A Nantes, des heurts en marge d’une manifestation contre la venue de Marine Le Pen (vidéo)

Une manifestation a ressemblé samedi à Nantes entre 2 000 et 3 000 extrémistes venus protester contre la venue dimanche de Marine le Pen. Elle a été émaillée par des heurts, faisant onze blessés parmi les forces de l’ordre. Selon le ministère de l’Intérieur, “11 policiers et gendarmes ont été blessés et contusionnés”. Parmi eux, un gendarme a été brûlé au deuxième degré aux jambes. Il a été hospitalisé, a précisé la gendarmerie nationale. Huit personnes ont été interpellées dont quatre ont été placées en garde à vue, d’après le ministère :

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7 Comments

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  • Marcus , 27 février 2017 @ 13 h 01 min

    C’est comme d’habitude, la démocratie à 2 vitesses de la gauche française. Le droit de s’exprimer quand ça va dans leur sens, mais surtout pas si ça va à l’encontre de la bien pensence socialo-marxiste du système.
    Rien de bien nouveau sous le soleil de ce pitoyable pays.

  • Droal , 27 février 2017 @ 13 h 17 min

    Voici ce que confiait le Général De Gaulle à son porte-parole, confident, et ministre de l’Éducation Nationale, Alain Peyrefitte le dimanche 2 juin 1968, suite aux évènements de mai :

    Alain Peyrefitte : « Ce qui m’a surpris encore, c’est que le Premier ministre (Georges Pompidou) vous ait fait accepter, le soir de son retour, beaucoup plus que ce que je vous avais proposé. Il a donné droit à toutes les revendications des étudiants sans aucune contrepartie, alors que vous veniez de me donner votre accord pour un plan soigneusement équilibré.

    Général De Gaulle (d’un geste las) – Il ne m’a pas laissé le choix, il a mis son mandat dans la balance. Si je n’acceptais pas son plan, c’était une crise de régime. »

    C’est la première fois que j’entends parler d’une menace de démission du Premier ministre le 11 mai, pour le cas où le Général ne se rallierait pas à sa stratégie. Autant Pompidou et ses proches ont fait connaître la démission offerte par le Premier ministre le 30 mai pour obtenir la dissolution de l’Assemblée, autant ils ont été muets sur la démission qu’il aurait offert le 11 mai.

    Il reprend.

    Général De Gaulle : « La crise de régime, nous l’avons quand même eue. Il aurait peut-être mieux valu l’avoir ce jour-là. C’est le soir où Pompidou a rouvert la Sorbonne (11mai) que L’AUTORITÉ DE L’ÉTAT S’EST EFFONDRÉE. »

    Comme chacun le sait « l’autorité » est fondée sur « la confiance ». Cela fait donc presque 50 ans que l’État a perdu cette « autorité ». Maintenant, ce qu’il est en train de perdre, c’est le « pouvoir ».

    Pendant 5 ans François n’a été le « Président de personne » comme l’affirmait une écologiste.

    Maintenant ça ressemble de plus en plus à « Personne, Président ! ».

  • Trucker , 27 février 2017 @ 16 h 41 min

    un avant goût….de ce qui pourrait arriver bientôt. Et pour Macron, l’homme des puissances d’argents, Hamon le vendu aux barbus….ils feraient quoi les racailles islamo-gauchistes ?

  • Gisèle , 27 février 2017 @ 21 h 51 min

    Macron et Hamon auront été exfiltrés depuis longtemps au Maghreb où ils ont planqué leur ” patrimoine ” dans une banque islamique .
    La grande loge a tout prévu …

  • jpm , 28 février 2017 @ 11 h 55 min

    pourquoi “en marge” ? Elle était au cœur puisqu’elle empêchait les membres de se rendre sur place et qu’ils ont été attaqués en tant que membres de se rassemblement

  • aixois , 28 février 2017 @ 13 h 28 min

    Il est temps que les sympathisants du FN descendent eux aussi dans la rue quand ce genre de manif a lieu. Mais les cadres du FN ont peur de faire des vagues s’ils organisent ces contre-manifs. Ils ont tord! nous sommes plus de 6 millions avec eux.

  • Gisèle , 1 mars 2017 @ 0 h 30 min

    Mais, sur les “plus de six millions ” …combien seront fidèles à leur vote du premier tour, le jour du deuxième tour ?

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