La Rochelle : un entrepreneur en difficulté interpelle Manuel Valls

53 Comments

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  monhugo , 25 août 2013 @ 15 h 34 min

  Pourquoi s’adresser au ministre de l’Intérieur, pour une question de charges sociales écrasantes ? Notons d’ailleurs au passage que le pétitionnaire désespéré a la mauvaise idée de parler de revendications n’ayant pas abouti “depuis 3 ans” – un boulevard pour Valls, qui se fait alors porte-parole du gouvernement entier : ‘ils” ne sont là, eux, que depuis 1 an et un peu plus de 3 mois !
  Il a voulu (le désespéré) profiter des caméras de télé pour lancer sa requête tous azimuts. D’accord, mais… Valls n’était pas le “bon cheval”, non seulement parce que pas en charge (au mieux, il fera “passer le message”, comme il le dit hypocritement – demain, on rase gratis), mais surtout parce que cela ne peut que faire enfler son ego (du genre : “on s’adresse à moi, même hors sujet, parce que je suis important, de plus en plus… hello, Jean-Marc, prends garde à toi, Matignon me tend les bras !”). Valls, le recours ? Au secours !
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  Gisèle , 25 août 2013 @ 16 h 24 min

  Ils ne s’en souviendront tellement que si les prochains ne leur donnent pas ce qu’ils veulent ils revoteront à gauche !
  Vous pariez combien ???
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  Gisèle , 25 août 2013 @ 16 h 27 min

  ne s’en souviendront tellement plus … ( pardon, tapé trop vite )
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  monhugo , 25 août 2013 @ 16 h 28 min

  Valls en tout cas n’est pas issu du sérail énarchique. N’ai trouvé le concernant que la mention d’études en histoire suivies au Centre Tolbiac (rattaché administrativement à la Sorbonne), sans précision quant à un quelconque diplôme obtenu. Français depuis l’âge de 20 ans seulement (moitié Espagnol, moitié Suisse, de naissance), il s’est marié plutôt jeune (25 ans – avec une condisciple de la fac) et a tout de suite fondé une famille, nombreuse (4 enfants).
  L’université lui a au moins servi (outre à avoir rencontré sa future première épouse, et mère de ses enfants) à se “placer” très tôt politiquement. En effet, adhérent de l’UNEF-ID, il devient rapidement conseiller de Rocard (dont il avait intégré d’abord les réseaux de la “Deuxième Gauche” – s’opposant au courant mitterrandien au sein du PS, et ce avant même d’être naturalisé) pour les affaires étudiantes.
  De 83 à 86, il est attaché parlementaire du député PS de l’Ardèche, Robert Chapuis (aujourd’hui retiré de la vie politique). Puis est élu au Conseil régional d’IdF (à 24 ans). Il en deviendra premier vice-président en 1998. Maire d’Evry en 2001, puis député de l’Essonne en 2002 (réélu en 2007, avec le très beau score de 60 % des suffrages exprimés).
  Il a 51 ans, n’a jamais travaillé (pas besoin d’être énarque à cet égard), est un “politique” et rien d’autre, et se sent pousser des ailes. Matignon demain (l’Intérieur, simple tremplin). Et pourquoi pas l’Elysée en 2017 ? Il est populaire, le seul du gouvernement actuel. Les gogos croient en ses mouvements de menton – sans doute beaucoup parmi eux avaient cru en Sarkozy, lui aussi à l’Intérieur, et dans la même gestuelle, et la même posture. Avoir été déçus ne les découragent pas !
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  Kebe2000 , 25 août 2013 @ 16 h 32 min

  Je ne suis plus en France depuis longtemps et je trouve que les français qui entourent Valls ont de drôles de têtes. Cela me rappelle un peu le Maroc que j’ai quitté en 1964.
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  monhugo , 25 août 2013 @ 16 h 36 min

  Sa garde prétorienne, vous voulez dire ? Pas sûr que les Français y soient nombreux.
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  monhugo , 25 août 2013 @ 16 h 55 min

  La question effectivement, au-delà d’une Restauration, est bien celle du prétendant. Sans tomber dans les potins, et pour notre pays, donc en situation, quel est le choix ? Un Orléans peu ragoûtant (comme tous les Orléans), ou un Bourbon d’Espagne ?…..

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