Nicolas Sarkozy : “La sécurité n’est pas une question d’effectifs, c’est une question de chaîne pénale”

En meeting en Moselle mardi soir, Nicolas Sarkozy a défendu les suppressions de postes parmi les forces de l’ordre intervenues pendant son quinquennat. En pleine grogne des policiers, il a estimé que la sécurité n’était “pas une question d’effectifs”, mais de “chaîne pénale”. “Si les policiers et les gendarmes continuent à arrêter des délinquants qui sont immédiatement remis dans la nature, rien ne changera”, a-t-il martelé :

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  • COUTAND , 26 octobre 2016 @ 12 h 30 min

    Il est évident que si nous avions 10 fois moins de voyoucratie en liberté, l’effectif pour améliorer la sécurité serait moindre…!

  • Vent d'Est, Vent d'Ouest , 26 octobre 2016 @ 13 h 49 min

    Pas que, M. Sarkozy, nos policiers manquent de moyens de riposte et la reconnaissance de la légitime défense. Et pendant que vous y êtes, allez plus loin en ce qui concerne la reconnaissance légale et appliquée par les tribunaux de la légitime défense du citoyen attaqué ou défendant une victime. Là, encore, le voyou réfléchira à deux fois – du moins on l’espère pour lui – avant d’agresser quiconque. Chiche ?

  • Jean NOGUES , 30 octobre 2016 @ 22 h 51 min

    La seule mesure efficace qui rétablira l’ordre rapidement ne coûtera rien :

    c’est le rétablissement de la légitime défense POUR TOUS LES CITOYENS telle qu’elle existait depuis des lustres quand nous étions encore un peuple libre. Elle nous a été confisquée morrceauy par morceau, sans vote ni consultation démocratique, par les lobbies habituels qui font plus de plus en France que le Parlement. Méthode : par petites touches, ça commence par des jugements exagérément alambiqués, qui décortiquent et psychanalysent, ça se poursuit par des articles à sensation, un jour on déonce un excès de la légitime défense, le lendemain un journaux pond un article dans un canard de gauche pour expliquer pourquoi le drma n’aurait pas dû se produire, le surlendemain on dégotte un proprio peu sympathique qui pète les plombs, et les médias relaient à outrance, les gauchos en rajoutent une louche contre les bourges et ça démarre, le train est lancé, ”il faut réformer la légitime défense”, d’ailleurs elle n'(sert ni supprimée ni réformée, mais on écrit es textes qui la précisent et qui ont force de loi sans qu’il y ait jamais eu ni vrai débat ni vote.

    C’est ainsi que nous nous retrouvons aujourd’hui sans légitime défense : on n’est fondé à défendre sa peau que si l’agresseur nous a déjà tué.

    Ca ne peut plus durer, il faut en revenir à la vraie légitime défense : si on est agressé, on a le droit de riposter par tous moyens à notre disposition, point barre. Car le fond du problème c’est d’abord et avant tout qu’ON NE DOIT APS AGRESSER PHYSIQUEMENT AUTRUI. Enfiler des mouches pour soi-disant préciser les limites de la légitime défense est une sale hypocrisie, car c’est une démarche qui, implicitement, donne le droit d’adresser autrui sans encourir de danger sérieux.

    Exemple : des voyous jettent à terre un blanc parcee qu’il est blanc et français. On ne peut pas se défendre car il faudrait proportionner la défense à l’attaque. On fait quoi quand on est à terre, entouré d’une bande vociférante et menaçante ? comment fait-on pour riposter de façon ”proportionnée” ?

    Et une fois à terre, combien de fois l’a-t-on vu hélas, la bande d’antifas rapplique et roue le pauvre ”face de craie” de coups de pied dans la tête, dans le ventre, tout en l’arrosant copieusement de crachats porteurs de toutes ;les maladies.

    A ce régime, huit jours après, on est encore entrec la vie et la mort ( les séances de coups de pied dans la tête, UNE FOIS SUR DEUX, se soldent par des fractures du crâne), et on finit invalide pour la vie.

    La vraie légitime défense consiste, si on est menacé par une bande de voyous de se faire jeter à terre, à se dégager du piège avec un bon flingue, car le fond de la question est qu’on n’a pas à COMMENCER les coups et blessures, on n’a pas à précipiter autrui à terre !

    Il faut donc remplacer la notion de ”riposte proportionnée” par la notion de ”premier agresseur physique ”.

    Deux annexes à cette vraie légitime défense doivent êtres précisées :

    A) en cas d’intrusion nocturne dans un domicile privé, si l’intrus est menaçant, face à l’inconnu insupportable, on doit avoir le droit de tirer avec une arme à feu pour faire fuir ‘l’intrus, et tant pis s’il ramasse un pruneau !
    B) Si l’agresseur s’en prend à un fonctionnaire de police ou à un militaire de gendarmerie, ce dernier doit ETREC ARME AVEC UN ARME PRETE A SERVIR EN CAS d’URGENCE (donc chargée), et il doit bien évidemment bénéficier d’une présomption de légitime défense, sous réserve d’une enquête démontrant que cette présomption était bel et bien justifiée. Je comprends qu’il faut éviter les abus mais cette présomption replace la vérification de la légalité de la légitime défense du gendarme ( ou policier) A SA VRAIE PLACE : LA PLAVCE A POSTERIORI ET NON A PRIORI.

    Ces dispositions, qui ne sont rien d’autres que les droits de l’homme les plus élémentaires (défendre sa vit et sa sécurité), entraîneraient en moins de six mois une baisse spectaculaire de TOUS les crimes et délits. Honte à nos politicards trop médiocres et trop couards pour nous rendre ces droites élémentaires, faute desquels nous cessons peu à peu d’appartenir aux nations civilisées.

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