Vingt-Trois, v’là Boucault !

28 Comments

• 

  Charles , 23 juillet 2013 @ 12 h 51 min

  Le frère Boucault est dans les choux avec le néo-frère 23.
  23 c’est 32 à l’envers qui précède le nombre pivot de 33.

  Paradoxe de l’avantage des violences policières poly-sexuelles de fronce:
  Les catho-cruches ne peuvent plus éluder la réalité de ces violences.

  Il se trouve que au moins la moitié des forces/farces de poulice sont politiques.
  En général,il leur est épargné de prendre des coups dans les zones ZOC de fronce
  (Zones d’occupation clandestines).
  Ces forces/farces ne vont JAMAIS au contact physique avec les POC de fronce.
  POC=Personnes d’Origine Clandestine.

  Seuls les blancs de blancs ont droit aux matraques et gaz lacrymo-cancérigéne.
  Cette violence républicaine ultraçonnike est devenue évidente.

  Nous savons qu’ils n’ont aucune réticence à frapper.
  Leur problème étant la perte considérable de crédibilité dans le public.

  Ceci pour dire que cette infiltration ne date pas d’hier.

  Pour mémoire,ils ont pris le pouvoir policier après la chute de Napoléon III.
  Un exemple;L’assassinat en 1925 du fils de Léon Daudet ,
  lui meme fils de Alphonse Daudet.Philippe Daudet avait moins de 20 ans.

  Léon Daudet était un redoutable polémiste.
  Il se sont vengés sur le fils,l’année ou une autre cible catholique fut neutralisée.
  Je veux parler du Général Mangin empoisonné a la table d’un restaurant.
• 

  monhugo , 23 juillet 2013 @ 13 h 08 min

  La “subversion” selon Valls et son porte-coton Boucault : exercer silencieusement sa liberté d’expression, en “veillant”, assis ou debout. S’en prendre violemment aux biens et aux personnes, y compris et surtout à celles détentrices de l’autorité publique, selon les mêmes : gentilles manifestations de “jeunes”, honteusement analysées par les droites comme du “communautarisme”. La dame Taupe saura faire ce qu’il faut quant à elle pour que ses agents traitent les “subversifs” d’un côté (qui mettent en danger la République) et les “Chances pour la France” (que cette appellation officielle définit avec tant de pertinence) de l’autre, selon leur mérite respectif : une justice objective et mesurée complétera donc une police éclairée qui ne connaît aucune compromission…..
• 

  corto74 (@corto74) , 23 juillet 2013 @ 13 h 12 min

  Rien que le titre du billet valait le déplacement !
• 

  Christiane , 23 juillet 2013 @ 13 h 29 min

  Cela prouve une chose : “on ne lâche rien ” car, c’est bien cela qui leur donne des
  crises de nerfs.
• 

  monhugo , 23 juillet 2013 @ 13 h 30 min

  Vous m’avez précédée ! Félicitations pour cet excellent titre.
• 

  Charles , 23 juillet 2013 @ 13 h 41 min

  La conséquence du rayonnement ultraçonnike sur la rippoublike
  est que nous les français de toujours nous n’aurons pas d’autre choix
  que de retrouver le fil d’Ariane reçu des générations précédentes.

  Les veilleurs debout en sont l’avant garde silencieuse.
  Tels l’étudiant Chinois qui fit arréter une colonne de chars
  sur la grande place de Péking.

  L’ennui, et l’avantage étant que les IVG (c)de V2 ne feront rien
  pour nous aider et tout pour nous bloquer
  puisqu’ ils sont avec les autres de l’UMPS-M.

  La preuve par 9,le fait que 23 reçoivent son “frère”.
  Donc nous allons devoir reprendre notre baton de pèlerin
  et retrouver la vraie liturgie,celle transmise depuis 2.000 ans.

  Ce qui nous indique également la limite de potentiel de résistance
  du FN contre les ZONIS (inverse de NAZIS) qui invoquent
  l’estreemmedroaate a tout bout de champ.

  Le FN est incontournable pour notre avenir tout en étant insuffisant.
  Il faut quelque chose en plus et à coté.

  Nb-IVG de V2=Invertis Vaticanistes Gonciliaires.
• 

  monhugo , 23 juillet 2013 @ 14 h 08 min

  Philippe Daudet avait 14 ans (fils du 2ème mariage du polémiste, avec Marthe Allard, journaliste à “L’Action française” sous le nom de “Pampille”). L’enquête conclut à un suicide – le jeune homme fut retrouvé dans un taxi, une balle dans la tête. Léon Daudet affirma pour sa part qu’il s’agissait d’un assassinat anarchiste, le touchant par ricochet (il avait été lui-même la cible d’un attentat 10 mois plus tôt par l’anarchiste Germaine Berton, laquelle tua alors par erreur le secrétaire général de l’Action française, le mouvement). L’adolescent avait fugué et s’était rapproché des milieux anarchistes, prétendant même vouloir assassiner Poincaré (le président du Conseil) ou Millerand (le président de la République)… Sombre affaire donc. On émit l’hypothèse selon laquelle le jeune homme aurait pu être malencontreusement tué par un agent de la Sûreté générale lors de son interpellation. Léon Daudet mettant en cause pour sa part (notamment) le chauffeur du taxi où fut retrouvé son fils, il fut condamné de ce chef pour diffamation à 5 mois de prison, mais réussit une spectaculaire évasion de la Santé, grâce aux Camelots du Roi, et se réfugia en Belgique, ridiculisant le ministre de l’Intérieur et la Sûreté. Il sera gracié 2 ans et demi plus tard par Daladier et pourra alors rentrer en France. Léon Daudet gênait, c’est certain, mais le complot anarcho-républicain prétendu (le pouvoir républicain instrumentalisant les anars en sous-main, pour se débarrasser de lui) ne fut jamais établi. Restait à Léon Daudet un fils aîné, issu de sa courte première union avec Jeanne Hugo, la petite-fille de l’écrivain (qui épousa après ce premier divorce Jean-Baptiste Charcot, l’homme du “Pourquoi pas ?”). Il fut d’abord républicain (ne se mariant alors que civilement, puisque Victor Hugo avait défendu à ses descendants de se marier religieusement !). 4 ans de mariage et un divorce plus tard, Léon Daudet détestait sans remède tout ce qui était républicain, devenu clérical et nationaliste, anti-parlementariste (il écrivit ainsi “Le pays des parlementeurs” – au titre qui sonne très actuel..) et bientôt anti-dreyfusard.

Comments are closed.