Aux Mureaux, Manuel Valls s’agace des questions des journalistes

Eric Martin
26 octobre 2015
Latest Update: 26 octobre 2015 15 h 58 min
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Manuel Valls, accompagné de 17 ministres, a entamé sa visite lundi aux Mureaux, dans les Yvelines, dans le cadre d’un comité interministériel sur l’égalité et la citoyenneté. Le Premier ministre s’est montré très vite agacé par les questions posées par les journalistes :

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Marino , 26 octobre 2015 @ 18 h 11 min
Manuel Valls s’est montré irrité par les questions des journalistes.

Notamment par celle lui demandant pourquoi il n’allait pas à la rencontre des habitants des quartiers.
xrayzoulou , 26 octobre 2015 @ 18 h 27 min
Le pitbull s’était bien entouré et avait demander qu’il n’y ai pas grand monde (si ce n’est personne) dans la rue. Il a donc pu montrer un quartier calme !…. Ces mecs, je voudrai qu’ils aillent vivre dans les quartiers de non droit qu’ils ont créés…..

CE N’EST PAS UN DOUBLON !
Petit Prince , 26 octobre 2015 @ 18 h 34 min
Mais c’est où les Muraux, un quartier de Paris ou de Marseille? Et qu’allaient y faire ces 17 ou 18 Ministres ? Y soutenir un Comité de plus sur l’égalité, mais on n’est pas tous égaux en France ?
borphi , 26 octobre 2015 @ 18 h 45 min
Les Mureaux c’est coincé entre la Seine et l’A13 quelque part dans les Yvelines.

Quant à savoir s’il y avait 17 ou 18 ministres et ce qu’ils allaient y faire ???

Là je ne sais pas .
durendal , 26 octobre 2015 @ 20 h 02 min
Mort de rire, qui peut encore croire ces Pinocchios qui nous balancent des balivernes à tout bout de champs.
Gisèle , 26 octobre 2015 @ 23 h 27 min
Ils sont allés leur dire que les chiffres du chômage ont baissé !!….
S’il n’ont pas reçu de pavés , c’est qu’aux Mureaux il n’y a pas de chômeurs !
C’est simple , mais vachement efficace , comme campagne électorale ! Vous ne trouvez pas ?
François , 27 octobre 2015 @ 8 h 02 min
Oui. S’il n’y a personne c’est parce que c’est lundi matin, que les banlieusards sont au travail, ou qu’ils sont en vacances. Donc tout va bien. Et il ne faut pas imaginer que le déplacement de 18 ministres de gauche en banlieue puisse être une action politique… Heureusement le premier des ministres reconnait que le pays a besoin d’autre-chose; il fait probablement allusion au fait que le déplacement de 18 ministres en banlieue à une heure où il n’y a personne est un gaspillage de l’argent des contribuables. J’ai mal compris? Ah et puis on apprend que c’est un jeu, qu’il y a celui des journalistes, et que ce jeu n’est pas le même que celui des 18 ministres. Enfin, nous apprenons que nous aurions tort de croire c’est c’est un jeu, ça ne l’est en fait pas: c’est du travail, pas pour eux-même précise-t-il, pour les français… oui ça il a raison, c’est toujours les même CONtribuables qui paient ce genre d’opération. Moi je trouve qu’on aurait pu inviter Bernard Henri Levi, on aurait eu un discours émouvant en prime pour le même prix.