Qui paie les “charges” ? Le patron ou le salarié ?

“La classe politique et le patronat ont intérêt à entretenir la confusion”, explique cette semaine le “French Libertarien” :

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  • biquette83 , 26 mars 2014 @ 19 h 31 min

    Bonjour,
    Bien d’accord avec vous. Ces syndicats ne sont là que pour diviser. Ils n’ont toujours pas compris que les patrons ne sont pas les adversaires des salariés, mais qu’ils leur permettent de vivre. Ces syndicats à la solde de la gauche ne font qu’enfumer les travailleurs. Que veulent-ils, qu’il n ‘y ait plus d’entreprise en France ?

    Bien cordialement

  • Cygne noir , 27 mars 2014 @ 8 h 41 min

    “que les patrons ne sont pas les adversaires des salariés, mais qu’ils leur permettent de vivre”
    Pour être clair, ce n’est pas le patron qui fait vivre le salarié (ou qui lui permet de vivre, selon votre formule inadéquate), mais, plutôt, le travail du salarié qui fait vivre l’entreprise.
    De plus, le patron embauche quand son carnet de commandes est rempli (ce que nos gouvernements n’ont, toujours pas, compris).
    Lors de mes différents emplois, je n’ai eu à dire merci à mon employeur qu’une seule fois, à mon embauche.
    Par la suite, c’est mon patron qui m’a remercié, de par le travail que je faisais.
    De même, pour mes collaborateurs, à mon égard.

    Ceci dit, vous avez, entièrement, raison pour le travail des syndicats qui, aujourd’hui, ne cherchent qu’à se remplir les poches tout en se “moquant” des salariés.

  • FIFRE Jean-Jacques , 27 mars 2014 @ 9 h 18 min

    Tous les points de vue exprimés ci-dessus m’amènent à établir les considérations suivantes:
    1) Je ne sais pas vraiment ce que veux dire le gros mot “patron”. Aujourd’hui, dans toute entreprise il y a des salariés (cadres dirigeants, cadres, opérationnels ou fonctionnels, employés et ouvriers) . L’objectif de ces personnes est (ou devrait être) de contribuer à leur niveau et dans leur domaine à la croissance de leur entreprise. Il y a aussi les actionnaires. Ceux là on le même objectif et la mission de fournir aux premiers les moyens financiers de réaliser l’objectif commun. Ce schéma ne souffre aucune exception. La force de travail sans capital n’est rien et le capital ne peut faire l’impasse sur la force de travail
    2) Il y a l’état. Le rôle de ce dernier serait de mettre en place les bonnes conditions pour que l’entreprise citée ci-dessus puissent atteindre ses objectifs…et c’est là que plus rien ne va…du moins en France ou l’état se positionne toujours comme juge et partie, comme acteur et observateur, comme rétenteur et bienfaiteur.
    Le jour où l’état agira moins comme acteur économique et plus comme arbitre des situations peut être les acteurs de l’économie comprendront-ils que l’intérêt de tous les agents économiques se conçoit dans le même élan et la même direction. Ailleurs certains l’ont compris.

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