La minute d’Olivier Delamarche : “Dès que vous parlez d’arrêter l’euro, on vous traite de fasciste !”

Le 23 février, la possibilité d’abandonner la monnaie unique européenne a été le thème abordé par Olivier Delamarche dans Intégrale Placements, avec Guillaume Sommerer et Cédric Decoeur, sur BFM Business :

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16 Comments

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  • Charles , 26 février 2015 @ 13 h 58 min

    De plus Delamarche s’est complètement planté
    sur ses prévisions boursières depuis 2011.
    Je lui avais expliqué sur un blog (je peux le prouver par des captures d’écran)pourquoi le Dow-Jones continuerait à augmenter: De fait,il a presque doublé entre 2010 et 2015 passant de 9.500 à prés de 18.000.

    J’avais même expliqué en 2011/2012 que l’or ne monterait pas et pourrait même baisser contre toute attente (manipulation des cours) . Ce qui a bien eu lieu…

    Delamarche partait d’un constat juste (l’inefficacité des mesures de redressement de la zone euro (sauf pour la RFA) pour en tirer des conclusions fausses

    Je ne suis pas chien puisque je vous donne le lien sur la variation du DJ….

    http://www.boursier.com/indices/graphiques/dow-jones-industrial-US2605661048,US.html

  • rovigo , 4 mars 2015 @ 16 h 02 min

    Toute monnaie est fiduciaire et il est clair qu’aujourd’hui, d’après les sondages, le peuples de l’Europe ont perdu confiance en l’euro et en tous cas aux promesses fallacieuses qui ont accompagné sa naissance. On ne refait pas l’histoire, mais certains , dont j’étais, prônaient une monnaie commune, ajustable donc, plutôt qu’une monnaie unique, dont les effets délétères sur les économies inégales étaient prévisibles et ont d’ailleurs été prévus par certains. Je n’avais , hélas, aucune crédibilité autre que celle de mon professeur de monnaie à HEC, M. Chêne. Nous étions d’ailleurs qu’une poignée sur 350 élèves dans ce cours et la preuve que cet enseignement précieux ‘a pas touché la majorité, est que lors d’une réunion de la promotion 1969, qui suit la mienne, peu de temps avant l’introduction de l’euro, il n’y eu que deux dissidents; aussitôt rabroués avec mépris par les dirigeants de grandes entreprises, membres de cette promotion et de quelques autres. Ne citons pas leur nom par charité, en espérant qu’ils se sont repentis.
    Mais aujourd’hui “Que faire?”
    Je pense qu’une voie à explorer est celle d’une double monnaie, la monnaie commune et la monnaie nationale; à l’exemple du bi-métallisme qui a prévalu jusqu’à la fin du XIXème et du dollar qui sert de monnaie double à la plupart des pays latino-américains, que leur monnaie soit indexée ou non sur celui-ci.
    Pour l’homme de la rue le seul avantage de l’euro est de pouvoir voyager, en Europe du moins, sans passer par le bureau de change!

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