Loi Travail : face aux syndicats, Myriam El Khomri tient bon

L’avant-projet de réforme du Code du travail est décriée par les syndicats mais aussi sur Internet où une pétition en ligne a reçu plus de 600 000 signatures. Myriam El Khomri, qui défend le texte, n’entend pourtant pas se laisser abattre et réagit à chaque attaque, parfois en vain :

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3 Comments

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  • von reisner , 26 février 2016 @ 18 h 15 min

    Les Prud’hommes !
    Leurs décisions ont trop souvent des relents de lutte des classes.
    Quand un employeur sait qu’il aura du mal à débaucher il retarde le plus possible le moment d’embaucher.
    Trop de protection tue l’emploi, c’est connu ! (sauf des syndicats, qui sont très peu représentatif du monde réel du travail..)
    Et pour une fois que des socialistes tiennent un peu compte des réalités, il vaudrait mieux les encourager plutôt que faire de l’idéologie…

  • champar , 27 février 2016 @ 9 h 53 min

    Curieux le choix de certaines personnes pour faire passer les législations qui fâchent : Veil pour l’avortement, Taubira pour le mariage homosexuel, El Khomri pour la destruction du droit du travail.

  • Voyageur , 27 février 2016 @ 14 h 16 min

    Quelle ironie ! De la part de Hollande avoir fait le choix d’une musulmane pour déchirer le code du travail met les syndicats en porte-à-faux avec leur idéologie immigrationniste et même mondialiste.

    Il sera écrit que c’est une représentante de la “diversité” chère à tous les gauchos que les ouvriers et les petits employés verront leur précarité dans le travail augmenter jusqu’à se rapprocher du système anglais, je veux parler du “sweating” : on embauche un travailleur qu’on paye au lance-pierres pour le temps nécessaire seulement, puis lorsqu’il a été bien pressé comme un citron on le jette sans autre forme de procès. Et on ne le ré-embauchera éventuellement que s’il est docile et qu’il ferme sa gueule sur ses conditions de travail d’esclave moderne.

    Comment en est-on arrivé là ? Je vois six responsables et des complices : Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande. Quant aux complices ce sont les majorités d’électeurs qui ont élus soit par volonté soit par défaut les 6 responsables ! Ne dit-on pas que l’on a les dirigeants que l’on mérite.

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