Après avoir accueilli 400 000 “réfugiés”, l’Allemagne sature déjà

Tandis que le ministre de l’Intérieur prévoit d’accueillir deux fois plus d’envahisseurs (arrive un moment où il faut appeler un chat un chat) en 2015, plus d’un millier d’Allemands, dont des mères de famille venues avec leurs enfants, ont scandé « Non au déferlement des réfugiés ! » avant que débutent de violents incidents avec les forces de l’ordre. En cause, l’ouverture prochaine d’un centre de demandeurs d’asile à Heidenau, dans la région de Dresde, berceau de Pegida (mouvement contre l’immigration) :

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2 Comments

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  • Guy Marquais , 25 août 2015 @ 8 h 29 min

    Une fois de plus nos voisins de l’est montrent l’exemple. Mais soyons observateurs, les “Anglo -amerloks” ne vont pas tarder à leur mettre des bâtons dans les roues, les beefs n’aiment pas trop quand ça marche bien du coté du continent.
    Et depuis Napoléon ( qui l’a écrit , lettre manuscrite au Musée de l’Empiri) ça n’a guère changé !

  • penelope , 25 août 2015 @ 11 h 00 min

    les Pontes qui gouvernent l’Europe devraient savoir que droit et possibilité e sont pas toujours compatibles;ce n’est pas en disant que l’asile est un droit que les choses s’arrangent;les”il faut où il y a qu’a” n’ont jamais rien réglé,la volonté et la possibilité parfois s’oppose;aider est une chose mais se voir prendre ce qui devrait nous revenir par le travail fait,pour les avoir gagné,cela n’est pas acceptable;de tout temps et volontairement on donnait pour les plus démunis,maintenant ce n’est plus possible,on ne peut plus puisqu’on nous prend même le nécessaire;il y a toujours eus des immigrés,mais ce qui se passe maintenant ne s’est jamais vu auparavant,et cela semble normal à ce qui nous gouverne et nous rassure par,”ce n’est pas fini,il faut s’attendre encore à plus”;auparavant ceux qui arrivaient travaillaient à n’importe quoi pour manger;maintenant cela n’est plus possible,vu le nombre déjà croissant de chômeurs;il faut donc les assister,leur donner un minimum,qui n’est pas suffisant et qui les obligeront à voler où plus pour manger;on déplace le problème.

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