Pour Lady Gaga, les gays devraient pouvoir se reproduire…

Interrogée par Nikos Aliagas dans un entretien diffusé en partie lundi matin sur Europe 1, Lady Gaga s’est déclarée favorable au “mariage” gay, a critiqué le pape Benoît XVI et a demandé le droit de se reproduire pour les homosexuels.

“Je pense que le mariage homosexuel est quelque chose qui va arriver. Il faut permettre à tout le monde de s’aimer librement”, a argumenté (lol) la chanteuse américaine. Puis, c’est tendance, elle s’en est prise à Benoît XVI : “Ce que pense le pape de l’homosexualité n’a pas d’importance aujourd’hui. Son avis sur la question n’intéresse personne à part les suiveurs du pape. Ce n’est pas l’avis de tous les chrétiens, ni de ceux qui croient en quelque chose, c’est le point de vue d’une seule personne”.

Avant d’oser (comme dirait Michel Audiard, les cons…) : “Je soutiens tous les homosexuels. J’espère qu’ils pourront s’aimer et être ensemble jusqu’à la fin des temps… Et j’espère qu’ils auront le droit de se reproduire de manière tout à fait égale.” Elle peut espérer longtemps !

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26 Comments

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  • 0 / 10
  • DESABUSE , 25 septembre 2012 @ 15 h 33 min

    A part un “ETRON”, je ne vois pas bien quel peut être le résultat d’un accouplement homosexuel.
    Merci de m’expliquer?

  • petitjean , 25 septembre 2012 @ 19 h 30 min

    mais qu’est-ce qu’on en a à faire de l’avis de cette raclure ???

    z’avez pas non plus interrogé un clodo ?? Peut être qu’il aurait eu lui un avis “éclairé” ??

    pourquoi faire une pub à l’abjection ???…….

  • Robert , 25 septembre 2012 @ 19 h 53 min

    Je remercierai beaucoup certains intervenants de rester poli et de ne pas sombrer dans l’injure.
    Laissons cela aux provocateurs et à nos adversaires.

  • marie-france , 26 septembre 2012 @ 0 h 17 min

    je suis d’accord avec vous Robert mais avouez qu’il y a de quoi perdre son calme devant ce cataplasme!!!

  • Fvern , 26 septembre 2012 @ 0 h 41 min

    Elle est complètement gaga!…se reproduire…on dirait qu’elle parle d’animaux et non d’etres humains

  • pi31416 , 26 septembre 2012 @ 12 h 44 min

    Il n’y a qu’une réponse à faire à ces âneries, et c’est celle des Monty Python dans “La vie de Brian”

    http://www.youtube.com/watch?v=sFBOQzSk14c

    FRANCIS:
    Yeah. I think Judith’s point of view is very valid, Reg, provided the Movement never forgets that it is the inalienable right of every man–
    Oui. Je pense que le point de vue de Judith est très valable, Reg, pourvu que notre Mouvement n’oublie jamais que c’est le droit inaliénable de tout homme–

    STAN:
    Or woman.
    Ou femme.

    FRANCIS:
    Or woman… to rid himself–
    Ou femme… de se débarrasser lui-même–

    STAN:
    Or herself.
    Ou elle-même.

    FRANCIS:
    Or herself.
    Ou elle-même.

    REG:
    Agreed.
    D’accord.

    FRANCIS:
    Thank you, brother.
    Merci, frère.

    STAN:
    Or sister.
    Ou soeur.

    FRANCIS:
    Or sister. Where was I?
    Ou soeur. Où en étais-je?

    REG:
    I think you’d finished.
    Je crois que tu avais fini.

    FRANCIS:
    Oh. Right.
    Oh. OK.

    REG:
    Furthermore, it is the birthright of every man–
    En outre, c’est le droit inné de tout homme–

    STAN:
    Or woman.
    Ou femme.
    REG:
    Why don’t you shut up about women, Stan. You’re putting us off.
    Ferme-la avec les femmes, Stan, tu nous bassines.

    STAN:
    Women have a perfect right to play a part in our movement, Reg.
    Les femmes ont parfaitement le droit de jouer un rôle dans notre mouvement, Reg.

    FRANCIS:
    Why are you always on about women, Stan?
    Pourtant parles-tu tout le temps des femmes, Stan?

    STAN:
    I want to be one.
    Je veux être une femme.

    REG:
    WHAT?
    QUOI?

    STAN:
    I want to be a woman. From now on, I want you all to call me ‘Loretta’.
    Je veux être une femme. A partir de maintenant je veux que vous m’appeliez tous “Loretta.”

    REG:
    WHAT?!
    QUOI?!

    LORETTA:
    It’s my right as a man.
    C’est mon droit en tant qu’homme.

    JUDITH:
    Well, why do you want to be Loretta, Stan?
    Pourquoi veux-tu être Loretta, Stan?

    LORETTA:
    I want to have babies.
    Je veux enfanter.

    REG:
    You want to have babies?!
    Tu veux enfanter?!

    LORETTA:
    It’s every man’s right to have babies if he wants them.
    C’est le droit de tout homme d’enfanter s’il le désire.

    REG:
    But… you can’t have babies.
    Mais… tu ne peux pas enfanter.

    LORETTA:
    Don’t you oppress me.
    Ne m’opprime pas.

    REG:
    I’m not oppressing you, Stan. You haven’t got a womb! Where’s the foetus going to gestate?! You going to keep it in a box?!
    Je ne t’opprime pas, Stan. Tu n’as pas d’utérus. Où le fétus va-t-il se développer?! Tu vas le garder dans une boîte?!

    LORETTA:
    [crying]
    [elle pleure]

    JUDITH:
    Here! I– I’ve got an idea. Suppose you agree that he can’t actually have babies, not having a womb, which is nobody’s fault, not even the Romans’, but that he can have the right to have babies.
    Hé! j’ai une idée. Supposons que vous êtes d’accord qu’il ne peut pas enfanter, puisqu’il n’a pas d’utérus, ce qui n’est la faute de personne, même pas celle des Romains, mais disons qu’il a le DROIT d’enfanter.

    FRANCIS:
    Good idea, Judith. We shall fight the oppressors for your right to have babies, brother. Sister. Sorry.
    Bonne idée, Judith. Nous combattrons les oppresseurs pour ton droit d’enfanter, frère. Soeur. Euh… désolé.

    REG:
    What’s the point?
    A quoi bon?

    FRANCIS:
    What?
    Quoi?

    REG:
    What’s the point of fighting for his right to have babies when he can’t have babies?!
    A quoi bon combattre pour son droit d’enfanter quand il en est incapable?

    FRANCIS:
    It is symbolic of our struggle against oppression.
    C’est symbolique de notre combat contre l’oppression.

    REG:
    Symbolic of his struggle against reality.
    Symbolique de son combat contre la réalité, oui.

  • Goupille , 26 septembre 2012 @ 23 h 01 min

    Tout est dit…
    Nonsensical humour, grande spécialité british.
    Ou le petit théâtre de l’absurde…

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