L’Allemagne va-t-elle quitter l’euro la première ?

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  • Charles-de , 24 mars 2017 @ 5 h 19 min

    TOTALEMENT ILLUSOIRE ET NUL d’imaginer que les Allemands et les Français et d’autres pourraient former un jour un seul peuple ! Voir en Belgique les Flamands et les Wallons, en Espagne les Espagnols et les Catalans, au Royaume Uni les Anglais et les Ecossais etc.

  • HuGo , 24 mars 2017 @ 8 h 24 min

    Vincent Brousseau résume parfaitement l’évolution d’état d’esprit de ceux qui aujourd’hui rejettent l’euro, rejettent Schengen (mais il faudra probablement une décennie pour recouvrer l’intégralité efficace des frontières).
    Il le dit : on, démantèle les souverainetés POUR RIEN ; plus de sécurité économique (je dirais même plus de sécurité tout court). Où est l’avenir vers où se diriger ? Cette absence de souveraineté n’est pour rien du fait qu’un jeune sur cinq, semble-t-il, n’a plus à rien à cirer de la politique.
    Et cela, c’est franchement rédhibitoire !
    À moins d’être des ‘happy few’ privilégiés ou/et de n pas aimer la France, Elle ne peut que sortir de l’euro, sortir de Schengen, sortir de l’OTAN. Un continent européen des Nations. La France ne peut continuer à galvauder ses atouts. Elle doit recouvrer sa pleine souveraineté. Au plus vite, au mieux !

  • Charles , 24 mars 2017 @ 10 h 29 min

    Assellineau a été le premier à signaler les flux de migration des soldes créditeurs €
    venant des grandes entreprise du sud-GRESPI vers les banques du nord BENEDALUX.
    ———————————————————
    Ces entreprises ne gardent pas leurs soldes créditeurs € dans les banques de dépôt du sud.
    Elles ont ouvert des comptes partout dans la zone nord (ZIG Zone d’influence Germanique)
    Des que un solde conséquent est visible sur un compte auprès d’une banque GRESPI
    l’entreprise transfert les soldes vers un autre compte auprès d’une banque BENELUXO.

    Ceci pour éviter d’une part une dévaluation soudaine des euros sud
    et d’autre part pour éviter une contraction légale des soldes en cas de défaut de la banque.

    Le total des transferts de la zone sud vers la zone nord est estimé à 800 Milliards fin 2016
    De plus, ce cumul continue d’augmenter au mois le mois.

    En conséquence, c’est la BCE qui doit compenser cette fuite de 800 Milliards
    pour permettre aux banques du sud de rester solvables (à défaut, la facture serait pire).
    ——————————————————
    Il y a donc un moment ou les Allemands vont dire “stop”.Ceci est inéluctable…
    ——————————————————
    GRESPI pour Grece, Espagne, Portugal, Italie.
    BENELUXO pour Belgique, Nederland,Luxembourg, Autriche (ostereich)

  • Charles , 24 mars 2017 @ 10 h 30 min

    le Danemark n’est pas dans la zone euro.

  • Charles , 26 mars 2017 @ 11 h 12 min

    Article stupide sur BVoltaire pour défendre la rigidité monétaire.
    Ces arguments sont simplistes et enfantins, invoquant la ruine des épargnants, une inflation folle comme en république de Weymar de 1923.

    L’économiste de BV n’aborde jamais les points suivants:
    1. Si la France sort, alors l’Italie sort aussitôt,
    pour préserver son industrie automobile.
    2.Si la France & l’Italie sortent, aussitôt les 3 autres du GRESPI
    sortent (Grèce,Espagne Portugal).
    3. Ces 5 sorties ,à terme, déclencheront la sortie des 4 moyens que sont Irlande, Pays bas,Finlande, Slovaquie, & les 6 pays confettis.
    4. La Belgique aura un problème avec la Wallonie dont l’économie,
    déjà sous oxygène flamand, devra encore être plus subventionnée.
    5. Tous ces points indiquent que l’Allemagne, pour sauver son industrie, sera obligée de négocier avec le chef de file du groupe,à savoir la France.
    6. Ces pays résistants/sortants ne sont pas des pays poubelles
    sans infrastructures ni professionnels qualifiés, ni industrie.
    Donc, une baisse de valeur des nouvelles monnaies face au DM , de facto réinstallé, est forcément limitée de par la volonté de l’industrie allemande même. Elle ne veut pas que les industries non allemandes captent un trop gros avantage monétaire et elle veut que ses marchés du sud restent solvables pour les produits allemands.
    7. En trouvant leur monnaies, ces pays retrouvent leur capacité d’émission monétaire, y compris en faveur de leurs gouvernements respectifs à taux zéro (ou quasi zéro), comme le fait la Fed aux EUA pour le gouvernement fédéral. Donc, ces banques centrales définissent leurs politiques de taux directeurs sur leurs monnaies respectives. Il n’y a aucune raison à anticiper une explosion des taux d’intérêts, car cela déclencherait des nouveaux ajustements de parité que l’Allemagne ne veut pas voir venir.
    8. La rémunération des livrets d’épargne est déjà très basse et peut bénéficier d’un statut privilégiés avec un taux indexé sur l’inflation d’un panier type des produits/services consommés par les personnes retraitées.
    Exemple,taux de 3 % pour des dépôts plafonnés a 300.000 e, soit 9.000/an.
    9. Les pensions de retraites peuvent être indexées a l’inflation du même panier type pour les petites pensions (plafond de 2.000/ mois).
    10. La restauration d’une politique monétaire adaptée aux besoins des économies nationales (et non pas allemande) entraîne, de suite, une reprise, dont tout le monde profitera, y compris les personnes agées

    http://www.bvoltaire.fr/72-francais-souhaitent-a-titre-maintien-de-leuro/

  • Charles , 26 mars 2017 @ 14 h 08 min

    Nicolas Bay réexplique le scénario monnaie commune à la place de monnaie unique
    et le journaliste zappe en faisant semblant de ne pas comprendre.
    Il faut simplement expliquer que le sujet n’est pas tant de “sortir de la zone euro” pour cette simple raison que cette zone euro existe de facto du simple fait de la domination industrielle allemande qui entraîne une domination monétaire.
    Avant la zone euro, la zone euro existait déjà et elle s’appelait la zone mark.
    Ce la signifie que la parité du mark face au dollar définissait de suite
    la parité des autres monnaies face au même dollar.
    Donc, il ne s’agit pas tant de sortir de la zone euro qui existe depuis toujours, même si le nom a changé, il s’agit de sortir de la zone euro unique et rigide qui a été mis en place en 2002.
    Donc, si la version de mixité monétaire est mise en place entre un euro monnaie commune et “centrale” d’une part et les autres monnaies nationales restaurées d’autre part, alors nous enlevons le virus actuel qui est la rigidité des parités internes à la zone.
    Il faut que Nicolas Bay injecte des concepts qui frappent l’esprit,
    tels que “mixité monétaire” dans une “zone monétaire ” qui existe “de facto” et qui ne peut être supprimée.

    https://www.youtube.com/watch?v=BNK6fvmKUNo

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