New York City : pour la première fois, les écoles publiques ferment pour l’Aïd…

Eric Martin
24 septembre 2015
Latest Update: 24 septembre 2015 11 h 32 min
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Oppression des minorités. Les écoles publiques de New York resteront fermées pour la première fois ce jeudi, à l’occasion de l’Aïd el-Kébir. Les 1,1 million d’élèves des quelque 1 800 écoles new-yorkaises seront ainsi en congé jeudi, après l’avoir déjà été mercredi pour la fête juive de Yom Kippour…

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xrayzoulou , 24 septembre 2015 @ 18 h 52 min
Putain de yenkees ! c’est normal avec un président islamiste !
VonVon , 24 septembre 2015 @ 20 h 02 min
Je crois que c’est le maire de New York qui est musulman… que ce n’est donc pas Obama qui a pris cette décision !
Gwalchavad , 24 septembre 2015 @ 22 h 55 min
En France on ne ferme pas les écoles, mais ce sont les profs musulmans qui ne viennent pas. A Lagny-sur-Marne, Lycée Van Dongen, 5 profs absents aujourd’hui, tous des noms à consonnance musulmane.
Ceci bien sûr sans penser à leurs élèves qui vont se taper des heures de permanence et qui vont perdre des heures de cours sur le programme.
eric-p , 24 septembre 2015 @ 23 h 10 min
Vous avez des preuves indiscutables ?
eric-p , 24 septembre 2015 @ 23 h 11 min
Mais que fait Najat ????
Lorong , 25 septembre 2015 @ 5 h 16 min
Pourquoi pas, on a bien une faite pour l’immaculée conception. Les martiens c’est à peine moins crédible.
Marino , 25 septembre 2015 @ 6 h 52 min
Mantes-la-Ville : la mairie contrainte de mettre à disposition une salle municipale pour l’Aïd

Justice. Le Conseil d’Etat a ordonné au maire de Mantes-la-ville de mettre à disposition de la communauté musulmane une salle municipale pour la fête de l’Aïd ce jeudi. Une demande à laquelle s’opposait le maire au nom de l’intérêt général.

Cyril Nauth, maire de Mantes-la-Ville avait été sollicité à plusieurs reprises par l’AMMS (Association des Musulmans de Mantes Sud) les 6 mai, 3 juin et 1 août derniers afin de pouvoir disposer, gratuitement ou en le louant, du gymnase municipal Aimé-Bergeal ce jeudi afin d’y célébrer l’Aïd.

L’association a alors saisi le juge des référés du tribunal administratif de Versailles afin d’obtenir la salle exigée. Elle a été déboutée de sa demande le 18 septembre dernier et s’est tournée vers le Conseil d’Etat. Le juge des référés du Conseil d’Etat leur a alors donné raison, estimant que « Le refus de mettre à la disposition de l’association […] une salle municipale afin de permettre d’accueillir la célébration de la fête de l’Aïd-el-Kebir porte une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés de réunion et de culte » avait statué le juge.

Le maire a ensuite expliqué à l’AFP son silence face à la demande de l’association : « Ma volonté est de préserver l’intérêt général. Dans la mesure où les deux locaux étaient déjà occupés par des activités scolaires et de formation, j’ai estimé qu’elles n’avaient pas à céder la place à un culte »

Ce motif de préserver l’intérêt général avait déjà été invoqué par le maire pour s’opposer au projet de création d’une mosquée à la place d’un bâtiment qu’il souhaitait transformer en local pour la police municipal. Un projet qui avait été refusé par le tribunal administratif de Versailles en août dernier, qui avait considéré qu’il s’agissait d’un « détournement de pouvoir ».