La Lituanie, la Lettonie et l’Estonie n’accepteront pas de migrants supplémentaires

Lors des négociations au Conseil européen du 22 septembre, les trois pays baltes avaient accepté la répartition de 120 000 immigrants clandestins en plus des 40 000 déjà convenus avant. Réunis à Palanga en Lituanie le 20 novembre dernier, les présidents des trois pays ont indiqué qu’ils n’accepteraient pas de quotas supplémentaires tant que de nouveaux immigrants continueront d’affluer. “Il ne peut être question d’accueillir des réfugiés supplémentaires tant que le chaos migratoire en Europe n’aura pas été maîtrisé”, a indiqué la présidente lituanienne Dalia Grybauskaite. Le président letton Raimonds Vejonis a avancé le même argument : “Tant que l’Europe n’aura pas renforcé ses frontières extérieures et n’aura pas mis au point un mécanisme de rapatriement des migrants et de lutte contre le trafic d’êtres humains, nous ne voudrons pas discuter de nouveaux engagements en matière d’accueil de migrants”.

 

Source : le site d’information polonais wPolityce

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23 Comments

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  • Trahi , 24 novembre 2015 @ 10 h 51 min

    Si cela doit dégénérer au moyen orient en guerre générale, nous pourrons dire que grollande a tout fait pour ça.
    Il nous cache quelque chose!!!!!!

  • André , 24 novembre 2015 @ 11 h 06 min

    Problème. Les commentaires ne passent plus.

  • Charles , 24 novembre 2015 @ 11 h 10 min

    Soit, nous avons un missile Sol/Air tiré par les “rebelles ” du nord de la Syrie,
    soit nous avons un missile Air/Air tiré par un avion turc de l’OTAN…

    Dans le cas Sol/Air, le tir est régulier.
    Dans le cas Air/Air, c’est autre chose, dans la mesure ou les Russes
    peuvent produire des cartes (vues de l’espace) prouvant les positions.

    De toutes manières, les premières troupes russes au sol dans la région
    vont avoir des missiles sol air et vont faire un carton sur tous les avions turcs
    qui approcheront l’espace syrien.
    cas classique d’escalade.

  • Janvier , 24 novembre 2015 @ 11 h 13 min

    À un élu, j’exposai Maïdan, réponse “oui, et alors?” la jonction nazis Pravy Sector EI/Al Qaïda “oui et alors? ” les largarges d’armes et de vivres aux terroristes en Syrie et Irak, plus les camps d’entraînement et le financement, le tout avoué par Hollande et Fabius, “oui, et alors “, l’évacuation des terroristes blessés sur les hôpitaux israéliens et l’hôpital de la fille Erdogan, qui leur est dédié :”oui, et alors ?” je passai à Boko Haram, avec l’arrestation des “8 blancs” dont Fabius a exigé le rapatriement plus l’avion -cargo russe sous fausse immatriculation russe, qui livrait des armes et hélicos à Boko Haram au Tchad. “oui , et alors?la relaxe e de Fabius devant la Chambre civile en décembre dernier pour”terrorisme et apologie “, la plainte contre l’Etat qui s’en est ensuivie pour terrorisme et apologie ” . La discussion se termina par : tu fais partie d’une communauté nationale. Moi : mais je ne suis pas 1terroriste. Réponse : je ne me sens pas terroriste. conclusion: nos élus de tous bords savent parfaitement ce qu’ils font et pourquoi. Ne croyez pas en leur ignorance.

  • Charles , 24 novembre 2015 @ 11 h 29 min

    Deux hélicoptères Turcs envoyés sur le territoire Syrien, pour tenter
    de récupérer les 2 pilotes, (un des deux serait déjà pris par les rebelles)
    ceci est une violation du droit territorial, pourtant invoqué par les Turcs
    pour justifier le missile Air/Air turc….

    De l’autre côté, plusieurs hélicoptères russes sont partis chercher
    les 2 pilotes qui sont en territoire Syrien.
    Les Russes sont dans leur droit du fait de l’agrément du gouvernement Syrien.

  • Marino , 24 novembre 2015 @ 11 h 31 min

    Schengen, une “passoire” Les États sont responsables de ce fiasco

    Schengen n’échappera pas à une remise en question profonde.

    – Des compromis boiteux

    Habillé d’un prétexte sécuritaire, ce que l’on appelait à l’époque le “déficit sécuritaire”, Schengen répondait en fait à une autre réalité : celle du besoin économique d’un continent asphyxié, cloisonné en États aussi nombreux que petits. Le marché intérieur, lancé exactement à la même période, ne pouvait s’en satisfaire.

    – Le détour par la case “sécurité” dissimule à peine cette priorité. La réinstauration des contrôles provoquée par la crise des attentats de Paris en confirme l’impact : retards dans les aéroports, kilomètres de bouchons sur les autoroutes aux passages frontaliers avec l’Espagne ou l’Italie…

    – Entre les pays, la méfiance demeure la règle

    Elle imposait le respect d’un certain nombre de principes. Avant toute autre chose, celui de la responsabilité de chaque État, garant par son sérieux de la sécurité de tous. D’où le refus initial de l’ouvrir à des partenaires jugés peu fiables, de l’Italie à la péninsule ibérique ou à la Grèce.

    La logique communautaire, celle des élargissements, l’a emporté sur ce paramètre. Une prétendue “confiance mutuelle” entre États a été vantée dans un univers où la méfiance demeure la règle.

    Puisque, depuis des années, la Grèce était une passoire et ne remplissait plus ses obligations, comment s’étonner que le système ait volé en éclat au début de l’été ? Puisque, depuis des années, le système dit de “Dublin” (imaginé à Schengen) ne remplissait pas son office, pourquoi s’étonner de l’abcès de fixation ouvert hier à Sangatte, aujourd’hui à Calais ?

    Dilué, Schengen a perdu de vue l’originalité de sa charge pour être appréhendé comme une politique ordinaire.

    – La sécurité relève de la souveraineté de chaque État

    Ensuite, parce que les États refusent toujours la contrainte. En indiquant clairement dans son article 4 que “la sécurité nationale relève de la seule souveraineté de chaque État membre”, le traité sur l’Union fixe une barrière infranchissable.

    Les enseignements des commissions d’enquête au lendemain des attentats de Charlie Hebdo le confirment.

    NB : Mme Guigou dimanche soir à la télé: “les terroristes peuvent frapper n’importe qui, n’importe ou, n’importe quand”…

    Eh non!
    Les terroristes frappent à PARIS, les quartiers bobo ou le stade de France quand Hollande s’y trouve, après les frappes françaises en Syrie; et les terroristes ne sont pas n’importe qui: ce sont des jeunes radicalisés, signalés, logés par les services, venant de Syrie avec les réfugiés!
    C’est facile, Madame, de dire qu’on ne peut rien prévoir, mais c’est faux!
    Et quand vous faites semblant d’ignorer la mise en cause d’une élue socialiste dénonçant des propos antirépublicains d’un imam au Bourget, c’est le comble de l’hypocrisie!

  • Charles , 24 novembre 2015 @ 11 h 44 min

    Les Turcs sont chauds et émotionnels. Les Russes sont froids et rationnels.
    Il est stupide de lancer 2 hélico Turcs en Syrie. les Russes auront intérêt à descendre ces 2 hélicos des qu’ils se trouvent dans l’espace aérien syrien.
    Ils ont tous les moyens techniques pour le faire.
    Les Turcs sentant un certain flottement chez Obama ont sans doute
    cherché la provocation pour mouiller Obama et l’OTAN contre les Russes.

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