Discussion sur le cas Angot sur le plateau de Morandini

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  • bernard , 26 mars 2018 @ 11 h 05 min

    C’est vraiment elle qui doit figurer sur le “mur des cons ” j’ y ajoute la fameuse Caroline Fourest ( il y a un dénominateur commun non ??!!!)

  • Marcus , 26 mars 2018 @ 11 h 12 min

    Pas de panique, cette hystérique va finir par se suicider d’elle-même quand elle va apprendre que son chien a vendu plus de livres qu’elle.

  • zouzou , 26 mars 2018 @ 17 h 34 min

    Auteur minable (impossible d’appeler ça un écrivain), bobo surcotée bouffie d’orgueil, c’est la VRP d’un microcosme qui se prend pour le centre de l’univers, l’alpha et l’oméga de la pensée…grotesque, haineuse, inculte, sectaire, vicelarde, dénuée du moindre humour, laide comme un cul de vieux et anti-féminine mais bien payée et cornaquée par la bonne écurie…son cas (et celui de tous les larbins de ce système d’apatrides congénitaux et d’enfants gâtés tyranniques et improductifs) sera intéressant à étudier pour l’archéologie du 31è siècle…nos descendants, s’il échappent à l’abrutissement généralisé, se demanderont comment de telles créatures auront pu sévir avec cette facilité à des heures de grande écoute…

  • zouzou , 26 mars 2018 @ 17 h 43 min

    Trouvé sur: https://fathermackenzie.wordpress.com/2012/11/26/chistine-angot-la-nonne-caca/

    “Chistine Angot, la Nonne Caca

    Angot, c’est la Nonne Caca , la Sœur Pissette du Couvent des Urines . On connaissait la méchante fée , la fée Carabosse , la gentille fée , la Fée Lation , maintenant y’ a la fée dégueulasse, la Fée Cale. C’est elle.

    Son créneau c’est la régression au stade anal , le parti-pris d’une écriture volontairement puérile au service de l’apologie du touche-pipi . L’astuce , c ‘est de faire passer un simulacre de névrose pour une épuration du style . C’est censé choquer , c’est supposé être subversif , ça se veut neuf .

    Sauf que deux siècles après Sade et cinquante ans après Georges Bataille , plus rien de sexuel n’est subversif en littérature . Qui plus est dans une époque de merde où les trous du cul font les modes , la scatologie pornographique se confond avec le bavardage ambiant .

    Stylistiquement , elle emprunte également deux ou trois combines au Nouveau Roman , l’absence d’intrigue et même d’argument , la raréfaction du sujet , la platitude volontaire (on l’espère) de l’écriture qui se veut constat , la confession amorale , l’introspection entomologique…

    Non seulement tout ça est usé jusqu’à la trame au point qu’on ne peut plus se torcher avec sans s’en foutre plein les doigts , mais en prime c’est aussi chiant aujourd’hui qu’hier . Et c’est pour ça qu’elle s’en sert , pour faire chier. Pour faire crever d ‘ennui le lecteur qui se sent , du coup , intelligent d’avoir lu jusqu’au bout un truc que son voisin de camping aurait utilisé autrement , en s’en foutant plein les doigts .

    Au fond le seul truc où elle innove , c’est que ça pue si fort les chiottes de pensionnat qu’elle a inventé le voyeurisme olfactif .

    En résumé , il y a une double arnaque : faire semblant de croire en Occident au XXIe siècle que ce qui choque est de l’ Art , et ne même pas y parvenir . Comble double de la ringardise , le kitch chiottard .

    Et c’est là tout le paradoxe de la situation , parce que visiblement Millet , lui , choque le bourgeois , ce qui nous éclaire beaucoup sur la nature du Victorianisme contemporain . Les néo-puritains ont opéré un transfert du tabou de la sexualité vers la mort , d’ Eros vers Tanathos , du cul à la guerre . Or quand on sait que le refoulé est le désir secret de celui qui refoule (synonyme également de puer , il n’ y a pas de hasard), on en apprend un bout sur l’inconscient des bien-pensants .

    C’est bien une pulsion de mort qui travaille les élites , à donner et à recevoir , avortement et substitution , euthanasie et auto-génocide et pour être sûr d’y parvenir et que jamais après eux personne ne jouisse autant , ils ont organisé leur impuissance en faisant de la volonté de puissance , donc de la jeunesse , l’interdit suprême .

    Dans leur inconscient de vieillards hédonistes qui ne peuvent plus jouir sans entraves , le souhait de finir comme une vieille merde est patent . Le baby-boomer excrémentiel sera servi , expulsé au sanibroyeur dans un pet foireux par tous ses chiards , plus les éléments rapportés , pour une fois d’accord sur un cas d’expulsion “.

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