonde est toujours vivante lol

  • Nicolas , 24 mai 2016 @ 10 h 01 min

    Et alors ? Il n’y a pas mort d’homme. On ne sait pas qui, on sait qui ce n’est pas . Ils n’ont pas osé nous faire le coup de Dash, leur lessive associée à Al Nosra “les gars qui font du bon boulot. Ça peut être des règlements de compte, donc avertissement, aussi bien des antifas pour nous préparer à un attentat majeur contre qui les gêne réellement sur le plan politique et dans ce cas, leur alibi. Regardez les témoignages de policiers, ils ont ordre de laisser passer les casseurs qui s’intègrent dans les manifs, ils ont des ordres de non-intervention dans les saccages. Pour faire bon poids, il y aura une broutille ou deux contre des permanences LR ou UDI (si permanences UDI, ça existe).ils pourront nous jouer leur violon “tous ensemble, tous, pour sauver les valeurs de la République “, levtout,!la main sur le cœur , les yeux dans les yeux.
    Ne prenons pas cela à la légère . Ça préfigure une dictature de plus en plus pesante .

  • appeals , 24 mai 2016 @ 10 h 23 min

    Les pôvres !!!!

    Ils n’ont pas visé les bonne cibles (celles qui bougent….! ) lol

  • memo , 24 mai 2016 @ 19 h 48 min

    PAUVRES PETIT BOURGEOIS!

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